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 Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée.

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Lucie / Île-de-France


Lucie / Île-de-France

Capitale du Beau ♫


Messages : 163
Citation : « Il y a, entre Londres et Paris, cette différence que Paris est fait pour l'étranger et Londres pour l'Anglais. L'Angleterre a bâti Londres pour son propre usage, la France a bâti Paris pour le monde entier. » de Ralph Waldo Emerson

Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée. Vide
MessageSujet: Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée.   Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée. Icon_minitimeSam 17 Nov - 13:50

Île-de-France || Région française

Nom & Prénom : Lucie de Notre-Dame
Age Humain : 22 ans
Sexe : Elle est une demoiselle, sans aucun doute ♪
Date de Naissance : 14 juillet. La demoiselle ne s'est pas cassée la tête et elle a copié celle de Francis. Comme ça il a aucune excuse et il ne peut pas oublier de lui souhaiter! (Ça, c'est la version officielle...)
Rang personnalisé : Capitale du Beau ♫

Caractère
♠ - Impulsive
    Il faut le savoir, l'Ile de France est une demoiselle qui part rapidement au quart de tour. C'est étrange d'ailleurs, de voir combien son caractère piquant tranche immédiatement avec le flegme dont peu faire preuve la France. Mais bon, c'est surement ce qui doit la rendre fréquentable, de péter son câble une fois tout les quatre matins. Enfaite, vous avez statistiquement une chance sur une de la croiser pendant qu'elle fait grève la première fois. Ensuite, c'est au hasard! Si on ne l'a pas contrarié lorsqu'elle s'est levée ou qu'on ne lui a pas fait de réflexions qu'elle estimera vexante, et bien vous avez toutes les chances de discuter sereinement avec elle. Et avec un sourire en prime. Si c'est pas beau ça.

♠ - Tranchante
    Lucie n'a pas la langue dans sa poche, et cela peut parfois lui attirer des ennuis. Je vous laisse deviner qui n'a pas été fichu de se taire lors d'une conférence mondiale sur le taux de pollution nucléaire produit par les anglais pile au moment ou c'était au tour d'Arthur de parler. Et oui, vous l'aurez compris, elle a cette volonté d'être remarquée, même si ça doit gêner quelqu'un d'autre. Mais bon, de temps à autre, elle s’essaie a tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, pour éviter de mettre Francis dans l'embarras. Ou tout du moins, plus qu'il ne l'est déjà.

♠ - Maladroite
    Oh bien sur, des lors qu'il est question de tourisme, de commerce, de musées, de monuments et autres qui font de la Capitale qu'elle héberge un symbole d'admiration, Lucie est au taquet, pour parler familièrement. En revanche, des lors qu'il faut formuler des remerciements, des excuses ou un vague discours dans le même genre, la demoiselle perds presque tout ses moyens. Ce n'est pas qu'elle ne veut pas se coller à la tâche, mais c'est surtout qu'elle n'a pas été le moins du monde habituée a baigner dans ce type d'activité. Et puis en général, les excuses, c'est a elle qu'on les faisaient, et non le contraire! Elle n’apprécie pas vraiment le blabla en tout genre. Seul le concret compte, pour sa petite personne.

♠ - Attachante
    Si par un miracle quelconque - ou une visite avec un porte-monnaie garni a souhait- vous tomber sur elle lorsqu'elle est dans ses bons jours, il sera possible de passer une journée mémorable en sa compagnie. Elle vous trainera partout, d'un bout à l'autre de sa région pour vous divertir s'il le faut. Et puis vous pourrez aussi vous rendre compte a quel point elle peut être gentille lorsqu’elle laisse son tempérament agressif au possible de côté. Il ne faut pas croire! Sous cette carapace ce cache une âme sympathique, qui donnerait volontiers sa chemise pour... une autre chemise. Bref, ce sera mémorable. Voila.

♠ - Passionnée
    Lucie adore sa région, mais également son pays! Bien que souvent en conflit avec la Bretagne dans un ancien temps, aujourd’hui, elle demeure ravie d'aller passer quelques jours chez ses ô combien nombreuses cousines. Au frais de Francis, bien entendu - Hey, elle est dépendante après tout! Même Monaco, elle l'aime bien! D'ailleurs, lorsqu'il s’agit de parler shopping, la De Notre-Dame - nom choisit grâce a la bâtisse séculaire dont elle est littéralement tombée amoureuse lorsqu'elle fut terminée - se dirige inéluctablement vers son homologue féminine du Sud dans le domaine. Ainsi, pas de faute de goût a craindre!

