Messages : 39 Age : 27 Localisation : La haut, en Himalaya !
Citation : La vérité prévaut toujours ! RPs en Cours : L'entraide est la plus belle création du monde [Suisse]
Sujet: Ecrits rime avec vie, et amour aussi Sam 29 Oct - 10:37
Alors je crois que tout est dit... Tout d'abord introduction à moi-même (parce que je suis débile et fière de mes fanfics et autres) :
Depuis que je sais comment on fait, j'écris. Mais je n'ai pas eu de vrai déclic pour poster des choses sur internet. Tout à commencé quand on m'a defié de faire du yaoi (pauvre inncoente que je suis ignorait à l'époque ce que c'était) Et pourtant je m'en suis a peu près sortie. Mais ce passage m'a traumatisé au point que j'en ai fait d’autres ! celle d'hétalia est en cours, je ne vais pas tout poster d'un coup (vu que elles sont presques toutes sur papier et qu'il me faut recopier) mais voici pour commencer :
Un fan fic d'Eyeshield 21 (ma toute première) /!\
Spoiler:
1 pierre 2 frères. Personnages : Hiruma, Kuroki, Togano et Jumonji
Le temps était long pour Hiruma. Il n'avait pas de match avant un moment et l'entraînement ne le satisfaisait plus. Ni sa romance actuelle d'ailleurs. Il avait eu un beau couple avec Musashi, mais celui-ci avait demandé de rompre, toujours pour son fuckin'boulot. Maintenant il s'était trouvé quelqu'un d'autre... mais non ce n'était pas pareil, ça manquait d'action. Il tournait comme un lion en cage dans sa maison... Il regardait lassivement par la fenêtre quand il eu une apparition des plus banales : les frères Haha trainaient dhors, et plus précisément dans sa rue sur le coup. Cette vision si commune colla à ses lèvres un de ses sourires démoniaques : voilà qu'il avait trouvé un chouette jeu.
Le lendemain, Kuroki arriva, seul et complètement essoufflé. D'après le papier qu'il avait encore en main, l'entraînement commençait plus tôt. Alors pourquoi le local était vide ? Un rire plus que reconnaissable résonna : "Kékéké... Alors, prêt pour ton entraînement ?" Kuroki allait répondre séchement quand Hiruma sortit de l'ombre ou il se cachait. Il n'avait pour tout habit qu'u simple kimono rouge, cachant à peine ses parties. Il avait évidemment une mitrailleuse en main, le tout rendait très.... et même plus ! Kuroki était bouche-bée et commencait à rougir : "_Hi... Hiruma... C'est quoi... ça ? _Ton entraînement tiens. Et un entraînement bien particulier. Viens là qu'on commence. _Mais.. mais tu... _Ecoute le fuckin'frère, je veux pas de ton avis ! Toi, tu la fermes et tu viens que je joue, capiche ?!" Sur ce, Hiruma saisit sa victime par le col et la jette dans les douches. Il retire son la ceinture de son kimono, rendant visible ses parties, et s'en servit (de la ceinture s'entends) pour attacher les poignets de Kuroki. Ce dernier se démenait comme un beau diable, mais le démon retirait déjà son tee-shirt et le caressait sans cesser de sourire. "Aanh... FOus-moi la paix ! _Tu veux rire ? J'attends quelqu'un et ensuite je te fais ta fête.Et à lui aussi, t'inquietes pas! _ Vas... te faire foutre ! _Ca pas de souci, mais tu va le sentir passer kékéké !" Alors qu'Hiruma finissait des faire glisser le bas en prenant bien soin de caresser sensuellement les cuisses musclées du joueur, quelqu'un entra dans le vestiaire, juste à côté. Hiruma souriait de toute ses dents : sa seconde victime était là ! La démon abandonna un instant sa proie pour rejoindre l'autre. Un instant plus part, à peine le temps que Kuroki reprenne son souffle, Togano entra brusquement, poussé par son agresseur qui referme déjà la porte en ricanant : "_Togano ? Qu'est-ce que tu fous là ? _Kuroki ? C'est quoi ce bo**** ? J'croyais qu'y avait