(Finie) La bière allemande est mienne

Portrait Robot

I] IDENTITE

Nom: Wittelsbach
Prénom: Balduin
Nation Représentée: Bayern
Age Humain: 16 ans
Sexe: Masculin
Date de Naissance: 1er janviers (création du royaume bavarois)
Rang personnalisé:I’m a beerboy in a beerworld
II] NATION & HUMAIN :

Caractère:

Balduin est énergique et combatif, c’est le moins qu’on puisse dire. Il est toujours partant pour « s’amuser ». Ce qui inclut taper sur la tête du voisin lorsque l’envie le prend ou lorsque hum… par exemple, lorsque son boss doit hériter du trône du Saint-Empire et qu’on y place une femme.

Vous vous rendez compte, mettre à la place de l’héritier légitime une femme ?! Non, Balduin n’est pas adepte du machisme, juste que lorsqu’il veut quelque chose ou croit avoir des droits sur quelque chose, il fait tout pour obtenir ce qu’il veut. Même s’il doit en payer le prix fort en cas de défaite.

Cela vaut aussi présenter un sinistre personnage à son frère (malgré un certain putsch de Munich) dans le but de l’aider à se reconstruire économiquement et militairement parlant. Et pouvoir mettre la pâtée à un certain Franz qui s’est montré ignoble et injuste après un certain diktat de Versailles. Comme vous le savez, cela n’a aidé l’Allemagne qu’un temps. Juste assez pour se redresser économiquement et se détruire moralement. Ou se détruire tout court lors de la fin de la guerre, se scindant en deux entités. Comme vous le savez certainement, le territoire bavarois a été occupé par les Etats-Unis (et une petite portion par la Russie, alors l’URSS).

Cet état de fait à obliger Balduin à aller chez l’américain à son grand désarroi. Déjà, il était anéanti par l’état de son pays, par la découverte très peu reluisante de ce qui était sous son nez depuis quelques décennies. Oui, il savait que ses patrons… n’appréciaient pas quelques types de personne. Cependant, sur la vierge, il ne savait rien de plus ! (Ou alors, comme son frère, comme ses frères il…enfin, ne parlons plus du passé. Plus de ce passé-là en tout cas.)
Notre bavarois préféré a donc dû habiter quatre années chez Alfred.

Ce qui lui a paru comme un calvaire au début est devenu presque agréable au fil du temps. Certainement à cause d’un trait de caractère que les deux Nations ont en commun : le sens inné de la fête. Alors, si tout n’était pas toujours rose, tout n’était pas si noir. Malgré le sentiment horrible de Balduin d’avoir fait du mal indirectement à sa famille alors qu’il ne veut que son bien. Oui, parce que Balduin est très attaché à sa famille, à ses proches.

Il a d’ailleurs combattu Francis après que celui-ci ait mis à mal le Saint-Empire, réduisant ce petit grand-frère en une frêle et pitoyable marionnette amnésique. La description est dure, mais c’était ce sentiment qui primait dans le cœur du jeune Bavarois lorsque la jeune Allemagne se cachait dans les jupons… euh, derrière la Prusse.

Il avait envie de le prendre dans les bras et de lui dire que tout allait bien se passer, qu’il le protégerait, que la France ne lui ferait plus de mal. Il ne le fit pas. Se sentant coupable d’avoir été du côté de son bourreau. En contre partie, il se battra contre la France en 1848, avec une hargne presque terrifiante pour un jeune garçon au sourire si joyeux et gamin.

Il y a aussi un autre trait de caractère important chez Balduin : son indépendance. Ou si on veut être précis, son autonomie (indépendance ayant tendance à transformer les adorables petits frères en abrutis mégalomanes et insupportables. Pour plus d’information, demandez à Arthur Kirkland des détails sur Peter ou (mieux encore) sur Alfred. Ce n’est pas certain qu’il vous réponde. Et s’il parle de malédiction des incubes et succubes des enfers, ne faites pas attention. C’est une blague anglaise aussi bonne et fine d’un pudding. C’est-à-dire absolument pas.). En effet, Balduin est très débrouillard, cherchant à trouver des solutions par lui-même que de demander de l’aide à son voisin (en cela, il ressemble assez à Alfred).

D’ailleurs, il existe une blague selon laquelle la Bavière ne serait pas vraiment un territoire d’Allemagne, mais une province/état/région autonome. Ceci fait rire Balduin qui lance parfois des remarques comme quoi il va demander bientôt sa véritable indépendance. Bien entendu, c’est pour de faux.

