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 [ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia

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[ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia Vide
MessageSujet: [ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia   [ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia Icon_minitimeMar 22 Sep - 15:42

La Guerre Mondiale était enfin finie ; Alfred et Arthur s'était tapé tout le boulot pour ça – enfin surtout lui, évidemment, puisqu'il était le héros – mais non, maintenant il fallait se farcir les conférences qui allaient avec. Il y avait de quoi en faire une crise de nerfs, mais... Pas pour Amérique ! Il était friand de ce genre de réunions interminables et sérieuses puisque grâce à son don naturel, n'importe quelle conférence barbante se transformait en animation offerte par le journal de Mickey. C'est aussi ça le Rêve Américain. Vous n'imaginez pas tout ce qu'Alfred peut faire pour vous~

Le représentant officiel de la jeunesse qui bouge embarqua donc pour la Russie, à Yalta précisément. À cette réunion assisterait donc Ivan, Arthur et lui-même. Francis, le pauvre, n'avait point été convié ; Angleterre avait fermement insisté : pas de collabo pour discuter de l'avenir du monde, en plus, il n'avait pas la moindre envie que la salle empeste la laque et le parfum comme ça avait été le cas pendant toute la durée de la guerre quand France était dans les parages. Dommage. Avec Francis, la fête aurait été plus folle... [ Alfred, la conférence de Yalta n'est PAS une surprise party ! ]. Mais d'après Russie, on connaissait tous la chanson : Etats-Unis lancerait une idée, aussitôt contredite par Angleterre et ces deux idées seraient à leur tour contestées par France. Bref, une vraie galère.

Nous étions le premier Novembre et, bien que la conférence ne dût commencer que le quatre, Alfred arriva en Russie, dans le palais d'Ivan. Arthur n'était pas encore là, ce pantouflard de British qui préférait se coiffer les sourcils dans son manoir tout gris. Ah là là~ Pourquoi le monde n'était-il pas comme lui ? Toujours frais et dispo, avec toujours une longueur d'avance – ce point est encore sujet à débat... –, au taquet dès le matin et même avant, plus énergétique qu'une bouteille de Danao qui aurait fusionnée avec du Coca-Cola Black et douze litres de Yop [ ouais, ça a l'air dégueu, je sais ]. Pourquoi ? ! Réponse : Imaginez le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui, au détail près que chaque pays de notre bonne vieille planète serait représenté par un Alfred. Ce qui nous donnerait au total... *vérifie sur le dictionnaire, à « Monde »* cent quatre-vingt-treize Alfred en pleine forme et toujours prêts à l'attaque~ Imaginez ensuite que ces presque deux cents Alfred se comportent tous comme l'original, envers et contre tout. La Terre serait donc : 1) infestée de McDonald ( plus que maintenant, j'entends ) ; 2) un capharnaüm sans nom ; 3) une salle de jeux géante ; 4) peuplée de sourds ( bah oui, un Amérique qui carbure aux piles Duracel, ça piaille... ) ; 5) jonchée d'emballages de junk food ; 6) attaquée par la flotte impériale des extraterrestres, les volcans super massifs randoms, les tornades de cinquante kilomètres de diamètres, les tremblements de terre à trente-quinze sur l'échelle de Richter, les tsunami hauts comme l'Empire State Building, les vagues de froid tellement intenses que les ours polaires militent pour le réchauffement climatique, les astéroïdes gros comme Jupiter accompagnés de leurs comètes et autres météorites radioactives, les virus hyper exterminateurs qui transforment tout le monde en monstres anthropophages et nocturnes sauf UN bizut désigné par Dieu, les fourmis mangeuses d'hommes qui envahissent un avion et le détournent pour prouver la suprématie de leur reine ( = incarnation invertébrée d'Arthur ), mais qui échouent parce que Superman faisait ses courses chez Key Food à ce moment-là, etc ; 7) vous voulez vraiment faire une overdose d'américanisation ? Je continue ou bien... ? Non, d'ailleurs, vous ne le savez pas encore, mais le virus de la grippe A(lfred) vous a contaminé et d'ici dix minutes vous allez avoir envie de regarder tous les Die Hard et tous les Rambo. C'est aussi ça le Rêve Américain : c'est aux USA que TOUT se passe et que TOUT se résout grâce à UN SEUL homme ( tous les héros des films ne sont que de pâles copies d'Alfred, je tiens à le préciser... Même Aldo Raine dans Inglorious Basterds ).

Tout ça pour dire quoi au fait ? Rien. Ah si ! Pour illustrer la flemmardise du raton laveur courroucé par rapport au rayonnement divin et hyperactif d'Al – et accessoirement la connerie d'Amérique, mais ça, c'était subliminal, n'est-ce pas ?