♠ - Fière
    Fière de sa patrie, fière de ce qu'elle est, fière de sa belle avenue si réputée, fière de... tant de choses. Lucie possède un égo surdimensionné et l'entendre vanter les mérites de tout ceci n'est guère rare. En plus, elle sait recevoir et pas qu'un peu! Lorsque quelqu'un est invité chez elle, qu'il soit nation ou humain, qu'elle l’aime, ou non, elle mettra absolument tout en œuvre pour l'impressionner et lui en mettre plein les yeux. Question de fierté mal placée sans doute, elle refuse d'admettre que l'on peut faire mieux qu'elle. D'ailleurs, elle n'a toujours pas digérer cette victoire de Londres lors de la délibération de la ville ou auraient lieu des Jeux Olympiques de 2010. A ses yeux, c'était Paris la ville la plus qualifiée et cet échec cuisant laisse encore des marques. Mais bon, tant pis, ça ne lui fait jamais qu'un argument de plus pour pourrir l'anglais et dans un sens, ça lui procure un petite compensation plaisante. Ah, fierté, quand tu nous tiens...


Physique
Lucie est ci, Lucie est ça, et patati et patata. On entend beaucoup de choses fuser à son propos, mais au final, le portrait qui s’avère le plus vrai n’est pas le plus couramment rependu. Il faut avoir vu l’Ile-de-France au moins une fois pour se faire une idée précise de son entièreté, sans doute.

Commençons par le bas. La demoiselle porte souvent d’élégantes chaussures à talons ou des bottines assortis à la majeure partie de la tenue qu’elle porte – exception faites des marathon organisés chez elle comme « La Parisienne » et pour lesquels elle chausse les baskets, exceptionnellement. On est française jusqu’au bout des ongles ou on ne l’est pas, point barre et la blonde met un point d’honneur à respecter cet adage. Même ses ongles seront parfaitement manucurés et en accord parfait avec ses vêtements. Il en est de même pour les accessoires, cela va sans dite ! Une paire de lunettes de soleil rose avec un ensemble blanc, ça jure, point à la ligne. Toujours habillée joliment et mettant l’accent sur tous les petits détails que l’on ne remarque pas forcément, le plus simple est de dire que vestimentairement parlant, Lucie est un peu l‘archétype de la jeune femme moderne dans la fleur de l’âge. Mais bon, elle a de qui tenir, aussi.

Autrement, niveau forme, on peut s’accorder pour dire que la région a été gâtée par la nature. Sur son passage, les hommes – et certaines femmes aussi – se retournent inéluctablement. En plus d’avoir ce charisme et cette prestance naturelle, son habitude de toujours mettre ses « avantages » en valeurs la fait se distinguer assez bien lorsqu’elle marche dans la rue ou qu’elle s’époumone derrière un métro. Des hanches marquées sans être trop proéminente, une taille fille, type guêpe – vestige des ô combien nombreux corset qu’elle fut contrainte de porter par le passé – une poitrine aguichante puisque versant dans l’approximatif 95 D, bref, elle n’échappe pas aux regards de tout à chacun. Et ça lui plait. Elle se sent femme, au moins, comme ça.

Et puis elle possède un autre avantage, physiquement parlant ! Si elle ne peut être appelée mannequin d’un point de vue taille, Lucie n’est pas une naine non plus. Son crâne culmine à un mètre soixante-douze, précisément. C’est parfait ainsi, on ne la prends pas souvent de haut ainsi – tout ce qu’elle déteste, surtout quand ça vient de Mister Sourcil. Pas géante pour autant, elle a la possibilité de se fondre facilement dans la foule si cela lui chante. Bref, elle s’estime très chanceuse d’un point de vue physionomique et on ne l’entendra jamais se plaindre à ce sujet.

D’autant que même son visage est agréable à regarder ! Des traits fins, sans aucuns sursauts, une peau lisse et uniformément pâle, des yeux bleus profonds et une chevelure blonde claire lui descendant jusque dans le bas du dos, voici la première image que vous pourrez avoir d’elle. Fière tout particulièrement de ses orbes et de ses cheveux, il n’est pas rare de la voir se maquillée légèrement juste avant d’entrée en réunion mondiale ou nationale et d’agrémenter sa chevelure de quelques rubans de plusieurs teintes, prenant ainsi plaisir à imiter Francis e tant a autres. Et puis c’est jouissif de faire ça, surtout avec Arthur a côté, histoire qu’il se rappelle bien qu’il y a deux français dans la salle. Ahah.

Elle n’est pas superficielle, elle prend tout simplement soin d’elle, rien de plus. Il n’y a bien que devant Francis qu’elle pourrait se laisser aller a un peu de négligence, et encore, c’est très rare ! Mais d’un point de vue général, qu’il soit neuf heure du matin ou onze heure du soir, elle est tout à fait capable de se remettre un coup d’eye-liner ou de mascara pour donner une belle image de son apparence aux autres.