Sinon Balduin adore ses voitures, ses BMW surtout. Ce sont ses merveilles, ses jouets. Et si sur le plan du ménage, il n’a ni la propreté aristocratique autrichienne, ni la rigueur allemande, il ne supporte pas qu’on touche à ses bébés, ses créations. Même dans les films. Il ne supporte pas de voir une BMW ou même une Mercedes en flamme ou en train d’exploser. Des rumeurs courent selon laquelle il lui arriverait de leur parler. A moins que cela soit à cette petite chimère qui, selon ses dires, aime à dévorer les touristes imprudents.

Il est très, très fier de sa bière. Certains vous diraient qu’il ne l’a pas goûté, mais si justement. Balduin en boit lorsque son frère n’est pas là et suffisamment peu pour que Ludwig ne se doute de rien. Il considère cela comme un jeu. Ou une réminiscence de sa brime enfance, lorsque les petites (futures) Nations germaniques s’acharnaient à boire en douce la cervoise de leur père. Bien entendu, dire cela à Ludwig reviendrait à dire que Ludwig est un sosie de leur père. Ce qui (même de leur point de vue) n’est pas le meilleur compliment qui soit. Si on place cela du point de vue parent/enfant ou frère/frère, hein. Parce que niveau espérance de vie et/ou prouesse guerrière, il faut mieux être un Germania qu’un Rome. Surtout si on repense à Teutobourg.

Il adore son costume traditionnel et les traditions en général. Les incluant sans sa devise : « progrès et tradition ». Il ne comprend pas pourquoi si peu de gens ont l’air de l’aimer d’ailleurs. Peut-être à cause du cuir ? Mystère.
Balduin aime sa fête de la bière. Vraiment. Si on l’écoutait, on fêterait tous les jours la bière, la wurst, la sacro-sainte pomme de terre dont il a consacré un musée à Munich et la pizza et les hamburgers accompagnés de soda (quoi, il faut bien diversifier son alimentation non ?).

Enfin, il est le seul catholique dans un pays majoritairement protestant. Ce qui a autrefois attisé des tensions avec ses frères et sœurs, notamment la Prusse protestante. Encore aujourd’hui, il est très croyant, allant tous les jours ou presque à l’Eglise, mettant des petites croix partout ou presque. Réveillant son frère à deux heures du matin pour le pousser à faire le ménage tout de suite pour ne pas être en retard à la messe comme la dernière fois.

Bref, Balduin est tout à fait normal et sain.

Pas comme certains qui n’arrivent même pas à boire un verre de bière sans s’évanouir ou qui ne savent même pas préparer un plat. Mais nous ne visons personne. Et surtout pas un certain britannique.

Physique:

En rencontrant Balduin, une conclusion assez logique et simple, presque idiote, s’impose : il est bien le frère de Ludwig, son grand-frère de l’Ouest. Même cheveux blonds, même posture paramilitaire, même yeux bleus. Bien que ceux que Bavière soient plus grands du fait de son jeune âge. Qui n’est qu’une apparence puisque Bavière est l’un (sinon le) plus ancien länder d’Allemagne. En plus d’être le plus grand.

Tiens, en parlant de taille, celle de Balduin est assez importante. Si, bien entendu, elle ne dépasse pas celle de son grand-frère de l’Ouest (à ce stade, il n’y a qu’un Ivan pour réaliser cet « exploit »), elle atteint presque celle de son frère prussien. Sans parler de son frère Saxe qui se plaint parfois que son petit frère le dépasse de quelques centimètres.

Que voulez-vous, tout les germaniques ne peuvent pas être des géants prêts à détruire tout sur leur passage comme dans un des animes que Kiku s’empresse de passer au jeune frère de Ludwig. Ou que celui-ci pique sans aucun remords à l’américain.

Cela lui apprendra à prétendre que les hamburgers sont américains, tiens. Ou de l’avoir éloigné de son frère pendant quatre longues années alors qu’il avait tant besoin de son soutien moral et affectif (oui, parce que ne vous y trompez pas, sous ses airs de militaire endurci… Oh, vous saviez déjà que Ludwig n’était en fait qu’un nounours qui ne demande qu’à être câliner ? Qu’attendez-vous pour le faire alors ?). Sinon, la conclusion logique du début voudrait que le visage de Bavière aborde même coiffure et expression faciale que son aîné allemand, il n’en est rien. Là où le visage de Ludwig n’est qu’un concentré de tension militaire, de sérieux, ou encore de gêne lorsqu’on lui montre « trop » d’affection et/ou d’admiration, celui de Balduin est tout autre.

Lorsque le bavarois est heureux, il affiche un sourire franc et rigolard, semblables à ceux de Gilbert lorsqu’il parcourait les plaines avec une petite hongroise qui se croyait hongrois. En général, ses émotions se lisent très facilement sur son visage, là où Ludwig arrive à peine à s’exprimer de manière plus ou moins normale. Il en est de même pour la colère qui s’exprime alors par des insultes (voire des coups) si le bavarois ne se contrôle pas (ne demandez surtout pas la signification de saumench ou saukerl. Vous vous vexeriez grandement).

