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 She covers the Earth with a breathtaking cloak [Dronnin Maud Krystal]

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MessageSujet: She covers the Earth with a breathtaking cloak [Dronnin Maud Krystal]   She covers the Earth with a breathtaking cloak [Dronnin Maud Krystal] Icon_minitimeJeu 26 Nov - 1:44

Il était une fois, une jeune nation Scandinave qui regardait le ciel illuminé dans un kaléidoscope de couleur, par une froide nuit hivernale. Norvège, étalé sur le dos, admirait les vagues lumineuses dans le ciel, un sourire candide affiché sur son visage encore enfantin. De petites mèches blondes voletaient au vent, lui brouillant parfois la vue, avant d’être rapidement chassé par son souffle.
Sa silhouette était restée enfoncée dans la neige sans ciller pendant des heures, le regard de la jeune nation rivé sur l’aurore, unique et si belle. La neige s’accumulait lentement autour de lui, préservant sa chaleur. Le sommeille gagnait peu à peu Norge qui tentait vainement de garder les yeux ouverts pour admirer le plus longtemps possible ces couleurs chatoyante avant de s’endormir.
Le norrois s’était enfoncé très au nord de son pays avec une quête personnelle et touchait presque à son but : trouver la source de tant de beauté nocturne. Alors que le feu s’éteignait lentement, Norge sombra dans ses rêves.

Parmi les fjords et la forêt, la solitude aurait pu envahir la jeune nation qui vivait sans sa famille parmi la nature. Le petit nordique passait de grandes journées à pêcher, chasser et cueillir des fruits à travers les bois sauvages qui constituaient son pays.
Même si la vie du scandinave pouvait sembler solitaire, Norge ne semblait pas souffrir du fait de ne pas avoir d’autres semblables comme compagnon. Après tout, les Huldras, les Nisses, les Alfes, les Jötnar, les Óskmærs, les Nykrs et mêmes les Svartálfars, accompagnaient Norge partout où il allait. Le norrois s’était particulièrement attaché à une jeune fée, au doux prénom d’Asleif, qui devint sa compagne.
Le jeune scandinave vivait reclus, ne sortant des bois que la nuit, ou lorsque l’envie d’aller contempler la mer le prenait. Tout les soirs, Norge quittait la forêt pour aller dans les montagne afin d’observer les aurores boréales. La jeune nation adorait regarder le ciel, et voir toute sorte de couleurs peindre les étoiles, illuminant ses yeux curieux d’enfant. Il nommait le phénomène des lumière dansante: Nordlys.
Les soirs sans aurores, Norge fixait les constellations, apprenant par cœur les positions des étoiles, de tel que dès que ses yeux se posaient sur le ciel, le nordique savait se diriger. À ses côtés, la fidèle Asleif posée sur le sol près de sa tête, lui chuchotait doucement les légendes de Ullur le Dieu de l’hiver et de la femme à la longue robe lumineuse qui dansait dans le ciel, Gerda. Norge s’endormait alors doucement dans la neige, bercé par les contes que lui chuchotait la fée à ses côtés.

Ses réveils se faisaient toujours à l’aube, alors que le soleil caressait doucement sa joue. Norge, se frottait doucement les yeux en bâillant, avant de s’étirer comme un chat. Puis une fois réveillé complètement, la nation retournait dans la forêt, vaquer à ses habitudes.
Il aimait parfois monter vers le nord, admirant la glace et la neige qui s’étendait devant lui. Lorsqu’il était d’humeur, Norge allait espionner les humains au loin, observant ces gens qui lui ressemblait, mais qui pourtant n’était pas comme lui.
Le jeune nordique avait alors le cœur lourd. Il savait qu’il avait des semblables, Danemark, Suède, son père Germania. Dans son jeune esprit, il ne savait pas pourquoi, mais la solitude semblait préférable à la présence de ces gens dont il ne gardait qu’un souvenir lointain. Après tout, ce que les nations appelaient «famille» était plus souvent un rassemblement tordu de pays qui ont été conquérit, vaincu ou peuplé par les soi-disant «frères et sœurs.
Sans savoir pourquoi pourtant, les aurores boréales le remplissaient d’un sentiment de quiétude et un réchauffement au cœur qui lui semblait si familier. La seule autre chose que Norge aimait autant que les lumières nordiques, était la mer.