C'est ton histoire
[Je précise qu'il s'agit d'un OS que j'ai écrit en me mettant dans une situation historique précise, a savoir lorsque l'Angleterre déroba - oui oui disons le franchement uxu - le Canada à la France. Il me tenait très très a coeur mais je le changerais pour un test RP plus contemporain si nécessaire, pas de problème ~ ]
-1763-

Une silhouette fine et élancée s’avance sur une plage de galets inconfortables au possible. Malgré tout, rien de désagréable ne se peint sur le faciès de cette pré-adolescente qui sautille d’un rocher à l’autre. En vérité, sa neutralité ne prouve qu’une chose, elle est à la recherche de quelqu’un en particulier. Et d’ailleurs, elle ne tarde pas à le trouver. Là, tout seul, les pieds dans l’eau froide et salée, comme d’habitude. Mathieu William.
    « Mais qu’est-ce que tu fais encore ? » lance-t-elle, irritée. « C’est ridicule de lancer une bouteille dans l’eau comme ça. Tes vœux ne seront pas exaucés comme ça, qu’est-ce que tu crois ! »
Pourquoi elle n’avait pas commencé ses recherches directement ici ? Voilà deux heures que la fillette qui n’en était plus vraiment une a l’heure actuelle, parcourait de long en large le village le plus proche, ou il était censé résider en permanence.

Il tourne son regard violacé et uniforme vers selle, l’interrogeant presque du regard avant de lui répondre, sur un ton extrêmement doux.
    « Est-ce que mon invitée voudrait essayer aussi ?
    -Ca va bien oui ?! Tu me vois, moi, mettre les pieds dans cette étendue d’eau dont on ne voit pas le bout ? Et pour une chose aussi stupide en plus de ça ! » Répondit-elle, tranchante, comme à son habitude.
Il affiche une mine peinée. Lui, il y croyait dur comme fer à cette vieille légende. Et il aurait aimé que sa chère amie puisse y accorder crédit également. Mais en réalité, ce n’est pas qu’elle n’y croyait pas. Mais elle voyait simplement les choses autrement. Il en eut la preuve peu après.
    « Je veux dire… Commençât-elle en détournant son regard et laissant ses joues s’empourprer légèrement Tout ce que je veux moi ne sera-t-il pas réalisé par toi, Mathieu ? »
Un moment interdit, il se laisse finalement sourire et rire. Si tel était le désir de cette demoiselle…
****
Une autre plage, de sable fin cette fois, accueille les pas d’une carrure minuscule par rapport à la majorité de la population qu’elle incarne. Elle entre sans hésitation, jusqu’au niveau des chevilles, dans cette eau si froide mais qui ne l’effraie plus. Regardant au loin, les navires français partir en guerre pour l’indépendance de l’Amérique, elle se souvient, de cette plage de galets.
    « Qu’est-ce que tu souhaites si fort tous les jours ? Avait-elle demandé à l’époque, encore innocente de bien des choses.
    -Je souhaite que la poitrine de Damoiselle Lucie devienne énorme ! lui répondait-il, taquin.
    -Qu…Quoi ?! fut sa seule réaction, le reste d’une hypothétique phrase bloquée dans l’antre de sa gorge.
    -Je plaisante ! La rassurait-il, avec un sourire sincère. Je désire que mon invitée soir toujours heureuse.
    -Si c’est vraiment ce que tu veux… avait-elle dit en s’approchant alors de lui, croisant ses mains dans son dos alors reste toujours avec moi…
    -Hein ?
    -Les moments où je suis le plus heureuse, c’est lorsque je suis avec Mathieu. Avouait-elle alors, rougissante.
    -…. Alors, je suis rassuré. » avait conclu le dénommé.
Elle se souvenait, alors que l’embrun marin fouettait son visage. La moindre parole lui revenait en mémoire.
    « Tu as entendu cette histoire ?! »
C’était ainsi, qu’elle entendit parlé, par les lèvres de son très cher ami, du soi-disant secret caché de la mer.

Il avait toujours tout fait pour elle lorsqu’elle séjournait chez lui. Et même au-delà. Ils s’écrivaient très souvent, autant qu’ils le pouvaient. Dans un sens, comme dans l’autre. Et aujourd’hui, ce n’était plus possible. Et ces échanges lui manquaient atrocement. Bien plus qu’elle ne l’aurait jamais imaginé. Alors, elle lance à son tour, une bouteille de verre dans la mer. Son vœu à l’intérieur, gravé sur un parchemin de valeur. Pour honorer ce souvenir-là, il ne lui restait que cette solution. Et pas une autre.

Alors que les bateaux disparaissent cette fois ci totalement dans le soleil couchant, elle se remémore, encore. En fermant ses beaux yeux bleus.
*****
Ce soir-là, elle était partie comme une furie de la table d’hôte ou Mathieu l’avait invité si gentiment pourtant. La raison ? Elle s’était vexée pour une bête réflexion mais qui avait eu son importance sur le moment. Laquelle ? « Mais que fait cette simple région sur nos terres ? » avait murmuré un colon. Et Lucie l’avait très mal pris. Oui, c’est vrai, elle n’était pas Nation. Oui, c’est vrai, elle n’était pas indépendante. Oui, c’est vrai, elle dépendait de Francis. Mais. Elle avait tout de même un cœur. Des envies. Des craintes. Des blessures. Comme tout le monde.

