Qu'es-tu exactement ?
Identité ;

Nom : Rasmussen Prénom : Soren Nation Représentée : Groenland Age Humain : 15-16 ans Sexe : Masculin Date de Naissance : 21 Juin(Fête national) Rang Personnalisé : Icebergs n'est pas un compliment~

Au delà de la chair
Le Toi nation, le Toi humain ;

Caractère

• Réservé. Indépendance. Défaitiste.
  
  La première chose notable chez Soren ? Son calme. Du moins, l'apparence calme qu'il renvoie. Pas par froideur, non, plus par discrétion. Par ailleurs, il cherchera toujours un moyen quelconque pour détourner l'attention si la conversation devient gênante. De son point de vue, il fait tout de travers. Il a donc de gros problèmes relationnels. Il évite généralement toute prise de contact venant d'une personne qu'il ne connait pas. Et si vous arrivez à engager une conversation aimable avec lui, ne vous attendez pas à de grands discours, puisqu'il n'arrive généralement qu'à sortir un nombre restreint de mots à peine compréhensibles. Toutefois, il reste plus intelligible que la Suède.
  
  Soren n'aime pas parler de lui. Les problèmes qu'il rencontre ne regarde personne. Il se dit que faire face lui-même le fera progresser et qu'il deviendra une meilleure nation de cette façon. Il ne veut pas être perçut comme un fardeau par les autres, pour qu'ils ne le laissent pas de côté. Malgré son envie d'être indépendant, la perspective de se retrouver seul l'effraie. Cette contradiction entre son désir et sa peur font qu'il ne réclame pas son indépendance pleine et entière, mais qu'il l'obtient morceaux par morceaux. Il s'arrange aussi pour agacer le Danemark avec ses demandes. Un moyen comme un autre d'attirer son attention.
  
  Gentillesse. Famille Maladresse.
  
  Sa famille, c'est le centre de tout. Groenland y tiens vraiment. Il ne le montre pas correctement, malheureusement. Quand il essaie d'être gentil avec l'un de ses membres, ça ne se passe jamais de la façon escompté. Dès qu'il prononce une parole aimable, elle est suivie de toute une cohorte de reproches et de paroles désobligeantes, finissant toujours par dire l'inverse de ce qu'il voulait exprimer. Malgré son problème majeur de communication, il tient à eux. Il ne prendra pas de lui-même de leurs nouvelles, mais aime savoir s'ils vont bien. Il est angoissé à l'idée qu'il leur arrive quoi que ce soit. Mais à l'inverse, il fera tout pour leur cacher ce qui ne va pas.
  Il n'arrive pas non plus à rester fâché avec quelqu'un. Il ne pardonne pas forcément, mais préfère connaître les raisons d'une action malencontreuse plutôt que de rester en colère contre autrui. Mais cette manière de penser ne lui rend pas forcément service et, il est probable que certain pourrait en profiter, sans qu'il n'y fasse attention lui-même.
  
  Culture. Traditions. Développent. Écologie. Climat.
  
  
  
  Soren est fière de sa culture. Et peut importe le regard que porte les autres sur celle-ci d'ailleurs. Il sait aussi que sa chasse à la baleine est très controversé par le reste du monde en ce moment, mais il ne s'intéresse que vaguement au sujet. Il ne veut pas que ses traditions soient changées pour faire plaisir à la morale.
  
  En parlant de traditions, elles sont aussi une part importante de sa personne, même si le fait de croire que tout être à une âme puisse faire sourire certains Pays. Il respecte les croyances de chacun tant qu'on ne vient pas lui casser les pieds avec les siennes. Il passe d'ailleurs le plus clair de son temps, quand il est dans son propre pays, en compagnie d'Amarok ou de Nanuq.
  
  Soren sait aussi que la richesse de son sous-sol est loin de désintérêt pour les autres. Sa propre exploitation minière n'ayant pas pus être maintenue à cause du coup élevé de ce genre d'exploitation, il a quand même permit (avec l'approbation de Danemark) à l'Australie de s'installer sur le plateau rocheux au-dessus de sa ville de Narsaq. Il maintient son économie surtout grâce à la pêche, mais aussi grâce au tourisme.
  
