Nom : Oxenstierna
Prénom : Berwald
Âge : 21 ans

Rang personnalisé :
‘mph.

Quatre traits de caractères :
• Renfermé.
Premier détail qui marque. Le silence pesant qui l’entoure. Berwald est une tombe. Du genre à penser bien plus qu’il n’en dit, il arrive que, certaines fois, il surprenne totalement, prenant pour acquis ce que lui a longtemps cogité mais dont il n’a informé personne par ce formidable moyen de communication que l’on appelle une conversation. En outre, quand il desserre enfin les dents, même ce qu’il a à dire, il le fait rapidement : il articule peu, abrège ses mots, dont il résulte un charabia à peine compréhensible. Et comme pour aggraver le tout, lorsque l'on attend de lui quelques mots, et qu'il ne hésite sur la réponse, il préférera toujours se taire. De même lorsque la réponse est un tant soit peu embarrassante.
• Sérieux.
Berwald n’est pas un brin boute en train, toujours sérieux et d’une telle inexpressivité qu’on pourrait facilement le croire taillé dans le marbre. S’il n’en a pas l’air, il pense quand même beaucoup, ce qui compense en partie son manque de volubilité, qui curieusement ne l’empêche pas d’apprécier participer à un débat.
• Intimidant.
Certes notre amis est blond aux yeux bleus, comme tout nordique qui se respecte, avec en prime des lunettes de gentil garçon, et pourtant, et pourtant, ce n’est pas sa sympathie qui saute aux yeux de ceux qui le rencontrent. Au contraire, son visage crispé et son silence sont plutôt du genre à effrayer toutes les âmes les plus sensibles. Lui-même ne se décrit pas comme effrayant, mais il ne fait pas exprès. Il fait peur, il met mal à l’aise, mais c’est tout. Parce qu’il n’est pas méchant.
• Gentil.
Eh oui, gentil, c’est bien vague, dira-t-on, mais comment synthétiser le reste de sa personnalité, celle que l’on trouve seulement si l’on gratte, couche après couche, sa coquille effrayante, l’autre amorphe, muette, inexpressive, froide ? Parce que tout au fond, et c’est plutôt pas mal caché, Berwald est quelqu’un de chaleureux, de fidèle et très attentionné ; qui n’hésite pas à donner de sa personne pour satisfaire, en particulier, sa « femme ».

Signes particuliers :
Outre le fait qu’il porte des lunettes, qu’il fait peur et qu’il parle d’une très étrange façon, le bougre n’a pas grand-chose de spécial.

Ce qu'il aime et déteste :
Il aime Tino. Bah oui, Finland est sa femme, même contre son gré, et il est plutôt possessif même si pas spécialement prolixe quand il s’agit de sentiments. Il aime aussi Peter, le petit Sealand qu’il a recueillit avec Tino quand celui-ci a avoué aimer les enfants…

Petit test RP :

La maison était grande. Mais ce n’était pas la sienne.
Depuis quelques temps déjà, Berwald contemplait les murs danois avec une amertume grandissante. Jour après jour, c’était toujours la même rengaine, toujours le one-man show de M.Danemark qui menait sa barque en seul et unique capitaine, sans jamais écouter les requêtes de ses galériens. Alors, Berwald se renfrognait toujours plus, non content de sa condition ; mais personne ne voyait venir la tempête qu’il avait dans le cœur, car sa colère ne transparaissait pas sur son visage déjà naturellement effrayant. Pour tout le monde, y compris pour Danemark, il serait toujours cet espèce d’épouvantail, intimidant mais creux, si rien ne changeait. Et ce n’était pas ce qu’il désirait, même si encore une fois, rien de tout cela n’était accessible à aucune conscience extérieure à la sienne.

« C’est un ordre, Berwald ! »

Peu importait à propos de quoi. C'était encore un ordre. Peut-être la fois de trop. Danemark lui avait jeté cet ordre comme on jette des restes à un chien galleux.

« Non. »

La réponse claqua, comme si lui-même ne s’attendait pas à une telle chose. Mais il l’avait fait. Il l’avait enfin fait. Ce non là, qu’il venait de prononcer, ce n’était plus une simple pensée, ce n’était plus un vague « mais » contestataire que l’on a vite fait d’oublier. Mais pour les autres, cela devait surement ressembler à un grognement, parce qu’on lui demanda de répéter.