En Mathieu, elle avait trouvé un frère. Celui qu’elle n’avait jamais eu. La complicité qu’elle avait avec lui contrastait de bien loin avec l’animosité qui animait la Bretagne lorsqu’elle voyait sa petite tête blonde approcher de son territoire. Au moins lui ne la chassait pas avec des mots acides et autres objets sordides. Au moins, avec lui, elle ne se sentait pas si différente que ça. Et elle avait aimé ça, ce changement, ce sentiment. C’était pour ça qu’elle n’était pas repartie immédiatement vers son Royaume Français, avec son représentant. Qu’importe, elle avait une escorte presque à chaque instant de la journée et un ferry tout prêt à la ramener au pays si besoin était.

Mais ça, elle n’en avait rien à faire. Sur le moment, cette simple phrase lui avait fait tant de mal que toute son énergie était brulée en pignements indescriptibles. Du haut de son petit mètre cinquante et de ses trente-cinq kilos tout mouillés elle n’impressionnait guère qui que ce soit et s’en fichait bien. Ce n’était pas ce qu’elle voulait, après tout. Être reconnue ? Et puis quoi encore, ça n’attire que des ennuis cette chose-ci ! Non non, sa condition lui convenait, mais pas la manière dont on la voyait. Aussi, ravalant ses sanglots, elle était parti bouder sur la plage rocheuse, n’attendant rien ni personne.

Ce soir-là, elle avait vu débarquer non loin des bateaux britanniques desquels furent déchargés bien des affaires. Mais sur le coup, Lucie n’y avait pas prêter attention ,se disant juste qu’Arthur était revenu sur ses décisions à propos du commerce entre le Canada et lui, pour ne pas changer. Elle n’avait pas senti le danger. Peut-être aurait-elle dû être plus prudente, finalement.

Oui, ça, elle se le répétait bien souvent, même des siècles plus tard.


Derrière elle pointe un souffle discontinu, trahissant une course folle très récente mais fort peu maitrisée. Elle ne se retourne même pas, elle sait de qui il s’agit. Mathieu…

Il s’approche et tente de poser une main sur son épaule, pour l’apaiser, sans doute. Mais elle ne le conçoit pas du même œil. Lucie de Notre-Dame a décidé de bouder et foi de française, elle boudera ! Enfin, ça, c’était ce qu’elle pensait avant de passer définitivement a l’acte. Essayant de jouer la rebelle et d’effrayer le négociateur, la capricieuse se redressa d’un coup et secoua l’autre blond d’un violent « Ne me touches pas ! ». Le tout assorti d’une gifle qui fit tomber en arrière le garçonnet venu la retrouver dès qu’il l’avait pu.

Elle ne se rendit compte que bien trop tard de son erreur.


Ses ardeurs furent immédiatement calmées sitôt qu’elle remarqué d’une ligne sanguine naissait depuis le front de Mathieu et lui traversait le visage en une ligne irrégulière. Que venait-elle de faire… ? Il s’était blessé à cause d’un galet oui, mais c’était de sa faute à elle. Sur le coup, Lucie eut presque envie de pleurer. Mais les mots, tout comme les sanglots, restèrent coincés ce soir-là dans sa gorge.

Et elle ne prêtait toujours pas attention aux bateaux anglais qui arrivaient encore en plus grand notre, sur la plage voisine.

Canada se relevât alors et, en la regardant tristement, déclarant en rebroussant chemin « Je vais aller me coucher, je pense que ça vaut mieux. A demain, Lucie. Bonne nuit. » Et il avait disparu au détour d’un arbre, regagnant son domicile. Pendant ce temps, le cœur de la région s’était comme gelé. Les conséquences de sa bêtises commençaient seulement à lui parvenir et elle dû prendre sur elle pour ne pas fondre en larmes sur ces pierres froides.
    « Mathieu… »
A la place, sans doute avec l’énergie du désespoir, elle fit un petit pas en avant, bientôt emboité par un second puis un troisième. Elle trottina ensuite jusqu’à la maison ou demeurait son frère. Fermée à clef. Elle n’osât guère frapper, d’autant qu’il semblait y avoir du monde à l’intérieur, des adultes. Elle ne les voyait pas mais le timbres grave de leurs voix laissait penser à une conversation dont elle n’aurait su comprendre l’entièreté ou encore l’importance. Tant pis, ça ne l’intéressait pas plus que ça de toute manière. Ingénieuse, elle contourna la bâtisse pour se retrouver devant la fenêtre de son cher hôte. Une chance, cette dernière était ouverte ! Ainsi, elle pourrait s’y glisser aisément.

