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 Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin

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Ludwig / Allemagne


Ludwig / Allemagne

Admin
L'amour et la haine sont des parents consanguins


Capricorne
Messages : 3306
Age : 34
Localisation : Dans le pays de Goethe

Citation : Save water. Drink beer.
Double Comptes : Roumanie

RPs en Cours : 1. L'Ouest et l'Est : opposition culturelle ? {Japon
3. Ah les crocrocro... {Kemet
3. Avoir peur d'un enfant {Alsace
4. Comme un homme { Prusse
5. [1997] Faire revivre les mythes | Hellas

Of blood and tears
Relations Internationales:
Many Faces of A Nation:

Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin  Vide
MessageSujet: Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin    Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin  Icon_minitimeMar 19 Mai - 20:42

Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin  All1210
    Déclinez votre identité;
    .

    Nom: Inconnu
    Prénom: Ludwig
    Nation Représentée: Allemagne
    Age Humain: 20 ans
    Sexe: Masculin
    Date de Naissance: 9 novembre {Jour du Destin}
    Rang personnalisé: L'amour et la haine sont des parents consanguins

A votre approche, on doit à s'attendre à quoi;
.


Ludwig ne croit pas en un futur florissant, vivant dans la nostalgie d'un Âge d'Or mythique où lui et l'ensemble des peuples germaniques vivaient comme ils le souhaitaient, respecté des autres peuples qui n'étaient que les pâles figures de la gloire germanique. Les défaites qu'il a connu durant le XXe siècle ont fini par mettre fin à sa carrière de nation militaire, se contentant dorénavant de régler les différends par des traités et la langue de bois. Et de cultiver l'art du pardon, se sentant à jamais coupable de ce qu'avait commis son dirigeant lors de la WW2. Et si malgré toute sa prudence, cela se reproduisait ? Et s'il retombait dans la folie, l'envie destructrice et la vengeance ? Ludwig est terrifié à cette idée et ne peut qu'espérer garder toute sa raison pour les siècles à venir.

L'Allemagne déteste l'échec, et tout ce qui s'y rapporte comme le désordre qui va contre l'ordre établi. Jamais il ne lui viendrait à l'esprit d'aller contre un règlement et des lois aussi stupides soient-elles (il en a eu un avant-goût en allant assister à une réunion aux Etats-Unis). A chaque visite en France, il frôle l'apoplexie en voyant la population traverser hors des passages cloutés et ne peut s'empêcher d'hurler "Le feu est rouge ! Attendez !", ce qui lui vaut un regard surpris de la part de Francis. La rigueur allemande va jusque dans le rangement - Ludwig assigne une place à chaque objet, proche de la symétrie - et le travail quel qu'il soit. Ludwig a cette tendance à vouloir se perfectionner dans les domaines où il a certaines facilités, refusant tout repos ce qui peut le mener à une série incroyable de nuits blanches.

Sous ses allures de militaire froid et endurci, il arrive à l'Allemand de s'attacher à des personnes. Mais il ne le montrera pas, engoncé qu'il est dans les règles de bonne conduite (il trouve Francis bien trop expressif sur le plan émotionnel, et se demande si le blond n'aurait pas une tendance à se mettre en spectacle). Devant l'exaltation de Feliciano, il n'a pu que jouer les adultes sérieux et brutaux - cet élan d'amitié, ce sourire qui ne demandait rien en retour lui faisait bien trop peur pour qu'il s'en approche. Puis Francis était venu l'aider, lui le monstre, celui qu'il fallait ignorer, repousser. Il avait accepté la main tendue mais il restait toujours une tension entre eux - parce que le sauveur avait été son bourreau plusieurs fois par le passé. Et il y en avait d'autres aux visages affables, et lui ne pouvait que fermer son coeur au lieu de sourire.

Lui, il doit pas nier ses gênes paternels;
.