  Soren aime l'environnement. C'est un peut une seconde religion pour lui. Il peut passer des heures à parler de la nature, mais généralement, ça n'intéresse pas grand monde. Il arrive tout de même à garder son sang-froid vis-à-vis des nations qui non pas le même intérêts pour l'écologie. Mais il ne faut tout de même pas trop le chagriner à ce propos, au risque de vous recevoir un harpon.
  Puisque oui, Soren sait aussi très bien chasser, il a une bonne vue et vise à la perfection, surtout quand il est en colère.
  
  Par contre, ne venez pas lui parler de méditerrané ou autres destination tropicale. Il a une sainte horreur de la chaleur. C'est bien simple, dès qu'il fait un peu trop chaud, il commence à se sentir mal, à avoir des vertiges et, dans le cas ou il n'a ni eau ni glace pour remédier à cet état, il tombe dans les pommes. Et puis, c'est bien connu, la méditerrané c'est polluée et il n'y a pas de vagues, alors aucun intérêt.
  Devrais-je préciser qu'il est adepte de la mauvaise fois ?
  
  Sourire. Doute. Protection. Têtu. Bière.
  
  
  
  Soren est constamment en train de sourire. Pas parce qu'il va particulièrement bien, mais pour au moins le faire croire à son entourage. Enfin, à ceux qui ne sont pas très observateurs. Il ne sourit presque jamais sincèrement. Il doute aussi de tout et tout le monde. Même s'il ne cesse de dire qu'il déteste les autres, il laisse tout de même sa porte grande ouverte à quiconque passe par chez lui, au risque d'héberger des nations piques-assiette et envahissantes.
  Quand on s'en prend personnellement à sa personne, il ne dit rien, principalement parce que ce n'est pas dans sa nature. Et comme il croit constamment qu'il fait quelque chose de travers, il pense mériter ces attaques personnels. Il n'a aucune confiance en lui-même et il compte trop souvent sur Danemark ou les autres pour le défendre.
  
  Par contre, on ne touche pas à la famille. Il est prompt à ce mètre en colère si quelqu'un s'en prend à un membre de sa fratrie. Même si c'est eux qui cherche les ennuis, il les défendra quoiqu'il arrive. Et pas besoin d'armée pour ça, un bon harpon suffit.
  
  Soren aime la bière. Sans doute dû à l'influence Danoise. Il est fier de dire que, son pays produit la plus pure, grâce à ses icebergs. A ses yeux, elle est donc la meilleure. Mais ça ne l'empêchera pas de boire celle d'un autre pays si on le lui propose.
  
  Mais surtout, pas un mot à ses ainés, ils n'en savent rien.
  
  Un autre trait hérité du Danemark ? Soren est borné. Pas la peine d'essayer de lui faire changer d'avis ou entendre raison. Pire encore, si vous lui tapez trop sur le système, il est -littéralement-capable de vous mordre !
  
  
  Particularités :
  
  -Depuis peu, un renard arctique a élu domicile dans sa maison.
  -Il aime aussi découvrir les créatures « imaginaires et invisibles » présentes dans les autres pays.
  -Il a aussi commencé un classement des meilleures bières à travers le globe.
  -Il aime aussi vérifier si les expressions sur un pays sont fondées.
  -Il collectionne les harpons et les aiguises régulièrement.

Physique

Soren n'a pas une apparence très masculine, pour sont plus grand malheur. Rien ne laisse penser qu'on parle à un garçon. A peine plus grand que Finlande, il camoufle admirablement bien (sans pour autant le faire exprès) sous son anorak, les muscles que la chasse lui a permis de développer. Ses yeux en amendes sont bleus. Il ne sait pas s'ils l'étaient à sa naissance ou si c'est survenu après sa découverte par la Norvège. Après tout, il n'a jamais eu l'occasion de se regarder dans un miroir avant. Ses cheveux son blanc et épais, comme le pelage des animaux de chez lui(gros avantage en thermes d'isolation thermique) et il les porte plus ou moins longs. Quand leur longueur dépasse ses omoplates, il les coupe. Enfin, couper est un bien grand mot. Il les coiffe rarement, jugeant avoir mieux à faire et, ne les attaches que si c'est indispensable ou que cela le dérange pour faire quelque chose.
Sa voix n'est pas non plus un facteur important de renseignement pour connaître le genre auquel appartient Soren. Le ton qu'elle prend quand il est agacé ressemble au vent qui souffle sur la banquise. Sinon, il ne met pas d'intonation particulière, pour que ses-rares-interlocuteurs ne sachent pas ce qu'il pense. C'est surtout un subterfuge pour ne commettre aucun impair. Alors, oui, Soren n'est pas un monument à la gloire de la Masculinité -avec un grand M majuscule s'il vous plait- gonflé d'orgueil et de testostérone et sa voix ne permet pas de savoir qu'il est du côté Mâle de la force. (ni femelle d'ailleurs...) Et son visage est plus celui d'une fille, mais ça ne l'empêche pas de vivre et, de son point de vue, c'est le principal. Même si se faire appeler « mademoiselle » par tout le monde est un peu vexant. Le meilleur moyen d'échapper à un jet mortel de harpon ? Quand il commence à avoir un tic nerveux de l'œil droit, il vaut mieux commencer à s'éloigner. Si vous êtes courageux (ou masochiste) et que vous faire mordre est un de vos passe-temps, vous vous rendrez vite compte que les canines de Soren sont vraiment pointues ! C'est plus pratique, quand on mange de la viande crue.

