Qu'es-tu exactement ?
Identité ;

Nom : Rouissi Prénom : Leïla Nation Représentée : Tunisie Age Humain : Environ une vingtaine d'années Sexe : Féminin Date de Naissance : 20 Mars Rang Personnalisé : Ah bon ? Chez vous, quand il pleut, il n'y a pas d'inondations ?!

Au delà de la chair
Le Toi nation, le Toi humain ;

Caractère

Leila est une fille douce et très polie/gentille/agréable... En fait, l''Insolente' ne se réveille que lorsque la tunisienne à une voiture entre les mains. Elle passe de 'Fille gentille et très agréable' à 'Insolente vraiment dangereuse'.

*mise en marche du 'Simulateur de la vie de Leila'... *

Vous vous appelez Leila. Vous rentrez dans votre voiture pour prendre la route. Arrivée devant un rond-point, que faites-vous ? Et bien vous ne le prenez pas ! Franchement, à quoi sa sert d'avoir mis ces trucs un peu partout, il n'y a que les touristes qui s'en servent !
Devant vous, il y a une priorité à droite, que faites-vous ? Et bien vous passez sous le nez de la voiture prioritaire, et vous n'oubliez pas de faire de vagues signes de la main par la vitre, comme ça la voiture prioritaire comprendra que vous êtes du coin !
Ooh ! Un route à deux files... Vous trouvez qu'il n'y a pas assez de place. Vous improvisez donc une troisième file !

*arrêt du simulateur *

A part ça, Leila à un tempérament assez calme et n'est pas très bavarde.

Physique

Leila mesure environ 1m70, mais est assez ronde. Ses longs cheveux bruns et très légèrement bouclés (qu'elle préfère garder attachés, et c'est dommage, car ils sont vachement beaux, mais je garde espoir qu'un jour elle les laisse détachés !) peuvent virer au brun caramel sous les rayons du soleil, et devenir presque noirs à l'ombre. Ses yeux sont noisette, avec quelques reflets chocolat, et sa peau à une jolie teinte légèrement cuivrée.
Leila n'aime pas du tout les robes. Mais vraiment pas du tout. Bah quoi ? C'est vraiment pas pratique ces trucs ! Le mieux, c'est une chemise (un peu trop grande, c'est mieux pour être à l'aise), un pantalon et des baskets, non ?
Elle a tout le temps un sourire aux lèvres. Tout le temps.

car tu as toi-même tracé le chemin
C'est ton Histoire ;

Un jeune homme aux cheveux dorés se pencha vers elle et murmura: « Viens, nous rentrons à la maison. ». L'enfant s'agrippa à la manche de l'homme qui la prit alors dans ses bras et se rendit chez lui.

Leila se réveilla en sursaut. Elle venait de rêver du jour où elle avait rencontrée Francis. Ou plutôt, le jour où Francis l'avait pris sous son aile. Après tout, c'était pareil. La tunisienne abandonna son lit à regrets. Elle devait parler à Francis. Elle se lava rapidement, s'attacha les cheveux d'un simple queue-de-cheval. Elle se vêtit d'une chemise ocre un peu trop grande pour elle, qu'elle resserrait à la taille par une fine corde, et un pantalon assortit. Elle mit ses botte militaires noires et sortit enfin de sa chambre.
Francis était installé dans le canapé, il lisait le journal. Leila s'assit à côté de lui.
- Francis, je dois te parler.
Elle s'étonna elle même de ne plus l'appeler 'Grand-frère', mais à présent elle ne pouvait revenir en arrière. Sa décision était prise.
- Parles, je t'écoute.
- Et bien... Je dois... Je veux... Non, rien, laisse tomber.
Francis opina du chef, puis retourna à sa lecture. Les mots ne sortaient plus. Leila n'arrivait pas à exprimer le fond de ses pensées.
Elle se leva et sortit de la maison en courant, sous le regard étonné de son ainé. De l'air ! Il lui fallait de l'air ! Leila continua de courir, pour finir par s'effondrer à l'ombre d'un arbre. Elle leva les yeux vers le ciel. Il était gris et l'air se rafraichit soudain, puis la pluie se mit à tomber. La tunisienne s'adossa à l'arbre, et remit ses idées en place. Pour faire simple, elle voulait se séparer d'un pays plus puissant qu'elle, risquant de se le mettre à dos, lui ainsi que ses alliés (enfin, peut-être.). La brune laissa échapper un soupir, tout était tellement plus simple quand elle était enfant !
Il fallait demander conseil à quelqu'un qui avait ressentit la même chose qu'elle.
Quelqu'un qui s'est déjà révolté contre son tuteur.
Alfred.
Si Leila dévoilerait ses plans à l'américain, peut-être allait-il lui donner des conseil afin de limiter les dégas ! Elle se releva, et malgré la pluie battante, ne prit pas le temps de prendre une veste ou un parapluie. Elle prit le taxi jusqu'à l'aéroport le plus proche et décolla vers les USA. Environ une demi-journée plus tard, elle arriva aux States. En sortant de l'aéroport, elle se rendit compte, mais trop tard, qu'elle avait oublié de prévenir Alfred de son arrivée. Elle prit donc le taxi jusqu'à chez lui.

- Alors ! Comment as-tu fait pour prendre ton indépendance ?
- J'ai pris mon armée et j'ai attendu Arthur sur le champ de bataille !
Leila soupira, elle n'avait pas d'armée, alors comment allait-elle faire si Francis prenait mal sa demande de liberté ?
- Mmh... Et si ça tourne mal, est-ce que tu m'enverras un coup de main, une armée par exemple ?
Alfred parut hésiter, puis finit par répondre.
- Non. Je ne t'aiderait pas, car moi, personne ne m'a aidé.
- D'accord, merci quand même, pour l'accueille.

Plus d'une semaine était passée depuis sa conversation avec Alfred, et Leila n'avait toujours pas pris de décision définitive. Elle prit donc son courage à deux mains, et retrouva Francis dans le salon, comme s'il n'avait pas bougé depuis son départ aux États-Unis.
- Francis, je à te parler.
- Parles, je t'écoute.
- Je veux... Je veux prendre mon indépendance !
Le blond parut décontenancé.
- Et pourquoi veux-tu cela ?
- J'ai besoin de liberté, je ne peux pas rester sous ton aile indéfiniment, et je veux être une nation à part entière.
L'homme eu une mine désolé. Il se leva et enlaça une dernière fois celle qu'il avait considérée comme sa sœur, en lui murmurant ces mots: « Fort bien, alors à présent, nous sommes ennemis. »

Quelques années après avoir recueilli l'enfant, le jeune homme la prit dans ses bras et lui dit quelques mots...

« A présent, nous sommes alliés, et tu sera comme ma sœur ! »

derrière l'écran, un humain
Et toi ? Qui es-tu ? ;

Pseudo : Certains gens m'appellent Pluie ^^
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Remarques ? Vu par Ludwig