Au niveau marques corporelles, aucun piercing ou tatouage en vue. D’ailleurs, il est certain que si c’était le cas, Balduin aurait affaire à sa famille. Notamment un autrichien et un allemand peu appréciateurs de ce genre de … « coquetterie ». Par contre, il est relativement musclé, certainement grâce à un entrainement militaire typiquement germanique, aux multiples guerres passées et à son habitude de toujours bouger dans tous les sens, ce qui lui permet de se dépenser et de former son corps.

Comme tous les pays/régions/peuples, il a le long du corps des cicatrices dues aux guerres, aux disputes, aux bombardements alliés et autres choses tout aussi agréable qu’un russe en manque de vodka et de sang. Cependant, rassurez-vous, les cicatrices sur son corps ne sont pas causées par des sévices corporels qu’il s’imposerait à lui-même. Ce que tout le monde ne peut pas dire. N’est-ce pas ? (aucune Nation germanique n’est visée bien entendu)
Histoire :

De rage, le jeune garçon ferma brutalement la porte, laissant derrière lui un bruit horrible à en faire sursauter plus d’un. Le jeune bavarois n’était pas dans son état normal. On pouvait lire une colère et un agacement sans fin dans ses larges prunelles claires, si semblables à celles de ses frères. Si semblables à celles que l’homme qui le regardait en riant. Sauf que cet homme qui riait, qui se riait de lui, qui souriait… c’était un latin, un ennemi, un héritier de ce Rome dont Balduin avait adopté la même religion. Le jeune germanique aurait dû le détester, le haïr. Pas venir lui demander de l’aide, pas supporter de le voir se moquer de lui. Germania devait se retourner dans sa tombe. Par réflexe, pur mouvement instinctif, le bavarois toucha sa croix en bois, rapidement. Comme une prière, comme une demande. S’il vous plait Seigneur, s’il vous plait sainte Vierge, ne faites pas venir les fantômes à moi. J’ai bien assez d’un frère aîné qui vole ce qui est à moi sans que… que vienne aussi…

L’adolescent se racla la gorge, avala sa salive. Des siècles après, les blessures et les peurs restaient vivaces, comme des plaies que rien ne pouvaient guérir. Pourtant, il y avait pire, il y aurait certainement pire. Et il lui suffisait de penser à Gilbert, à ses yeux rouges et sa touffe de cheveux blanc pour se traiter d’infâme égoïste. Qu’était le souvenir d’un père distant, silencieux, sévère et brutal face à celui que devait avoir la Prusse de son enfance ? Rien, certainement. Bagatelle que cela. Faute et pêché qu’il irait confesser. Après avoir parlé à Francis, après avoir donné une bonne raclée à Roderich, oui. C’était à cela qu’il devait penser. Cette colère qu’il nourrissait contre l’Autriche, contre Marie-Thérèse. Contre un frère.

Le traître n’est pas moi, c’est lui. Pensa encore et encore le germanique, entamant une marche vers le bureau, vers Francis. Vers ce sourire qui lui rappelait de vagues souvenirs de Rome, lorsqu’il n’était encore qu’une jeune future Nation et que le romain avait décidé d’implanter des commerces, ici et là.

« Qu’est-ce que tu veux, mon cher Baudouin ? » Demanda poliment le français d’un air narquois. N’ayant même pas la décence de venir se lever pour le saluer. Serrant les poings, l’adolescent ne se retenu pas. Il n’était pas venu ici pour se faire appeler par cette variante linguistique tant détestée. Oh que non. Il avait un trône à reconquérir non mais !

« Ich bin Balduin, Franz. Et je veux reprendre ce qui m’est dû. »

Le sourire français s’élargit. Un parent s’amusant de la fougue de son enfant. Ce qui énerva l’enfant, autrement dit, Balduin. Qui essaya de garder son calme, parlant d’une voix détachée et lente, comme s’il s’adressait à un débile. Ce qui n’était pas le cas. C’était pire, il s’adressait à un latin, français de surcroit.

« Le trône du Saint-Empire que herr Charles a laissé vacant, sans héritier mâle donc légitime. Je veux le reprendre et y mettre mon Charles-Albert. Et je… j’ai… »

Quelques instants de silence. Malgré une religion commune, une certaine affection, une vie passée avec l’un et l’autre, restait toujours entre les deux nations l’ombre de leurs prédécesseurs. Descendant de Germania et enfant de Rome. Se détester, le détester. Les détester tous. Voilà ce que Balduin aurait dû faire et non pas essayer de reprendre un trône par orgueil, par dépit. En trahissant un frère, en rêvant de lever son épée sur lui, de lui fracasser le dos, lui briser les mains pour qu’il ne puisse plus jouer au piano. Rêvant de planter son épée dans sa chair pour oser contester sa volonté. Comme un enfant capricieux et boudeur qui veut que tous soit à ses ordres.