Du moins le pensait-elle. Car, dès lors qu’elle voulut approcher sa main de l’encadrement de la fenêtre, un son désagréable lui parvint. Des pleurs. Et des sanglots. Mais ce n’était pas les siens, bien qu’elle les reconnaissaient parfaitement.

Le Canada pleurait. Mathieu pleurait.

Et une fois encore en moins de vingt minutes, elle fut tétanisée sur place, n’osant plus se mouvoir pendant un moment. Finalement, ramenant sa main contre elle, culpabilisant de sentir le blondinet si mal, elle fit demi-tour et retourna vers sa chambre, dans le bateau français du port tout proche. Elle s’en voulait atrocement, persuadée que les larmes de la jeune nation étaient le fruit de son emportement qu’elle aurait très bien pu contenir si elle l’avait voulu. Mais non, elle avait voulue faire son intéressante. Et elle le regrettait alors.
Elle apprendra bien plus tard qu’en réalité, si Mathieu pleurait c’est parce qu’un certain anglais venait de lui annoncer qu’il rejoignait ses colonies, la France le lui ayant céder. Le tout avec un sourire satisfait sur ses lèvres de conquérant.
Cette nuit-là, Lucie dormit mal, rêvant a comment elle pourrait présenter des excuses convenables à la personne la plus importante pour elle a l’heure qu’il était alors.
Mais, alors que le soleil la réveillât avec ses premiers rayons et qu’elle tentât de se lever, la fillette trébuchât violemment sur le sol de sa chambre dans un grand boum. Le choc fut si mal encaissé qu’elle eut l’impression que tout bougeait autour d’elle. Et puis elle réalisa que ce n’était pas qu’une impression. Ca bougeait. Elle bougeait. Et ça ne pouvait signifier qu’une seule chose étant donnée qu’elle se trouvait sur un navire.

Elle partait.

Mais elle n’avait donner ni son accord ni manifester une quelconque envie de quitter ces terres-ci. Paniquée, elle sorti de sa chambre en chemise de nuit blanche, beaucoup trop grande pour elle puisqu’emprunter à Mathieu peu de temps auparavant. Et, en arrivant sur le pont, elle put voir son angoisse se concrétiser. La terre s’éloignait de plus en plus. Les plages de galets devenaient de moins en moins imposantes. Oui, ils partaient. Mais elle ne pouvait l’accepter. Alors, folle, elle voulut courir vers la passerelle arrière, dernier rempart avant de pouvoir de nouveau serrer Mathieu tout contre elle. Son idée ? Sauter dans l’eau glacée, tout simplement. Il n’y avait pas plus court chemin pour parvenir jusqu’à son objectif. Mais il fallait rappeler qu’elle n’avait jamais que l’apparence d’une enfant. Et tout ce qui allait avec, bien entendu.

Un marin français, la voyant se précipitée, l’attrapa au vol, par la taille, juste avant qu’elle ne franchisse la limite de sécurité imposée. Elle en fut longtemps frustrée, d’échouer si près du but. Et les larmes roulèrent sur sa joue droite, avant d’aller également coloniser la gauche. Et elle appelait, désespérément. « Mathieu ! Mathieu ! Mathieu ! » entendait-on alors sur le pont, entrecouper que plusieurs hoquets dus aux sanglots.

Pendant ce temps, sur la plage que le navire couleur bleu Roy venait de quitter ;
    « Lucie… » Murmurait un garçonnet en tenant une petite boîte contenant un cadeau pour sa chère invitée.
Une ombre vient alors le couvrir entièrement, et un rire singulier peuple alors le silence ambiant, seulement accompagné par les flots se brisant sur les terres. L’adolescent reprend ;
    « Je n’ai même pas eu le temps de lui dire au revoir… »
Une larme coula sur sa joue mais ça ne semblât pas émouvoir plus que ça son « tuteur » qui ne parut même pas voir ce fameux cristal liquide.
    « Ahahah ! Francis doit tellement se mordre les doigts ! Mais bon, c’est ainsi et je suis le plus fort dit-il en tapotant sa nouvelle terre sur l’épaule Aller gamin, t’en fais pas va ! Tu y gagnes au change, je t’assure ! »
Canada fixa la ligne d’horizon avec laquelle venait de se fondre la forme si particulière du bateau transportant Lucie loin de lui. Angleterre reparti, victorieux et fier, vers la ville, demandant expressément au garçon de le suivre. Obéissant de nature, il ne put contester cette demande vêtue comme un ordre et emboita le pas à la Grande-Bretagne après avoir rangé le cadeau jamais délivré dans sa poche de pantalon. Mais il ne quitta pas cette plage, ce matin-là sans avoir précautionneusement murmura un :
    « Je ne t’oublierais pas. Promis, ma Lucie. »
C’est ainsi que le Canada rejoignit les nombreuses colonies anglaises.
*****
Sa gorge se serre alors que ses yeux la brûlent a force de fixer le soleil couchant sur le miroir du ciel. Paris détourna le regard, fixant maintenant sa précieuse bouteille contenant son vœu le plus cher. Aussitôt après, voilà le récipient transparent jeter vigoureusement quelque part dans les flots illuminés par l’astre du jour. Le voilà parti à la dérive.