La mer le fascinait. Parfois calme, sereine, douce, les vagues venant lui chatouilles les orteils, avant de se retirer, comme timide d’avoir osé d’approcher le norrois. Mystérieuse, elle recélait des milliers de monstres, trésors et poissons, gardant jalousement ses secrets.
Lorsqu’elle se déchainait, Norge la craignait. Les vagues lui paraissaient immenses, destructrice. Superstitieux, le nordique croyait que les tempêtes étaient le résultat de la colère du Dieu Ægir, qui envoyait alors ses neufs filles abattre sa colère sur le monde des humains. Ses yeux impassibles devenaient alors troubles.
En ces moments, plus que tout, Norge aurait aimé avoir de la compagnie. Dompter sa peur devenait essentiel. Le jeune scandinave se construit donc un petit radeau, et partit dériver. Après plusieurs échecs cuisants, la nation se construit de meilleurs radeaux, puis progressivement de quoi se naviguer sur les eaux.
Il entreprit d’explorer le nord, voulant voir de ses propres yeux la fin du monde, là où Jotunheim se situe, avec les géants et les Trolls. Et puis qui sait, peut-être même trouver Gerda qui dansait dans le ciel.

Plus il s’enfonçait vers le nord, plus les rêves de Norge avaient été de plus en plus hétéroclites, son passé refaisant surface à travers les méandres brumeuses de ses rêves.
Il rêvait de son paternel, figure autoritaire qui l’effrayait. Un garçon blond qui le protégeait du dit paternel, semblait tel une ombre dans ses rêves. Parfois aussi, une femme, d’une grande beauté, dont il ne voyait que le visage, lui chuchotait doucement des paroles rassurantes en le berçant.
Lorsque les yeux du nordique s’ouvraient le matin suite à ces rêves, il se creusait la tête pour se rappeler qui pouvait bien être cette mystérieuse femme. Plus il s’approchait du pôle nord, plus ses rêves devenaient tangibles, réels. Les traits flou de la femme devenait plus clair, ses paroles audible. Seul le nom échappait toujours au scandinave.

C’est donc par un de ces soirs où le ciel brillait de vert, de mauve et d’orange, que Norge fit une rencontre à laquelle il ne s’attendait pas du tout. La nation s’était aventuré très au nord depuis quelques semaines, son regard inexpressif fixé devant lui.
Le nord l’intriguait, vaste et mystérieux sous sa neige et sa glace. Il avait avancé dans le froid, le vent et la neige, emmitouflé dans les peaux des animaux dont il se nourrissait. Norge avait abandonné son radeau il y a quelque temps, continuant son périple à pied sur terre.
La glace rendait la navigation dangereuse, une vague risquant de le faire chavirer. Norge craignait plus que tout de rester prisonnier sous la glace. La nuit tombée, le nordique avait fait un feu provisoire, avant de se laisser tomber sur le dos pour admirer le ciel comme à chaque soir.
Asleif voletait doucement devant son visage, pointant différentes constellations, le sourire aux lèvres. Lorsque la créature se figea, Norge eut un mauvais pressentiment. Il se redressa, tout les sens en alerte.

Rien ne le prépara cependant à voir ce qui s’offrait devant lui.

Une femme d’une exquise beauté semblait flotter vers lui. Frottant ses yeux de ses petits poings, Norge fixa à nouveau la gracieuse dame qui s’avançait bel et bien vers lui. Ses longs cheveux blancs tourbillonnaient autour d’elle comme un voile, ses yeux froid et distant qui semblaient le transpercer comme s’il était fait de glace complètement transparente.
Incapable de soutenir un tel regard, le jeune nordique baissa le regard, un sentiment de gêne l’envahissant. Norge avait l’impression d’avoir déjà vu la femme, mais il n’osait lever les yeux pour tenter de scruter les traits de la dame.
Des centaines de théories tournaient dans la tête de la jeune nation. Qui était cette femme? Peut-être était-ce la Déesse Gerda? Ou une Skogsrå qui venait le rendre fou, jusqu’a l’obsession. Norge ouvrit la bouche, mais aucun mot ne sortit. Le pauvre parlait tellement peu, qu’il avait presque oublié son langage.
Prenant son courage à deux mains, le scandinave leva son regard. Il voulu presqu’aussitôt se frapper, tellement il se sentait idiot. Il reconnaissait ces traits, ils hantaient ses rêves depuis des nuits. Figé, le petit nordique ne savait quoi faire, à part tendre ses bras implorant, vers la femme.
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MessageSujet: Re: She covers the Earth with a breathtaking cloak [Dronnin Maud Krystal]   She covers the Earth with a breathtaking cloak [Dronnin Maud Krystal] Icon_minitimeVen 4 Déc - 15:42

    Voici ici pour vous le Pays Du Silence.