entrainement ? _Brodel c'est le mot kékéké ! Aller les frérots un petit échauffement et c'est l'heure du match." Hiruma ôta son kimono en vitesse, il attacha Togano avec celui-ci juste à côté de Kuroki et le déshabilla pareillement. Il prenait tout son temps en... enfin vous voyez quoi, pendant que les deux garçons se bagarraient avec leur lien. Puis l'un d'eux poussa un cri, et un long silence se fit, entre-coupé par les etits cris et Yaha de jubilation d'Hiruma. Ni Kuroki ni Togano n'osérent bouger, à part pour se soumettre à leur nouveau "maître". Combien de temps le démon profita d'eux ? Nul n'aurait su le dire à se moment, mais il faisait attention à partager le "plaisir" également. Cette soumission fut quelque peu interrompue quand d'autres arrivèrent au local. On les entendaient se changer et discuter, mais ni Kuroki ni Togano purent les indentifier et encore moins les appeler. Hiruma riait de plus en plus, quoiqu'assez discrétement. Quand les bruits devinrent trop fort, signe que quasi tout le monde était là, le démon ressera les liens de ses captifs et les laissa là, rendus plus bas que des chiens. Il prit un sac que personne n'avait vu; contenant la tenue de sport du quarterback. Il s'habilla, se recoiffa et se retourna vers ses captifs : "Et si jamais l'un de vous bouge, les fuckin'jouets, je vous massacre." Et il sortit, et verrouilla la porte. Personne ne vint les liberer Aucun n'avait la force ou le courage de parler, alors de bouger...
La journée fut longue, et Hiruma se hâta de venir liberer ses prisonniers ava,t que les autres ne viennent prendre leurs douche. Il fut plus que surpris de voir les liens à terre, et ses jouets enfuis. Il sortit en vitesse, armés jusqu'à la pointe des cheveux, prèts à les tuer. Mais il n'eu pas le temps de les trouver qu'un autre blond s'approcha en fulminant. "_J'ai trouvé Kuroki et Togano ligotés dans les douches ! C'est quoi ce bo**** ? _Tiens, t'es là... Je m'ennuyais, alors j'ai un peu joué avec tes fuckin'frères. Tu va me faire quoi ? _Espece de sale...." Hiruma s'approcha doucement du blond et l'embrassa tout tendrement . Puis il colla la tête Jumônji contre son épaule en souriant : "_Avoue, tu es juste jaloux... _Je suis le seul qui peux jouer avec toi ?" Et l'amant du diable le mordilla à l'oreille. C'est vrai quoi, s'il sétait mis avec lui s'était pour être le seul à pouvoir lui faire des calins. Alors par question de le partager, et encore moins avec ses deux amis.
ainsi qu'un poème sans rapport. Je vous ai pas dit que je faisais des poèmes ? Ben si :
Spoiler:
"Le sang qui coule dans mes veines me procure toute la peine que notre monde peut offrir alors ne me faites pas vivre.
La douleur est ce que l'on a au fond du cœur C'est celle qu'on cache au plus profond de nous Qui se fond tout aussi bien dans nos peurs Et que l'on ne sors que lorsqu'on est fou.
Voila pourquoi je souhaite tant vous quitter Voila pourquoi je ne peux plus rien supporter Il me faut donc m'en aller à présent Pour me tourner vers un monde un peu plus blanc.
Je n'ai pas un larme à vous verser Je n'ai plus aucun mot à vous souffler Ou alors peut-être juste un adieu Ou plutôt à mon bon ami Satan Qui nous maudit et crie en m'attendant." Sur ce elle s'immole dans le feu.
Le feu de son âme à jamais perdu. Ne pensez pas au mots tel "j'aurais dû" Car si le feu s'est éteint, elle s'est libérée Des illusions que seul un humain connaît
Oui il y a des fautes de pieds à certains passages, j'ai fait de mon mieux. C'était donc mes deux premiers textes pour vous mettre en bouche (pas réussi et alors ?) A vous les studios !
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