Dérive. Ce simple mot arrache un tressautement à la jeune femme qui, après un silence et une stature interdite, se laisse choir entre les bras d’eaux salées. D’abord aussi silencieuse que la mort, elle se laisse aller à délivrer quelques larmes amères, une boule dans la gorge la prenant soudainement. Ces réminiscences paraissent vouloir la torturer. Sa petite bouteille, quant à elle, trace son chemin dans la mer.
*****
Le chemin du retour jusqu’à la France avait été long, et pénible. Lucie avait tant pleuré qu’elle n’avait sans doute plus une seule larme dans tout le corps. Et la fatigue s’était invitée aussi, sans sa permission.

Lorsque l’on fit amarrer le navire qui la transportait, après trois semaines de voyage à travers l’Océan, elle ne put pourtant que réagir agressivement envers France, venu lui-même la chercher à sa descente du bateau. « Pour qui se prenait-il ? » pensait-elle. On lui avait tout expliqué, a maintes reprises, sur ce vaisseau. Elle comprit vite que quelque chose de grave s’était passé mais il lui fallut se concentrer pour tout assimiler. L’Angleterre et la France étaient réconciliés. Francis avait en revanche perdu la guerre qui l’opposait au maudit pirate et ainsi, avait céder le Canada et bien d’autres territoires lui appartenant encore. Mais Lucie, en bonne égoïste, se fichait et des raisons et des autres nations potentiellement concernées par ce traité. Il n’y avait que son monde qui comptait à ses yeux.

Alors, petite mais teigneuse, elle se jeta sur le Bonnefoy et commença à marteler le torse de ce dernier avec ses petits poings, sans force réelle ni conviction assortie ou encore regards pour lui. Parce qu’au fond, elle savait bien que ce n’était pas de sa faute. Mais elle ne voulait tout simplement pas l’admettre. Les paroles acides fusèrent alors.
    « Je te déteste ! Je te déteste ! Je te hais même ! Comment tu as pu faire une chose pareille ?! Comment ?! Je te déteste ! C’est mon frère ! Rends moi mon frère !
    -Tais-toi donc ! Le coupât-il d’un ton sec, visiblement très agacé lui aussi.
    -…. S’il te plaît… geignit-elle, après une poignée de secondes silencieuses. Elle était persuadée qu’en montrant patte douce, elle pourrait revoir Mathieu. Mais ses espoirs furent vains, comme tout le reste d’ailleurs … Pourquoi tu lui a céder ?
    - Lucie… Tu ne comprends pas… entamât-il, l’air grave. Louis XV ne m’as pas consulter avant de prendre cette décision… IL l’a pris seul et j’en ai été informé en même temps que toi.
    -…Qu…oi ? » s’étranglât-elle alors.
Comment ? Comment un Roi osait-il faire ça a la Nation qui représentait son pouvoir ?! C’était impensable et irrespectueux ! La région fondit en tremblements dans les bras de Francis qui la ramena chez elle, au cœur de Paris, le plus vite possible.
*****
Les mois passèrent, tous plus mornes les uns que les autres. Il fallut un très long moment à l’Ile de France avant de pouvoir retrouver un semblant de sourire. Ce fut difficile. Mais battante dans l’âme, il lui fallait se montrer forte, sinon pour elle-même au moins pour Francis, dont elle avait déceler les plaies également. Lui aussi, souffrait. Mais il n’en laissait rien paraitre. Car il était fort, lui. Pas comme elle.
En revanche, elle se souviendra toujours de l’été suivant durant lequel, en rodant dans l’enceinte du Château de Versailles, elle était tombée sur un petit portrait la représentant en compagnie du jeune Canada. Cette peinture reflétait a merveilles le souvenir qu’elle conservait du jeune homme aussi, elle ne put s’empêcher de la serrer contre sa poitrine de plus en plus présente, sur son corps grandissant. Comme si ça pouvait remplacer le corps de Mathieu, cette mascarade…
Sa rêverie fut alors interrompu par France, qui entra à son tour dans la pièce sombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil passant à travers les rideaux mal fermés.
    « Je te cherchais. Dit-il
    - Et bien, me voilà.
    - Tu as pleuré ? avait-il demandé, en s’approchant d’elle, doucement.
    - Oh, non non, j’ai seulement une poussière dans l’œil, ce n’est rien ! » tentait-elle de convaincre son représentant, même si elle aurait voulu se mentir a elle-même aussi.
Mais elle n’eut guère le temps d’argumenter davantage que Francis l’enlaça tendrement contre son poitrail paré de l’uniforme militaire de l’époque et, posant sa tête sur la sienne et une main sur l’arrière de son crâne, il profitât de cet instant de proximité pour murmurer :
    « A moi aussi, il me manque. »
Encore une fois, la région pleurât, humidifiant les vêtements de Francis. Comment faisait-il pour lire si facilement en elle ? C’en était frustrant ! Elle ne pouvait même pas lui cacher ses travers !