On pense immédiatement à l'idéologie aryenne en rencontrant Ludwig : chevelure blonde, yeux bleus et musculature développée. Il est difficile d'y reconnaitre le Saint Empire, ce gamin aux joues rondes qui trottinait sur ses petites jambes, ou la jeune Allemagne, un garçon aux membres fins et craintif. Ludwig est devenu un adulte avec de tels attributs virils qu'il ressemble davantage à un boeuf dopé aux hormones qu'à un humain lambda (Arthur fait crevette à côté~~), qu'il cache sous un uniforme ou un costume, n'ayant pas même l'idée d'en user pour charmer ou menacer d'autres individus. Tout est impeccable chez Ludwig, jusqu'aux cheveux parfaitement coiffés en arrière (on le soupçonne d'user vingt pots de gomina par semaine). La seule fois où l'Allemand a oublié de se coiffer la moitié des nations (féminines comme masculines) a eu la soudaine envie de le prendre dans ses bras/l'emporter chez elle/lui faire les derniers outrages. Depuis il vieille à ce qu'aucune mèche ne dépasse.

Comme toute nation qui se respecte, le corps de Ludwig garde les séquelles des guerres, coups d'état et autres putschs qu'il a pu connaitre dans son existence. Certaines cicatrices se rouvrent quand il se souvient de ce qui les a tracés sur sa peau, et d'autres ne s'effaceront jamais tant que le souvenir sera là. Elles ressemblent aux échos d'un entrainement avec son lot de coups et de blessures superficielles. Quelques langues médisantes ont fait croire que ces hématomes sont en réalité dûs à quelques séances de souffrance personnelle (ce qu'on nomme en France le SM, vous voyez ?). Ce que Ludwig dément, mais qui voudra le croire ?

Raconte une histoire;
.


  • Chute du Mur - 09.11.1989
    Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin  79310 Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin  Aph76_10

    La vie était faite de ces petits hasards qui pouvait transformer une journée digne d'un Enfer dantesque en un Paradis si idéaliste qu'on avait peur de ne jamais en retrouver une bribe. Il suffisait parfois de changer tout simplement son trajet quotidien pour découvrir quelque chose. S'il avait immédiatement répondu aux sollicitations de Berlitz qui grattait la porte pour sortir soulager un besoin pressant, Ludwig n'aurait pas entendu ce qui mit le feu à la bombe que couvait le peuple allemand depuis des années. Des années après, Ludwig se souviendrait toujours des propos exacts du conférencier et du journaliste dont le geste eut plus d'ampleur que prévu.

    « Les voyages privés vers l'étranger peuvent être autorisés sans présentation de justificatifs — motif du voyage ou lien de famille. Les voyages y compris à durée permanente peuvent se faire à tout poste frontière avec la RFA. »

    Ludwig releva son front de la table – mauvaise habitude qu'il avait pris depuis cette séparation forcée avec son frère. Mieux valait ne pas regarder le nombre de canettes vides qui avaient élu domicile dans la poubelle. Le nombre aurait donné le vertige à n'importe quel alcoolique passant ses soirées devant un bar, trop soûl pour franchir le seuil. Dans le corps de l'Allemagne – le terme de RFA serait plus juste – battaient d'excitation tous les coeurs des Berlinois d'Ouest et d'Est. Le peuple allemand captait chaque parole, le coeur au bord de l'explosion. Dans l'esprit humain de Ludwig, une image ressurgissait. Celle de son frère amené par la Russie, tentant de sourire alors que ses yeux n'étaient plus que des cailloux sans éclats.

    « Quand ceci entre-t-il en vigueur ? »

    L'espoir tendait ses mains, effleurait de ses doigts la nuque de Ludwig qui avait tourné le bouton de la radio. Chaque parole transperçait ses tympans, mais il n'en avait cure. Il voulait savoir. Illusion d'un esprit devenu fou qui ne vivait que dans des chimères, ou rêve qui devenait réalité ? Il sentait en lui le peuple de l'Ouest se crisper, les souffles se suspendre. Attendant de pousser le cri libérateur.