« J’dis non. »

Là, Danemark devait avoir compris. Ce qu’il y avait de bien, quand on parlait peu, c’est que dès qu’on l’ouvrait, ça avait du poids. Le Danois avait bien senti que ce n’était pas un petit non faiblard. C’était la révolution. C’était la fin de leur pseudo-entente sous une couronne commune, couronne dont l’échevelé s’était emparé. C’était un adieu. Berwald, déterminé à sortir, à s’en retourner à son pays libre, ne fit aucun mouvement superflu, se dirigeant simplement vers la porte de sortie. Que quelqu’un se mette sur son chemin, et il l’en écarterait en le prenant par le col. Aux grands mots les grands remèdes. Et pour couronner le tout, il claqua la porte.
L’air extérieur était vivifiant, certainement moins avarié que celui de l’intérieur, pensa-t-il. Il fit quelques pas sans s’en rendre compte ; pour lui, c’était un chemin tout naturel qu’il avait déjà plusieurs fois pensé emprunter. Tout ceci obéissait à une sorte de plan prédéfini qui venait de voir le jour, aucune raison ne justifiant plus particulièrement qu’il se soit déclenché à cet instant plutôt qu’un autre.
Pendant qu’il se faisait ces réflexions, il entendit derrière lui des pas qui le suivaient. Il se retourna, près à user de nouveaux de mots, voire de violence s’il fallait en arriver là, si jamais Danemark voulait le ramener chez lui. Mais il découvrit juste le petit Tino, qui sitôt qu’il croisa son regard sembla se ratatiner. Ainsi il en avait profité pour fuir aussi. Cela surpris à peine le Suédois, ou plutôt, cela le rendit quelque peu jouasse. Qu’importe qu’on soit un homme calme et sérieux, on apprécie toujours une défaite cuisante de ces ennemis. Berwald ne prêta pas oreille à Tino qui se répandait en explications maladroites.

« Viens. » lui dit il simplement ; quoi qu’encore une fois c’était une simplicité toute relative et qui suffit à hérisser les poils sur le dos du Finlandais.

La Finlande, c’était un beau pays. Oui, c’était un bel allier.

Spoiler:

On va avoir droit à des duels acharnés entre le Danemark et la Suède ! Du sang et de la tripaille ! :<3:
Manque plus que Tino vienne pour que çà devienne une guerre scandinave.

Tout çà pour dire : VALIDEEE !

/meurt sur le coup de l'émotion/

Bienvenue! :dance:

Ah, eh bien merci bien :D


- ran out of idea-

Su-san ! <3

Citation :

OUAIIIIIIIIIIIIIIS !!!!!!!
IKEA ET CARAMELLDANSEN A VOLONTEEEEEEEEEEEEE !!!!

+12437663323

Owiiiiii

mais surtout Caramelldansen *o*

*l'a dancé pendant près de trois quart d'heure avec une keupine (j'peux vous dire que c'est crevant xD)*

Au fait bienvenuuuue =D

Viens faire un câlin à Megaaaaan *tend les bras*

:groupe: :groupe: :groupe:

Pitié, pas la caramelldansen.


D'ailleurs, j'apprécie franchement le "et surtout" ;p

Su-san <3

Bienvenue parmi nous. <3

Un Caramelldansen sur ce forum que personne ne peut refuser <3

Kyaaah Cro kawaaiiiii

Je t'aimeeuh Lovi-chaaan
* Va lui faire un bisou *


J'étais en pleine hystérie quand Arthur apparaissait à l'écran avec toujours la même classe xD
Vers 6min20 j'adoooore xD FrUK
Et 8m05 aussiii

:loving: :loving: :loving: :loving: :loving:
Oui oui je l'ai regardé plusieurs fois, et en entier x)

VOUII Bienv'nue Mr Ikea XD *va se pendre*

POUR FÊTER ÇA, CARAMELLDANSEN GEAAAAAAAAAAAAAAANT !!! 8D

Code:

*l'a dancé pendant près de trois quart d'heure avec une keupine (j'peux vous dire que c'est crevant xD)*

J'ai tenu une demi heure, c'était déjà pas mal pour une première danse XD

Ca y est, contre mon gré, je suis devenu le siège dans danseurs de caramelldansen, que je vomis.

Chouette. :D

I'm not your Wife

:love1: Su-sannn

oh mon dieu quelqu'un qui déteste le caramell dansen ! X__________________________________x

Oh, c'est pas que je déteste ça. J'ai juste du mal à intégrer le concept xD


Viens par ici, Tino <3<3<3<3<3<3<3

Le caramelldansen c'est bien parce que c'est un peu ridicule Or, le ridicule ne tue pas et comme ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort, le ridicule nous rend plus fort !
...
(j'ai comme l'impression d'avoir loupé une étape, moi)

Tino???
...
ELIZAVETAAAA !!! C'est pour tooooooooi !!! XP