Qu’importe, c’était fait, à présent. Et la petite déclaration se transforma alors en un discours improvisé et coloré.
    « Tu sais, je pourrais essayer de voir si nous pouvons rendre visite à Matthew prochainement toi et m…
    -Ah non !
    -…Que ?
    -Je refuse de l’appeler Matthew ! C’est laid ! Et puis son nom c’est Mathieu d’abord ! MA-THIEU ! Il est et restera Mathieu, toujours !
    -… Je te l’accorde. » conclut-il, un peu amusé de la situation tout de même.
Le silence se fit alors, trahissant que les protagonistes ne voyaient pour l’heure rien d’autre à ajouter à ce tableau. Sauf peut-être une pointe sarcastique.
    « N’empêche, je plains sincèrement Mathieu
    -Pourquoi Lucie ?
    -C’est Arthur qui s’occupe de le nourrir, je suppose… »
Alors, il partit d’un franc éclat de rire qui fut rapidement communicatif. Bientôt, la joie succéda à la tristesse et tout le monde put sécher les larmes venant de couler.
*****
D’autres larmes n’étaient, en revanche, pas sur le point de voir mourir leur flot. La de Notre-Dame se tenait là, à genoux dans l’eau froide de cette plage normande. Les bras ramenés autour d’elle, elle pleurait. Pathétique. Elle se trouvait si minable, à en appeler à une puissance supérieure pour contrer cette tristesse soudainement ressurgit d’entre les cendres de son cœur. Elle s’excusait et priait. Encore et encore. Puis vint la demande dont elle ne souviendra pendant encore bien longtemps, très certainement.
    « Dieu… Je vous en supplie… Si seulement… J’avais la possibilité de vivre encore… »
Puis une voix, qu’elle ne connaissait que trop bien, s’immisça jusqu’à ses tympans.
    « Ce serait agréable que l’on puissent se revoir. »
Alors elle se redressa vivement, cherchant de manière presque compulsive la personne ayant proférer ces quelques mots. Mais il n’y avait personne. Seulement elle, sur cette plage sans constructions.

Avait-elle été victime d’hallucinations ? Les sirènes des légendes se seraient-elles jouer d’elle également ? Qui pouvait le dire ? Elle-même n’aurait su définir exactement ce qui venait de se produire. Mais étrangement ça lui convenait. Ça lui avait redonné un peu d’espoir, et du baume au cœur. Au risque de passer pour une folle à lier, elle répondit tout de même au silence, devenu alors moins pesant, tout à coup.
    « C’est vrai… N’est-ce pas ? »
Elle sourit alors à l’immensité bleutée qui accueillait alors presque entièrement le soleil entre ses reins instables. Puis, jusqu’à ce que la fatigue l’emporte, elle regagnât également son lit, quelques heures plus tard. Sa peine paraissait moins pénible à supporter, à présent qu’elle s’était berner de la sorte.
+++
    « Nom, prénom et fonction s’il vous plait Mademoiselle demandât un type habillé de manière très élégante, à l’entrée de ce qui semblait être une salle de conférence
    -De Notre-Dame Lucie, je suis la Région de l’Ile de France convoquée à l’assemblée des Nations pour assister ma patrie la France aujourd’hui.
    -Bien, veuillez entrer je vous prie.
    -Merci. »
« Et aussi pour mettre un bon coup de poings dans les parties d’Angleterre si j’en ai l’occasion » pensât-elle si fort que ça parut presque se lire sur son visage. Elle ? Fourbe ? Et bien le moins que l’on puisse dire, c’était que son caractère ne s’était pas améliorer ni même adoucit avec l’âge. Bien au contraire ! Aussi, acide, elle avait su l’être presque sur commande. Enfin, lorsque son caractère impulsif ne prenait pas le dessus sur son self-control, bien entendu.

On la mena jusqu’à la chaise qui lui était réservée, juste entre France et Angleterre. Magnifique. Elle pourrait emmerder l’anglais en le snobant pour discuter avec Londres, assise juste à côté de lui. Parfait.

Mais elle ne s’attendait pas à le voir de l’autre côté de France, en revanche.