car tu as toi-même tracé le chemin
C'est ton Histoire ;

Une nouvelle déception. Un nouveau mensonge.

Il aurait du s'y attendre.
Pourquoi ne c'était-il pas douté qu'une fois encore, il serait laissé derrière ? Que personne ne se donnerait la peine de le mettre au courant ? Il n'était rien, il n'était personne, alors à quoi bon ? Qui s'en soucie, de toute façon ?

Il avait pourtant cru que ce serait fini, qu'il n'y aurait plus ce genre d'obstacles. Il s'était trompé, comme à chaque fois.
Pourtant, il savait qu'il ne fallait pas s'attendre à grand-chose avec les autres nations. Il se sentait seul. Et aussi complètement étranger à cette situation.

Alors, quand cela ce terminera-t-il ?

Tout à ses réflexions, il finit par se déconnecter du monde et à se souvenir. Ses espoirs et déceptions passé.

Alors, quand allons-nous rencontrer de nouveau, mon ami ?

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-Dit, ou vont les caribous quand la mer gèle ?

Le vieux chaman regarda l'enfant dans les yeux. Malgré les apparences, le vieil homme savait qu'il ne se trouvait pas face à un enfant, pas même un être humain. Il était autre chose.

-Je n'ai pas la réponse à cette question.
-Mais ils doivent bien aller quelque part.
-Il n'y a rien de l'autre côté de la mer.

Cette affirmation ne convenait pas au petit garçon. Les caribous ne faisaient pas que marcher sur la glace.

-Alors, j'irais avec Amarok, voir ou vont les caribous.
-Et nous vous attendrons, pour savoir ce qu'il y a de l'autre côté.

Et l'enfant, accompagné de l'esprit loup étaient partis.

Le chaman avait tort. Il y avait quelque chose de l'autre côté de la mer. D'autres terres, avec d'autres hommes et aussi, un autre enfant, comme lui. Le garçon était resté. Quand il avait à nouveau traversé la mer de glace et qu'il était retourné voir sa tribu, il avait perçut quelque chose d'étrange. Ses yeux ne captèrent aucun mouvement et ses oreilles ne perçurent aucune voix. Il n'y avait personne. Il s'était alors tourné vers l'esprit loup.

-Ils doivent être à la chasse. Nous allons les attendre.

Et ils avaient attendu, assis sur le sol. Par lassitude, Amarok s'était couché. Dès lors, son flanc servi à l'enfant pour qu'il y pose sa tête. Et bientôt, seul le silence, les absences du loup géant qui allait chasser ainsi que le vent froid furent les seules choses qui rythmèrent ses journées. Et comme cela fini par l'agacer, l'enfant se mit à chanter.

~Avec des jeunes vêtus en peau de bêtes, on danse ensemble au milieu des tempêtes...~

Il ne savait pas depuis combien de temps ils étaient là quand il comprit. Ce qui pesait aussi lourd sur son cœur. Et quand il sut enfin ce que c'était, il passa ses bras autour du coup d'Amarok. Il parla, à voix très basse, pour que les mots ne le blessent pas davantage.

-Amarok, ils ne reviendront pas, hein ? Ils sont partis avec Sedna au fond de l'océan. Dans le monde d'où personne ne revient.