    « Autant que je sache — immédiatement. »

    - … Maintenant...

    Il dut se raccrocher à un meuble pour ne pas flancher. Tout autour de lui les portes s'ouvraient, laissant passer un flux de personnes qui encombraient les rues. Des cris de liesses emplissaient l'air, le peuple allemand venait de plonger dans une effervescence qu'aucune fête ne pourrait jamais reproduire. Reflet et représentant de ce peuple, Ludwig se prit à sourire, faisant travailler des muscles qu'il croyait à jamais disparu. Le mur, le mur de la honte, n'avait plus de raison d'être. Il n'y avait plus de frontière entre lui et Gilbert. Son frère. Plus rien ne l'empêchait d'aller retrouver son frère, tout comme son peuple qui fonçait vers ce mur pour le détruire et retrouver ce que la Russie leur avait arraché.

    Gilbert est toujours là Ludwig, toujours, lui avait affirmé Elizaveta après être avoir brisé la frontière qui la séparait de l'Autriche. Ludwig avait voulu lui en demander davantage, toutefois Roderich l'avait repoussé fermement. La Hongrie était devenue bien faible après ce séjour sous le joug de la Russie. Il ne souhaitait pas que quiconque réveille les blessures qu'il avait tant de mal à panser.

    Berlitz poussa son maître à l'action, mordant le tissu de son pantalon. Ce geste si quotidien et routinier arracha un rire à Ludwig, un rire qui lui fit monter les larmes aux yeux. L'ardeur que mettait son peuple à mettre fin à des années de séparation le dopaient mieux que n'importe quel produit. L'excitation le disputait à la peur de la déception.

    - On y va Berlitz ! Tu vas connaître la meilleure promenade de ta vie !

    On aurait cru voir un fou, et aucune nation n'aurait reconnu Ludwig à ce moment précis. Ce n'était pas le reich qui avait plongé l'Europe dans la terreur en voulant jouer les envahisseurs. Ce n'était pas un fantôme de nation qui se sentait humilié et honteux de ce qu'il avait commis. C'était l'image d'un peuple se battant pour sa liberté, d'un peuple qui voulait remettre la moitié qu'on lui avait arraché des mains. C'était un père qui voulait retrouver ses enfants. C'était une femme qui était demeuré fidèle à son amant malgré les années et rêvait déjà de fêter ces retrouvailles dans une frénésie qui sentirait bon les premiers jours de la relation. C'était un enfant qui ne comprenait pas ce qui se passait mais riait de bon coeur avec les autres. C'était un vieillard qu'on aidait à marcher pour qu'il ne rate rien de ce jour qu'il ne croyait plus possible.

    C'était un frère qui voulait retrouver un frère.

    Le Mur n'était pas qu'une manifestation physique dont la couleur grise avait été cachée par des graffitis. Il était présent dans le coeur de chacun, et d'autant plus dans celui de Ludwig qui, depuis le jour de sa construction, avait senti son âme perdre un bien précieux. Les clameurs le rendaient sourd, mais il ne pouvait s'empêcher de rire. Rire comme un fou. Rire à imaginer Ivan faire la grimace devant une telle révolte, et se retenir de supplier le peuple allemand de ne pas briser son joli mur. Ce rire était passé de bouche en bouche, secouant des épaules, faisant fleurir des larmes de joie.

    Il ne pouvait pas demeurer là à rien faire. Il était la RFA, il devait participer à cette destruction du Mur. Il assistait à un tournant de l'Histoire, de son Histoire.

    Se faufilant dans la foule, suivi religieusement de Berlitz, Ludwig avisa un groupe de personnes distribuant de quoi briser le mur. Pioche en main, l'Allemand poussa presque de force les personnes qui s'attroupaient autour de la frontière maudite. Il voulait briser ce mur. Ne serait-ce qu'y creuser un trou. Juste pour sentir le souffle de l'Est sur sa joue. Juste pour sentir la respiration de Gilbert. Et peut-être, peut-être qu'à travers le maigre trou qu'il creuserait, il verrait un oeil rouge.

