Nom & Prénom : Berwald Oxenstierna Age Humain : Environ 21 ans Sexe : Hmf, ‘sculin Date de Naissance : 6 juin (Indépendance suédoise) Rang personnalisé : La suède vous veut du bien. ~

• Chez la plupart des hommes, le calme est léthargie, l'émotion fureur.
de Epicure

Il faut bien l’avouer, Berwald n’est pas la personne la plus engageante qui puisse exister. Il pourrait aisément être comparé à une sorte de grand congélateur, tant par son imposante stature que par son inexpressivité et son mutisme constant. Toujours ce même visage crispé, qui se me en un semblant d’expression qui en fin de compte se transforme rapidement en un rictus effrayant – comparé à Den c’est le jour er la nuit -. Devant ce manque de réaction, il est évident que sa présence n’est pas pour rassurer les gens. Ils se sentent mal à l’aise, ne savent pas vraiment quoi faire, hésite, craignant on ne sait quelle réaction. Berwald c’est comme un gros glaçon, gamin déjà il était comme ça, on ne va pas lui en vouloir non plus, hein. Pourtant il n’est pas un mauvais bougre, enfin, il aura tout de même parcourut bien des époques avant d’être celui que tout le monde connaît aujourd’hui. Parlons en d’ailleurs, bien que neutre pendant les deux grandes guerre mondial, cela ne l’aura pas empêché d’être tout sauf neutre durant le moyen-age. Non, en effet ! D’ailleurs qui n’a jamais entendu parlé des vikings ? Ces pilleurs venu du Nord, qui malgré leur apparence étaient également de fin marchand. Bon il est vrai que les raids ça n’a pas forcément réussît à leur forger une autre réputation que celle de sauvage, Païen et j’en passe. Durant cette époque principalement mené par les principes des vieux germain (on remercie Germania pour cette honorable présent.) le destin était responsable de tout ce qui s’était et devait se produire, aussi la vengeance était le seul moyen de laver son honneur. Les orgies sanglant allaient bon train, et ce n’est qu’avec la conversion au christianisme que Berwald semblât calmer quelques peu ses ardeurs. Enfin pendant un temps seulement. Il n’était dorénavant plus question de broyer le voisin en cas de conflit, mais de verser une compensation pour les dommages causé. Bien qu’exorbitant, ça avait le mérite d’être moins trash.
Il serait également bon de rajouter que Berwald n’est pas simplement un scandinave lambda. C’est LE Scandinave, un meneur, un chef. La même trempe que son paternel, rien qu’à voir les interminables guerres de pouvoir qu’il aura pu mener contre son confrère Danois. Déjà que les relations entre ces deux là n’étaient pas au beau fixe, autant dire qu’avec le temps elles continuèrent d’aller crescendo. L’union kalmar fut sans aucun doute le début de bien des conflits. On peut voir ces discordes incessantes comme de la jalousie de la part de Berwald, ou tout simplement l’envie de faire littéralement chier Danemark qui ne semblait pas revoir ses prétentions à la baisse. Bien au contraire. Après tout il en cache peut être bien plus que ce que l’on peut imaginer. Pour faire cours, les deux nations passaient les ¾ de leur temps à se taper allègrement dessus – et cela en toute amitié.

29 avril : la suite arrive très bientôt (genre début de semaine elle devrait être posté.)

Physique

Nan, pas possible, c'est le genre de personne qu'on ne peux pas louper.

C'est ton histoire

• Une moitié de la victoire est dans le choix du champ de bataille, l’autre moitié dans le choix du moment.
de Jacques Deval