L'esprit loup n'émit qu'un grognement doux. Alors, l'enfant enfoui son visage dans l'épaisse fourrure, sera les dents, mais ne put retenir ses larmes. C'était sa faute. Il était parti trop longtemps. Personne ne pouvait encore l'attendre ici. Les humains sont des êtres éphémères, ils ne sont pas immortels. Lui-même ne l'était pas. Quand il eut fini de pleurer, lui et Amarok quittèrent cet endroit. L'enfant du se débrouiller pour chasser, même si Nanuq et les enfants d'Amarok l'aidaient quelquefois. Il ne vivait plus qu'avec les animaux et les esprits.

Un jour, alors qu'il attendait le loup géant qui était parti chasser, il crut entendre une voix. Une voix qui semblait provenir du ciel au-dessus de lui.
Et il sentit l'écho de cette voix résonner dans son cœur, sans savoir pourquoi.
Cela lui rappelât le temps où il n'était pas seul, traversant les saisons sans vieillir, alors que les membres de sa tribu finissaient inexorablement par mourir. Mais il n'était pas seul. C'est à ce moment que les paroles du chaman lui revinrent.
« Il n'y a rien de l'autre coté de la mer. »
Il ne parlait peut-être pas de l'absence de chose vivantes et matériels, mais de ce qui importait vraiment. De ce qui était important pour lui.
L'odeur de la neige.
Et le chant des fils d'Amarok, mêlé au vent et au bruit des vagues.

Il se souvenait de beaucoup de choses, mais se tourner vers le passé risquait de lui en faire perdre. Comme ce qu'il avait perdu en traversant la mer glacée.

Comme poussé par une force inconnue, il avait descendu le chemin menant à la côte, priant les esprits que ce ne soit pas une simple illusion.
Il se dirigeait vers le lendemain, sans faire ses adieux au jour passé.

Est-ce que ses souvenirs étaient toujours intactes ?
Ou bien ses larmes les avaient-elles brouillés ?

Quelque chose, derrière la ligne d'horizon, continuait de l'appeler.
Y avait-il quelqu'un au-delà d'où le portaient ses jambes douloureuses ?
Et chaque pas lui disait qu'il fallait continuer d'avancer. Quelque chose le tirait.
Devant l'océan, ses pieds au plus près des vagues, il sentit le froid du soir, en ignorant encore ce qu'il attendait.

" Tout laisser derrière soi est vraiment douloureux."

Et s'il pouvait pleurer.
Et s'il pouvait vivre.
Il voulait aller là-bas.
Dire au revoir au paradis, là quelque part, sous l'océan.

Le lendemain, quand Amarok l'avait retrouvé, l'enfant ne savait toujours pas pourquoi il se tenait ici. En attendant que ce qui l'avait attiré sur la côte ne se montre enfin, il commença de manger la proie que lui avait ramener Amarok.

Ses mains maculées de sang, tenant entre ses doigts des morceaux de viande, le visage barbouillé d'hémoglobine à demi séchée, il se sentit observé. Il releva la tête en direction de l'océan. Son regard ne tomba pas sur les vagues et l'écume, mais sur des yeux d'un bleu qu'il trouva presque magique sur le moment. Et sans sourire, sans pleurer, tout ce qu'il put dire et qui apparaissait comme la chose la plus censée et qui démontrerait au mieux son extrême agitation, se tenait en un seul mot de sa langue.

-Qujanaq.

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Le souvenir du jour ou il avait rencontré Norvège.
Aujourd'hui aussi il regardait l'océan, sachant que derrière la ligne d'horizon, se trouvait Islande, le membre le plus proche de sa famille, géographiquement.
Il se permit un sourire.
Regardant du coin de l'œil la nation qui se trouvait à coté de lui, venue pour le soutenir.

-Dit, tu sais ce qu'il y a de l'autre côté de l'océan ?

-De l'autre côté, il y a ma famille et aussi ma maison. «  Je ne suis plus seul »

Parce que Ludwig ne pourrait pas indéfiniment occuper le Danemark.
Alors ce jour-là, il pourrait rentrer chez lui.

*Qujanaq : Merci en Groenlandais.
*Sedna est la déesse de la mer et ressemble un peu à une sirène.
*Pour les Groenlandais, le paradis se situe au fond de l'océan. Un monde ou abonde phoques et poissons.

derrière l'écran, un humain
Et toi ? Qui es-tu ? ;

Pseudo : Celaniel
Avatar : Shiro, de Deadman Wonderlan(qui pour le coup, est une fille XD)
Comment avez vous connu le forum ? Parce que Google est mon ami voyons !
Suggestions pour celui-ci ? Euh...Distribution de bières gratuites ?
Remarques ?Vu par Ludwig