États-Unis, un énorme pot de glace d'un bleu-vert chimique dans les mains, se fit conduire par un domestique jusqu'à un salon pour les invités où l'attendait Russie. Ivan le salua sobrement et ils entamèrent un semblant de discussion. Entre lui et le slave, les relations avaient toujours été... bipolaires, si vous voyez ce que je veux dire. Soudain, au beau milieu de la conversation, le domestique revint et chuchota quelque chose à l'oreille. Russie pâlit. Étonné, Alfred commença :

« Qu'est-ce que... ? »
« Occupe-toi d'elle ! » le coupa brusquement Ivan en le poussant en arrière.

La nation la plus riche du monde manqua de tomber tête la première dans sa glace à la menthe, mais se rattrapa de justesse au divan. Il se redressa et vit une jeune femme blonde qui lui rappelait beaucoup Alice, celle du Pays des Merveilles de Lewis Caroll, – une histoire que lui lisait Arthur lorsqu'il n'était encore qu'un enfant, avant de s'endormir –, mais version... Comment dire ? ... angst ? glauque ? morbide ? gothique ? Bref : une Alice en mode blizzard humain armée d'un couteau et d'un air peu engageant. Alfred écarquilla les yeux derrière ses lunettes un peu de travers à cause de la bousculade. Il les remit en place et s'enquit :

« Mademoiselle... ? »
« Où est Ivan ? » l'interrompit-elle, glaciale.
« Il est... » Alfred se retourna vers l'endroit où se trouvait Russie quelques secondes plus tôt : il n'y avait plus que sa silhouette en pointillés clignotants. « ... parti. »

Ça alors ! Il était pourtant là il y a à peine un instant ! Et pourquoi est-ce que tout le monde lui coupait la parole aujourd'hui ? ! Attends deux secondes... « Occupe-toi d'elle » ? Est-ce que par hasard... S'agissait-il de ce qu'on appelait une union diplomatique ? ! Une sorte de mariage arrangé entre nations ? ! LE FAMEUX « BECOME ONE WITH RUSSIA » ? !
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[ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia Vide
MessageSujet: Re: [ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia   [ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia Icon_minitimeDim 27 Sep - 13:18

Lorsque Natalia avait appris que la conférence pour la fin de la guerre devait avoir lieu à Yalta, elle sauta littéralement de joie – jusqu’à presque crever le pauvre plafond de la pauvre Ukraine qui n’avait pourtant rien demandé. Enfin elle pourrait revoir son doux, tendre et proclamé futur époux par son esprit tordu. Enfin elle pourrait lui montrer toute la puissance de son amour ! Ils pourraient se marier et ne faire qu’un, comme dans ses rêves les plus fous où elle était l’adorable et pas du tout psychotique épouse parfaite du parfait Ivan. CQFD. Et en bonus, ils pourraient torturer les autres nations pour finalement dominer le monde (muahahaha…). Quel plan honteusement merveilleux et fantastique, n’est-ce pas ? De quoi rendre le glacial et très bel Ivan Braginski très heureux, se persuada-t-elle.

Oui enfin, en attendant, encore fallait-il qu’elle arrive à temps à la conférence de Yalta. Elle choisit sa plus belle robe, son plus beau nœud et s’affaira a se préparer, telle une mariée en âge. La petite Alice assassine chantonnait une berceuse, de sa voix fluette, aux intonations froides et angoissantes. De quoi faire flipper les plus grandes nations du monde. Alors qu’elle attachait son nœud dans sa longue chevelure blonde, elle fredonnait, joyeuse et mielleuse :

“Twinkle, twinkle little star…
How I wonder what you are…
Up above the world so high,
Like a diamond in the sky…”


Et elle continua la comptine pourtant innocente dans les couloirs, après avoir terminé de s'habiller. C’était étrange de constater à quel point une simple berceuse, douce, rassurante, pouvait devenir une chanson véritablement glauque dans la bouche de la Bélarusse. Surtout lorsqu’elle jouait avec son couteau, faisant glisser le revers de la lame contre sa peau pâle et froide, ou parfois même le tranchant, laissant la jolie et fascinante hémoglobine rouge tâcher sa main fine, puis finalement son beau vêtement bleu.

Mais cela lui importait peu ! Au contraire, ça mettait son cœur en joie ! Et puis elle était heureuse, durant l’absence d’Ivan elle s’était relativement bien occupée de la maison, traumatisant le petit Raivis à ses heures perdues et ne laissant surtout pas Toris toucher à sa peau de vierge, elle qui se réservait tout contact pour le soviet. Alors que cette nation tremblante et faiblarde ose ainsi l’approcher ! Peuh, même pas en rêve.