    Il frappa. Le coup le secoua. D'autres Berlinois faisaient de même, et rapidement ils frappèrent de concert. Provoquant une musique primaire, qui ébranlait chaque os de la RFA. Les gravats volaient sous les acclamations de ceux qui observaient cette action tels des dévots devant une messe. Berlitz acclamait son maître, scandant chaque coup par un aboiement. Un trou se forma sous la pointe de la pioche. Pas plus grand qu'une pièce de monnaie. Ce n'était pas suffisant. Ludwig imagina alors que se tenait devant lui Ivan. Tenant le corps de son frère dans ses bras, suintant de sang, désarticulé, la peau aussi blanche que ses cheveux.

    Trop tard mon petit Ludwig, trop tard.

    La pioche frappa si durement le Mur qu'elle arracha un bloc aussi gros qu'une tête. Les Berlinois regardèrent ce pan sombrer sur le sol, comprenant mieux à qui ils avaient affaire. Ce simple constat leur redonna plus de vigueur. La rage décuplait les forces de Ludwig – s'il avait pu arracher le ciment rien qu'avec ses doigts et ongles, il n'aurait pas hésité. Un ébranlement le secoua, alors que la poussière s'élevait. Un bloc s'affaissa, laissant comme la silhouette d'une fenêtre ouverte là où il frappait avec tant d'ardeur. Devant lui des visages en tout points pareils à ceux dans son dos. Mais aucune chevelure blanche parmi eux.

    Pourquoi Gilbert n'est pas là ?

    Il s'était tellement persuadé qu'en brisant un pan du Mur, il se retrouverait en face de son frère que découvrir l'inverse le clouait sur place. Sans le secours de Berlitz qui le tira en arrière, il se serait fait emporté par la population de l'Est qui fonçait dans cette ouverture qu'il avait créé. Les pères embrassaient les enfants. Les vieillards d'autres vieillards. Les amants les amantes. Les amis les amis. Les frères les frères.

    Et moi ? … Gilbert n'aurait pas …

    Non, Gilbert devait être là. S'il avait tenu bon comme le disait Elizaveta, il n'avait pas pu flancher en l'espace de quelques mois. Ludwig remontait le fleuve de la foule à contre-sens, cherchant à capter une lueur blanche parmi les lueurs trompeuses des réverbères.

    Si je cris ton nom, est-ce que tu m'entendras ?

    Mais sa gorge n'était plus qu'un désert, il n'aurait pu en faire sortir le moindre son. Il cherchait fiévreusement, bousculant sans prononcer la moindre excuse, âme en peine parmi tout ce peuple qui ne vivait que dans la joie et l'espérance de retrouver les siens. Son coeur était sur le point d'exploser. L'idée de demander à quelqu'un s'il avait croisé un albinos lui traversa l'esprit.

    Il sentit alors la main sur son épaule. Même s'il était une Nation, il sentit distinctement son coeur cesser de battre.

    Faites que ce soit lui. Je demande rien d'autre. Rien d'autre.

    Il se retourna d'un geste brusque voulant savoir la vérité. Même s'il devait ensuite s'écrouler, le coeur éparpillé sur l'asphalte, à mêler ses larmes aux restes de pluie dans le caniveau. Il capta dans la lumière dont l'arrosait le réverbère, les prunelles écarlates dont il avait presque oublié la couleur si particulière. C'était lui. Le corps amaigri, le visage ravagé par la privation et l'attente, mais le regard brillant.

    Un frère qui retrouvait un frère.

    - Br-bruder ?

    Si seulement la souffrance pouvait être effacée. Ludwig imagina son frère sortir une réplique dont il avait le secret, ou lancer un rire victorieux sous la Lune comme un loup voulant rameuter sa meute.