    Le vent soufflait de toutes ses forces, transportant avec lui de la glace pilée, tournant et s'envolant au plus haut pour finalement fouetter le sol avec violence. Comme si, en cet endroit de la planète, les deux en colère s'étaient déchaînés, ne laissant là que désolation et étendue désertique de glace, foudroyée par les cieux. Pourtant, malgré cette agitation perpétuelle, il n'en ressortait presque aucun autre bruit que celui du vent, sifflant toujours plus fort, comme énervé. La terre gagnait face au ciel, calme et vaste, elle laissait l'air s'abattre sur elle, inlassablement depuis des millions d'années, sans pour autant lui céder. C'était, et cela reste encore, de loin le pays le plus cruel face à la race humaine. Il restait là les vestiges du temps, et surtout, de la nature. Nulle aliénation, rien ne pouvait être plus sauvage que cette arène, siège de la guerre des éléments. Le soleil lui même semblait impuissant.

    Assise sur la glace, une femme semblait réfléchir. Sa peau, presque nue, paraissait presque aussi blanche que le paysage l'entourant, la fondant dans le décor. L'heure était triste. Les glaces avaient légèrement reculé, reproduisant le cycle éternel de la planète, entre une immense période glacière et une autre, plus courte, tempérée. Mais à cet élément des plus naturels, des plus simples, s'ajoutaient une curieuse menace, qu'elle devinait dans l'air. Les hommes. Sans eux, elle n'aurait pas existé, certes, mais ils leur semblait déjà une menace, depuis le premier signe de civilisation. Ils semblaient aller trop vite, trop vite vers trop de choses. Et Krystal en avait peur. Elle avait peur de tout ces hommes qui naissaient comme des champignons, envahissaient les continents. Ces hommes qui s'adaptaient plus vite que n'importe quels animaux, qui accaparaient le monde et ce qu'il pouvait offrir au nom de dieux. Pourtant elle-même était allée les voir, elle-même avait regardé ces étranges nations. Elle les avais vu grandir, puis, une fois adultes, se battre. Se battre pour quoi ? Pour repousser des frontières qu'eux même avaient dessiné. Comme s'ils estimaient à eux les richesses de la nature. A eux plus qu'aux animaux, ou même plus qu'à la Terre elle-même.

    Sa main emprisonna de la glace dans sa paume, malléable et douce. Quelle étrange race qu'étaient les hommes, elle-même, bien qu'un peu moins tournée vers le futur. Satisfaite du présent, nostalgique du passé. Une mèche de cheveux barra un instant son visage, maculée de flocons. Fascinée, l'étrange nation - si seule et si insignifiante -, attrapa ces fibres blanches, pures, et les débarrassa de ce qui les maculait avant de se relever. Les songes métaphysiques étaient une chose, le bruit étrange qui grattait, devant elle, en était une autre. Le silence de la neige et de la glace était brisé, au loin un crissement se faisait entendre. Un crissement de plus en plus fort, qui semblait presque lui étreindre le crâne. Peu habituée à ces nouveaux bruits, il lui fallait pourtant s'adapter au plus vite à la bruyante avancée de l'humanité. N'étaient-ils pas mieux tous enfermés dans des grottes, à peines enfants, à rire et à se lancer de la neige aux 3/4 de l'année ?

    Krystal finit par avancer, distinguant par delà la tempête de glace la forme élancée d'un bateau. Sous ses pieds nus, la glace tremblait un peu, l'étrange bâtisse fendait le milieu. Quelqu'un semblait s'agiter sur le pont, regardant de temps à autre vers le ciel. Les lumières qui y dansaient, hypnotiques, avaient déjà amené par le passé quelques nations, perdues dans la contemplation. Krystal les avait alors chassé, préférant à eux les étendues de solitude et de calme qui glissaient sous ses pieds. Qui donc osait venir ? Ce n'étaient pas Lui. Il ne venait jamais de cette façon, il était bien plus discret, bien plus froid, bien plus neutre. Comme la neige glissait au petit matin, elle se réveillant simplement à Ses côtés.

    Là, ce n'était pas la même chose. Une respiration saccadée, rendue difficile par le froid. Il était blond, et si jeune. Ses yeux plus clairs que le ciel, cherchaient frénétiquement autour. Krystal continua d'approcher, rendue curieuse. Il lui semblait connaître les traits, il lui semblait que ce garçon n'était pas un contemplatif rendu là par hasard, par perdition. Il était sans doute venu la chercher. Elle se laissa porter sur un glacier plus haut pour retomber sur le bateau, cherchant à tout prix à voir les yeux du petit garçon, qui lui arrivait à peine au ventre. Il ne semblait pas bien, presque un peu trop nerveux. Il balança un regard sur le côté et revint à ses yeux, probablement gris d'acier, neutres. Avant que ses bras ne se tendent. Krystal recula d'abord d'un pas, le cœur un peu battant. Cette impression de familiarité, quelle étrangeté. Lui qui serait plus tard d'un morceau du continent dont seul l'Antarctique était maître lui tendait les bras du haut de son jeune age, tremblant, transi.