« Seul mon Grand-frère compte~ » lâcha-t-elle gaiement dans les couloirs étrangement vides. Comme à chaque fois que Natalia prévoyait de passer quelque part, d’ailleurs. On désertait toujours les endroits où la belle madone était susceptible d’aller. Étrange, non ? Elle ne voyait pourtant pas ce qu’elle faisait de mal, dans cette histoire.

Elle n’était vraiment pas une personne effrayante, avec son couteau à la main, la lame argentée encore souillée du joli sang, avec son air de jeune fille fanatique de la plus grande terreur au monde. Non, vraiment. Il n’y avait rien d’angoissant à ce tableau d’Alice in Murderland, vraiment. Et c’est toute heureuse qu’elle fonça vers… Ivan, son cher et tendre Russie, pour le serrer dans ses bras et lui prouver toute la force de son amour ! Seulement, lorsqu’elle arriva, il n’y avait qu’un abruti décérébré avec un pot de quelque chose que même l’Angleterre aurait refusé de manger et il n’y avait plus d’Ivan. Ce dernier avait tout bonnement disparu de la surface terrestre.

Elle fixa l’inconnu comme s’il s’agit d’un moins que rien, une lueur rageuse dans les yeux. Avait-elle rêvé ? Ivan ne se tenait-il pas quelque seconde auparavant auprès de ce truc incongru ? Elle grogna et, pointant de son couteau de boucher la gorge du pauvre inconnu, lâche, plus froide encore que les terres enneigées où il se trouvait :

« Où est Ivan ?!
- Il est… parti.
- Comment ça parti ?! Et qu’est-ce que vous faisiez avec lui ? Et pourquoi vous me regardez comme ça ? Écrase et dis-moi où est parti Grand-Frère ! Les préparatifs du mariage ne sont pas encore faits ! » Tonna-t-elle dans une voix hystérique, comme une adolescente qui parlerait de son chanteur préféré avec un peu trop d’entrain. Elle fixa la pauvre Amérique qui n’y comprenait décidément rien alors que la lame touchait à présent sa peau.

« Parle ! Je n’ai pas de temps à perdre ! »

Surtout, ne jamais s’interposer entre la Biélorussie et son objectif. Et, bien malgré lui, Alfred venait de signer son arrêt de mort en ayant couvert la fuite du soviétique.

« Il s’est caché derrière toi pour s’enfuir, hein ?! Pourquoi tu le cache ? Pourquoi tu me sépares de mon grand-frère ?! Tu veux pas que je me marie avec lui ? »

Vite Alfred, trouve une excuse, avant qu’elle ne t’égorge sans pitié…


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[ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia Vide
MessageSujet: Re: [ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia   [ 1945 ] Become one with Russia ? ! | Nathalia Icon_minitimeSam 17 Oct - 13:50

Alfred était venu plusieurs fois en Russie, que ce soit en simple visiteur ou pour des raisons politiques. Enfant, il gambadait déjà entre les jambes d'Ivan en braillant : « Attrappe-moooooaaaaa ! » jusqu'à ce que celui-ci daigne esquisser un mouvement dans sa direction pour le saisir. Puis il fabriquait des boules de neige et se cachait derrière une petite motte afin de bombarder sauvagement Ivan, Arthur, et parfois même Francis – Dieu qu'il a-do-rait massacrer sa coiffure à celui-là ! Même qu'il mettait des cailloux dans ses projectiles parfois... Huhu. Et c'est ainsi que Francis devint schizophrène. Enfin généralement, Amérique finissait au lit avec une fièvre de cheval pour s'être roulé dans la neige pendant des heures...

Maintenant qu'il était adulte, il ne venait pas pour s'ébattre dans le jardin ou bien harceler Russie pour qu'il lui apprenne sa langue, mais belle et bien pour régler d'importantes questions d'ordre politique. Cependant, en faisant un crochet par Moscou, il n'avait pas pu s'empêcher de s'exclamer, infantile, en voyant Saint Basile : « Haha ! On dirait un gros gâteau à la crème ! Quoique, ça me fait penser à Disneyland... mais en moins bien, évidemment. » Certes, Disneyland n'existait pas – puisque inauguré en 1955 en Californie – mais Alfred avait toujours été très en avance sur son temps... N'empêche qu'après toutes ces années, la jeune nation n'avait jamais vu la Biélorussie. Il n'avait d'ailleurs eu qu'un bref aperçu des pays baltes, qu'il avait vu de loin, très loin, alors qu'ils étaient sous la coupe de l'URSS. Amérique réprimait une grimace dès qu'il y pensait : lui n'aimerait vraiment pas être sous la coupe du – gros – Ivan. Vraiment pas. Ces pauvres pays baltes avaient l'air traumatisé, quelque chose de grave ! Surtout le petit blond moutonneux, on aurait dit qu'il allait fondre en larmes d'un instant à l'autre. Dès qu'Alfred s'imaginait à la place de l'un d'eux, il avait beau être très proche du Slave, il ne pouvait s'empêcher de se sentir nauséeux. ... De toute façon, il n'aimait pas les poupées russes.