    Je suis Prusse toute puissante, rien ne pouvait me faire crever ! Nichts !

    Cette image si belle fut brisée. Ce qui fut la Prusse, mais qui demeurerait à jamais son frère, s'écroula à ses pieds. Seule sa main demeurait crispée à ses épaules, serre d'un aigle qui ne voulait plus quitter le nid. Ludwig se laissa aussi tomber à genoux sur le sol glacé. Il eut ce geste qu'il avait durant tant d'années n'avoir jamais eu le courage d'avoir, dérisoire mais si libérateur. Il prit son frère dans ses bras et sentit à quel point ce dernier semblait faible et chétif à côté de lui. On aurait cru que c'était lui, Ludwig, le plus âgé alors qu'il n'en était rien.

    - C'est fini. C'est fini, bruder.

    Ce cauchemar est terminé, éveillez-vous mes enfants.

    Le corps de Gilbert semblait ployer sous l'embrassade de Ludwig. Il le sentait ce corps, il sentait les larmes de son frère sur ses joues qui se mêlaient aux siennes. Ce n'était pas une chimère, c'était la réalité. Ils étaient réunis. A nouveau. Tout autour d'eux, le peuple s'embrassait, se donnait des accolades, riait, pleurait de soulagement. Certains avaient même dévalisés les bars pour offrir à la ronde des bières, allant jusqu'en siroter une avec les gardes frontières qui se laissaient aller à la liesse générale.

    - Hé les gars, une bière ? claironna une voix fluette, celle d'une jeune adulte, le visage rougie par l'excitation.

    En toute autre circonstance, le regard pétillant de la jeune femme, accompagnée de sa question aurait soulevé des contre-sens. Mais aucune tension sexuelle ne filtrait derrière ses mots. C'était simplement un geste de solidarité, de lien, de partage. Hochant la tête, Ludwig prit les deux bouteilles. La silhouette féminine disparut dans la foule, comme absorbée par l'attroupement. Ils devaient trouver un coin au calme. Pour se parler. Se retrouver. Faire le point. Soulevant son frère en mettant son bras sous son aisselle – était-il devenu plus fort ou Gilbert s'était affaibli ? - Ludwig remonta la rue, Berlitz sautant devant eux, faisant la fête à cet être revenu du passé.

    Remonter jusqu'à chez lui allait être trop complexe, des retardataires déboulant des rues pour rejoindre le Mur. Ludwig stoppa vers un coin plus calme, où brillait un unique réverbère. De là ils pouvaient voir la foule bigarrée, éclairées de l'éclat violents des pétards dont l'écho retentissait jusque sous leurs pieds. Les deux frères s'assirent à même le trottoir, comme deux fêtards qui venaient de terminer leur tournée des bars. Sans un mot, Ludwig tendit une des bouteilles à Gilbert. C'était un geste tacite visant à renouer ce lien qui les reliait. Assis de l'autre côté de la Prusse, Berlitz attendait, gueule ouverte, langue pendante, le moment où il allait pouvoir saluer Gilbert à sa façon. C'est à dire à grands renforts de langue sur le visage.


    Derrière l'écran, c'est genderbender!Germany;
    .


    Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin  Aph237 Pseudo: Sowsow, So_yuyu
    Comment avez vous connu le forum ?: Etant moi-même l'auteur, je fus la première à poser ma patte de Germouser en ce lieu.
    Suggestions pour celui ci ?: Que de nouveaux membres brillants viennent nous rejoindre.
    Remarques ? Beer Beer.






  • Dernière édition par Ludwig / Allemagne le Jeu 25 Nov - 22:32, édité 11 fois
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    MessageSujet: Re: Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin    Ludwig / Allemagne { On confond pas Dublin et Berlin  Icon_minitimeDim 30 Aoû - 20:16

    De rien du tout.
    Et merci ! <3
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