    Les dieux seuls surent par quel réflexe elle s'approcha pour le nicher dans ses bras. L'impression d'avoir été attendue, d'avoir manqué. L'impression que le froid, la glace et le silence étaient chéris, tout comme le reste de la nature. L'impression que tout les hommes n'étaient pas si mauvais que ça. Elle faisait partie des leurs après tout, et le lien qui semblait être établi entre elle et cette jeune nation n'était pas artificiel, ni du moment. Non, il était bien plus vieux, comme un songe oublié, enseveli sous des mètres de neige fraiche. L'éternelle Amnésie. Mais le parfum restait le même, elle le sentait dans ses cheveux d'or, les yeux clos. Il lui ressemblait pourtant, et ses bras demandaient les siens. Elle s'aperçut alors que son ventre lui tirait un peu, et que le seul remède valable était de serrer un peu plus cette toute petite chose contre elle.
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MessageSujet: Re: She covers the Earth with a breathtaking cloak [Dronnin Maud Krystal]   She covers the Earth with a breathtaking cloak [Dronnin Maud Krystal] Icon_minitimeMer 9 Déc - 15:53

Il ne devait pas pleurer. Il ne pouvais PAS pleurer. Germania le lui avait apprit. Un homme, un vrai, avait un corps solide comme l'acier, un esprit vif comme l'aigle et un cœur dur comme le roc. Du moins, le peu de fois où Norge l'avait vu, le germanique lui avait inculqué ces quelque notions. Il semblait à la jeune nation que son paternel lui avait aussi appris à pêcher...Peut-être... Peu importait.

Le scandinave ne se sentait pas apprécié par son père. Après tout, l'empire restait en Europe centrale avec ses préférés. Et lui, pauvre petit Norge restait seul. Ne devant pas pleurer. Devant être fort. Se préparant à combattre les autres nations qui viendraient tôt ou tard essayer de lui prendre du territoire, de lui faire la guerre, de l'assimiler. Les yeux sec, la petite nation attendait pourtant jours après jours la visite de son père, s'éloignant du rivage les yeux humides dès que la nuit tombait. Heureusement, les créatures magiques lui tenaient compagnie. Le sentiments de solitude était un peu plus tolérable.

Pourtant le scandinave ne voulait pas penser à ces horribles choses en ce moment. Il ne sût même pas pourquoi ses bras s'étaient levés, tendus vers la dame avec imploration. Comme si de tout son être, le petit nordique suppliait la Skogsrå pour un peu d'affection. De recevoir un peu d'amour, se sentir aimé. Pour, ne serait-ce qu'un instant, se sentir en sécurité. Dans les longs bras fin, et pourtant si forts, Norge trouva ce qu'il cherchait. Ces bras qui le l'enserrait dans un étau, non pas agressivement, mais instinctivement, le rassurait. Il se sentait petit et vulnérable, mais loin de le perturber, ce sentiment l'apaisa. Il lui semblait presque normal de ressentir cette faiblesse.

Le visage pressé contre le cou gracieux, Norge respirait à plein nez l'odeur si familière, mais si distante. Comme il avait rechercher ce parfum. Si doux, avec une touche d'amertume. Une pincée de regrets et un soupçon d'affection. Juste la bonne dose. Une boule monta à la gorge du scandinave. Mor. Ce mot qu'il croyait disparut de son vocabulaire refit surface sans prévenir. Il ne franchit pourtant pas les lèvres de la jeune nation. Non. Il vivait de pair avec le silence depuis tellement longtemps. Pourquoi voudrait-il briser ce vieil ami ?

Ses yeux parleraient pour lui. Se libérant de l'étreinte, Norge posa sa petite main sur le visage magnifique de la Skogsrå. Comme sa main paraissait rose et minuscule, sur la peau albâtre. Le froid que la peau dégageait sous sa paume, envoya un frisson le long du dos du Scandinave. Les yeux du nordique se fixèrent résolument dans ceux de la dame devant lui. Le même mot traversa son esprit. Mor. Tout les émotions des dernières années remontèrent dans les yeux mauves fixé dans ceux gris acier.

    Abandon. Assis seul au milieu d'une forêt sauvage.
    Désespoir. Les longues nuits froide le terrorisaient.
    Solitude. Pourquoi son père venait le voir si rarement?
    Tristesse. Pourquoi ne pas pleurer? Qui le verrait..?


Jamais une larme ne monta aux yeux du nordique. Le passé était triste. Son avenir lui s'annonçait meilleur. Peu importait la raison de l'abandon. Dès que la femme l'avait prit dans ses bras, Norge lui avait tout pardonné.

Aime-moi maintenant. Peu importe le passé.

Rien n'importait en ce moment. Juste elle. Mor. Il s'habituerait à penser à ce nom. Peut-être même, oserait-il le dire. Un jour.
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