Mais certaines poupées russes étaient plus belles et intéressantes que d'autres... Comme cette blonde furieuse aux airs d'Alice. Une femme sublime par ailleurs... Alfred ne se serait jamais douté que le Soviet cachait ce genre de trésors chez lui... Avait-il un harem ? Dans un sens, ça ne l'étonnerait guère. Il fallait s'attendre à tout avec ce brave ours. Malgré le couteau ensanglanté de la beauté froide, Amérique ne se sentait pas particulièrement effrayé, comme toujours. Les États-Unis n'ont peur de rien.

... Ou si. La fille pointa sa gorge avec son couteau de boucher. Alfred se figea. Cette scène lui rappelait vaguement celle de sa prise d'indépendance, lorsqu'Arthur avait menacé son front avec sa baïonnette. Cette fois, il n'aurait peut-être pas autant de chance. La jeune nation se mit à réfléchir à toute vitesse : comment se sortir de ce guêpier ? ! Cette femme n'était pas le genre à se laisser amadouer par l'argent semblait-il, mais peut-être que quelques belles paroles feraient l'affaire. Il suffisait de lui dire ce qu'elle avait envie d'entendre.

« Comment ça parti ?! Et qu’est-ce que vous faisiez avec lui ? Et pourquoi vous me regardez comme ça ? Écrase et dis-moi où est parti Grand-Frère ! Les préparatifs du mariage ne sont pas encore faits ! »

....... Hein ? ! Il y avait donc bien un mariage de prévu entre lui et cette fille ? ! Alfred se trouvait donc en face de sa future épouse ? ! Ivan, espèce de... Il aurait pu le prévenir quand même ! Non pas que la poupée blonde n'était point désirable – loin de là – mais c'était la moindre des choses ! Par contre... Ça ne semblait pas aller bien dans sa tête... « Écrase et dis-moi où est parti Grand-Frère » ? Paradoxal. Fallait-il qu'il se taise où qu'il parle ? Et puis ça faisait trop de questions à la fois... Cette fille avait l'air d'une groupie. Le couteau touchait sa peau à présent. Si son agresseur n'avait pas été une jeune femme hystérique, Alfred l'aurait pris comme une déclaration de guerre.

« Parle ! Je n’ai pas de temps à perdre ! »

Bon, il lui fallait donc parler. Il sourit poliment, tant bien que mal, et répondit avec calme :

« Nous ne faisions que parler de politique, et... »
« Il s’est caché derrière toi pour s’enfuir, hein ?! Pourquoi tu le caches ? Pourquoi tu me sépares de mon grand-frère ?! Tu veux pas que je me marie avec lui ? »


WTF ? ! Amérique toussa nerveusement et écarquilla les yeux. Le mariage n'était donc pas le sien, mais celui de Natalia et Ivan ? ! Mais le problème était le même : ce sale gros aurait pu lui en toucher deux mots ! Alfred avait bien envie de l'avoir sous la main, celui-là ! Il lui aurait fourré des pétales de tournesol dans les narines. Comment osait-il envisager un mariage avec cette blonde sans lui demander sa divine bénédiction ? ! Et surtout... ! ... Quoique... Vu la fuite, surprenante et rapide, du Russe, ce dernier n'était peut-être pas consentant ? Il pourrait probablement faire tourner la situation à son avantage... Amérique reprit contenance et, courtois, sans chercher à écarter le couteau, il déclara le plus sincèrement du monde – ou pas :

« Mademoiselle, Ivan est probablement parti se changer pour être présentable devant vous, non ? Il reviendra, ne vous en faites pas. Moi, je ne suis là qu'en tant qu'allié, rien d'autre. Je n'ai aucun rapport avec vos histoire de famille, je ne cache personne et je ne veux séparer personne. Et si je vous regarde comme ça, c'est parce que vous êtes très belle. Ivan a de la chance de vous avoir comme sœur et future épouse ! »

Alfred esquissa un petit mouvement de recul pour s'éloigner de la lame, sans se départir de son sourire charmeur et poli. Il lui fallait passer en mode Francis, et vite. Gentleman, il prit doucement la fine main de porcelaine de la jeune femme et y déposa un tendre baisemain.

« Alfred Jones, pour vous servir. Je représente les États-Unis d'Amérique. Et vous ? »

Pourvu qu'il ait calmé les ardeurs de cette gorgone...


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