« Besoin de votre aide… »

Brin d’amertume, brin d’orgueil volé. Qu’il devait être dur pour cet enfant de demander de l’aide. Qu’il devait être dur d’attendre que le français daigne répondre à sa supplication muette. Aidez-moi, s’il vous plait, aidez-moi…

« C’est d’accord. Je te soutiens et te soutiendrais, Baudouin. »

« Mon nom est … »

« En échange, est-ce que tu en feras de même pour moi ? » Demanda malicieusement un Valmont des plus sibyllins face à un Dancenny qui ne savait que penser de la situation. Bien entendu, il ne savait pas, ne pouvait savoir… personne pas même Francis n’aurait pu voir l’empereur corse, les batailles le sang et à la fin…

« Bien entendu. » Répondit le Faust bavarois d’un ton léger propre à l’adolescence, propre à l’inconscience.

S’il savait…

S’il savait que cette guerre qui démarrait n’apporterait rien de bien pour lui, qu’il n’en ressortirait pas vainqueur, qu’il sera l’allié de la France sous l’empereur corse avant de le trahir pour une pure histoire de stratégie.

S’il savait qu’au bout du chemin, il y avait le corps gisant de son frère tant aimé, vêtu de noir et picoré par les corbeaux.

S’il savait que ce n’était que le prélude, que le début d’un autre chemin où il ferait aussi un mauvais choix, rencontrerait la mauvaise personne et la présenterais à son frère bien aimé, qui aurait grandi malgré la mort qui l’avait frôlé du bout des doigts. Choix qui mènerait son frère, leurs frères et lui à leur perte à tous.

S’il savait cet idiot, aurait-il reculé ?

Peut-être que oui…

« Tant mieux… »

L’adolescent souriait, ria joyeusement. Comme un enfant, comme un fou.

Un dément.

… peut-être que non.
III] ET TOI ? :

Pseudo: … Cela commence par “c”.
Comment avez vous connu le forum ?: Double-compte ^^
Suggestions pour celui ci ?: Non.
Remarques ?

Citation :: « Le trône du Saint-Empire que herr
Charles a laissé vacant, sans héritier mâle donc légitime. Je veux le
reprendre et y mettre mon Charles-Albert. Et je… j’ai… »

La Pragmatique Sanction de 1713, je te la cloue sur le front? Tu l'as signé, abruti !

Maria Theresa est légitime, retourne jouer dans ton bac à sable.

Charles Albert de Bavière, quel nom en plus...impossible à prononcer

Roderich / Autriche a écrit:

Citation :: « Le trône du Saint-Empire que herr
Charles a laissé vacant, sans héritier mâle donc légitime. Je veux le
reprendre et y mettre mon Charles-Albert. Et je… j’ai… »

La Pragmatique Sanction de 1713, je te la cloue sur le front? Tu l'as signé, abruti !

Maria Theresa est légitime, retourne jouer dans ton bac à sable.

Charles Albert de Bavière, quel nom en plus...impossible à prononcer

On m'y a forcé, d'abord ! Et Marie-Thérèse est une femme . De plus, le nom de mon patron est parfaitement prononçable, du moins, pour les Nations qui n'ont pas le cerveau embrumé par les symphonies de Beethoven ou de Chopin (si ce n'est pas Wagner, ce n'est pas de la bonne musique, mais du bruit).

Sur ce, au revoir.

~~Non c'est pas prononçable, j'ai des témoins~~

Roderich / Autriche a écrit:: ~~Non c'est pas prononçable, j'ai des témoins~~

~~Charles-Albert de Bavière, l'éléphant de guerre ? 8D /sort/~~

non, ça, ça n'a rien à voir et c'est même tout à fait inexact

Désolé il n'y a plus de place chez moi, je ne peux donc pas accepter un autre bruder. On vous téléphonera. 8D

Plaisanterie mise à part, je n'ai rien contre ta validation et te l'appose de force. *pose un tampon "Propriété allemande" sur le front de Bavière*

Re-bienvenue parmi nous.... Netsah.

[quote="Ludwig / Allemagne"]Plaisanterie mise à part, je n'ai rien contre ta validation et te l'appose de force. *pose un tampon "Propriété allemande" sur le front de Bavière*[/quote="Ludwig / Allemagne"]

*saute sur son bruder et lui passe sa main dans les cheveux pour ruiner sa coupe* Comme ça, c'est mieux, non ? ^__^
...
N'empêche, écris quelque chose encore une fois sur mon front et je déclare mon indépendance pour de bon cette fois ! Et tu n'auras plus de bière !

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