Il s’en était passées des choses, depuis leurs séparations, près de trois cents ans auparavant. La Prusse l’avait violée à plusieurs reprises lors de guerres abjectes et elle en gardait, toujours un profonds traumatisme. Il y eut aussi cette période où, avec Napoléon, tombé sous ses charmes, elle put visiter toutes les couronnes d’Europe, savamment gagnée par cette fin stratège. Sa vie avait été ponctuées de bien des manières. Mais aujourd’hui allait rester longtemps gravé comme inoubliable.

Lorsque le regards se croisèrent, ils restèrent un instant interdits, tous les deux, la surprise se lisant sur leurs visages respectifs. Lui non plus ne s’attendait pas à la revoir de « sitôt ». Il lui proposa sa main pour une poignée professionnelle et amicale. Elle s’en empara, un peu déçue. Mais la réunion allait débutée et ils ne pouvaient s’attarder autant.

Lorsqu’enfin, trois heures plus tard, on annonçât une coupure bien méritée, Ile de France sortie de la salle de trombe, voulant à tout prix aller se passer un coup d’eau sur le visage, se sentant mal. Mais un appel dans son dos la stoppa alors.
    « Lucie ! »
Ses pas pressés se stoppèrent. Elle savait que c’était lui. Et elle avait peur. Peur de sa réaction. Peur du résultat après tout ce temps passé loin l’un de l’autre. Peur d’avoir été en parti oubliée. Peur… de tout et rien à la fois.

Canada se tint alors derrière elle, lui souriant. Elle le sent, son sourire a lui, il est abrasif. On le devine même sans le voix, rien qu’au son de sa voix.
    « Ça fait longtemps.. N’est-ce pas… ? » ose t-il, presque intimidé.
Finalement, elle ne sut plus se contenir convenablement. Qu’importe que France, Angleterre ou n’importe qui d’autre passe dans le couloir à ce moment-là, il fallait qu’elle craque concrètement. Aussitôt, faisant volte-face, ses bras vinrent enlacer la Nation d’Amérique et elle retint un sanglot en enfouissant son visage dans la chemise du jeune homme, rendant sa phrase future presque incompréhensible.
    « Oui.. Bien trop longtemps ! »
Puis elle sanglotât quelque peu, alors qu’une main tendre lui caressait l’arrière du crâne, comme pour la rassurer.
    « Moi en tout cas, je ne t’ai jamais oublié, Lucie. »
Les pleurs redoublèrent, les étreintes également. Enfin, après tant d’années. Tant d’incertitudes. Voici que tout se perçait au grand jour. Et c’était une bonne chose. C’était tout ce qu’ils avaient toujours voulus.

Après un temps de latence, finalement, Matthew Williams reprit la parole, tout doucement ;
    « Ça te dirait de venir chez moi après la réunion ? Il a neigé en plus, en début de semaine… »
Elle relève la tête de son cou, les yeux embués par des larmes prêtent a tombées au moindre signe de faiblesse de sa part.
    « Mathieu… souffle-t-elle, comme si tout ceci ne pouvait être qu’un rêve
    -Aller, ne pleures plus, s’il te plaît. Je n’ai jamais pu supporter tes larmes à toi. » conclut-il en lui embrassant le front, comme le ferait tout frère avec sa cadette.
Paris sourit. Enfin. Elle l’a retrouvé. C’était tout ce dont elle avait besoin pour être totalement heureuse et satisfaite de sa condition.
C’est ainsi qu’elle se retrouva a peine vingt-quatre heure plus tard sous une tombée de flocons immaculés, sa main emmitouflées jointe à celle de Mathieu, qu’elle se refusait toujours à appeler par son nom britannique. Peu lui importait, elle pouvait sourire de nouveau. Et rire, aussi.
Elle avait retrouvé sa moitié.

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Ludwig / Allemagne


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Capricorne
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MessageSujet: Re: Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée.   Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée. Icon_minitimeMar 20 Nov - 18:39

Désolé du temps de réponse, et quel personnage ! Et le test RP convient tout à fait, ne t'en fais pas.
Te voici validée et membre du forum, bon jeu ! (même si le forum est très vide xD)

Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée. Valida13

Cher(e) nouvel(le) arrivant(e),

Le Staff a décidé que tu étais apte à partager un pan de l'Histoire avec nous, tu es donc validé. Faisant maintenant partie des nations ici présentes, ton siège à l'ONU t'attends, mais seulement après quelques formalités :

• Te présenter ici : Petit Topic de Présentation
• Poster ta fiche de demande de rps ici : Demandes de RP


Bienvenue parmi nous sur HetaRPG, où on espère que tu passeras du bon temps.
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Lucie / Île-de-France


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MessageSujet: Re: Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée.   Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée. Icon_minitimeMar 20 Nov - 19:49

Merci beaucoup! *^* ♥

(Oh, rien n'empêche un forum de remonter la pente, d'autant que le votre est très sympa ♥)
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MessageSujet: Re: Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée.   Terminée || A vos marques, prêts, grèvez! { Lucie aka la ch*euse est arrivée. Icon_minitime

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