Exsangue, vaincu. Suède n’était à présent plus qu’une ombre, les restes d’un affrontement qui avait en fin de compte eu raison de lui. Il avait été trop naïf pour croire reprendre sa revanche sur la Russie, trop naïf de tout. L’humiliation subit quelques années auparavant, ce foutu traité, prémices de son déclin ne pouvait en aucun cas être lavé. Cette nouvelle guerre n’avait eu d’autre aboutissement que sont propre anéantissement. Triste histoire, fin de l’histoire. Qu’est-ce qu’ils avaient gagné au final ? Charles XIII de Suède avait finalement abdiqué signant la fin, la fin de tout. Les dernières parcelles de terre Finlandaise, ainsi qu'une partie de Laponie, venaient d’être cédé à la Russie triomphante, l’ennemi du l’Est. Tout n’était plus que de lointain souvenir, les beaux jours avaient laissé place à la pluie, et la splendeur Suédoise n’était plus que de profondes entailles sur le corps de Berwald. Immobile, effondré dans le grand fauteuil qui faisait face à l’imposante cheminé de marbre où ronflait un feu, fade, froid. Il ne semblait plus aussi grand qu’avant, ou peut être était-ce la fatigue, les plaies et les courbatures des récents affrontement qui le faisait paraître plus petit. Seul son visage paraissait toujours aussi froid et impassible. Le blond fixait les flammées dorées qui dansait gracieusement dans l’âtre sans véritablement les voire, dans sa tête, encore, il revoyait Ivan, son visage barré de ce sourire malsain et victorieux, ses yeux glacés fixant le nordique qui n’avait pas un instant bronché, bien que nombres de personnes auraient frissonnés devant tant d’hostilité. C’était habituel. Le suédois n’avait jamais cillé et ne cillerait jamais. C’était ça un véritable scandinave, aussi indomptable que le vent du grand nord, si souvent qualifié de sauvage, de barbare par les gens de l’Europe Occidentale. Ce qui lui restait à présent, hormis les dégâts physique qu’il avait subit, c’était les beaux souvenirs, ceux qui restaient gravé là, dans son esprit, sa seule consolation. Oui, car loin était à présent la voix de Tino. Mais malgré cela, à son dépars de la grande maison maintenant bien vide, rien, pas même un rictus contrarié, pas même une phrase, un grognement incompréhensible comme il savait si bien le faire. Une main sur l’épaule et sa gueule de coincé, c’était tout. Tino avait alors simplement laissé se dessiner un sourire gêner et c’en était allé à la suite de la Russie, son baluchon sur l’épaule. C’était ridicule.
Il n’y avait plus que des braises dans la cheminé quand Berwald sembla sortir de cet état larvaire, ses yeux fatigués détaillant le mobilier plongé dans la pénombre. Il n’avait aucune idée de l’heure qu’il pouvait être, la grande horloge avait cessé de fonctionner et il ne se souvenait pas avoir entendu les cloches sonner minuit. Qu’importe. Doucement, tout en prenant soin de ne pas réveiller les récentes blessures, la nation s’extirpa du fauteuils et s’approcha de la cheminé dans laquelle il jeta une nouvelle buche et ranima le feu à l’aide du grand tisonnier de fer. L’été n’était pas bien loin, et pourtant, l’automne c’était déjà bien installé rappelant à lui les vents froids de l’hiver. Bientôt tout sera de nouveau blanc, et une autre année finirait de s’écouler. On tourne la page et on passe à autre chose.

Il aurait été sage qu’il aille se reposer, mais dans l’instant présent il n’avait pas sommeil, en ce moment il était plus enclin à interagir avec lui même plutôt que d’aller soulager son corps endolori. Il aurait tout le temps de se reposer, mais tant que la nuit n’aurait pas laissé de nouveau place aux lueurs du jour, il resterait le cul planté sur ce siège. Continuant par ailleurs, à faire dos à la table finement travaillé sur laquelle Fredrikshamn se trouvait, narguant, dont la pesante et désagréable présence rappeler les chaines que Danemark lui avait fait porté autre fois, avant qu’il ne se tape perpétuellement dessus, lorsqu’encore il ne faisait qu’un. D’ailleurs, qu’allait il vraiment faire maintenant ? Comptait il encore l’attaquer ? Maintenant qu’il n’était plus grand chose. Tous ces évènements semblaient pourtant lui échapper, il se sentait larguer, perdu.

Il stoppa net sa respiration, il lui avait semblait entendre un faible murmure ou n’était-ce simplement le vent qui sifflait en s’engouffrant par les interstices de la fenêtre ? De nouveau se murmure, plus insistant, plus présent que précédemment, puis silence. Qu’espérait il vraiment ? Tino était loin à présent, ces murmures n’étaient sans doute que le jeu du vent. Dans ce vieux châteaux, vide, retombé dans un profond silence, Berwald n’avait plus que le vent pour compagnie.

Derrière l'écran

Pseudo : Le neutre suffira. (ou Berwaldeuh 8D)
Avatar : //
Comment avez vous connu le forum ? Maintenant j’ai Google !
Remarques ? Validé par le gros allemand

r

Merci ! j'ai bientôt finis, le temps de poster l'histoire, corriger les dernières fautes, éditer quelques trucs et je... puis c'est tout.

'Humf. Fils *gueule de coincé X2*

J'aillais justement poster pour répondre que oui. (du moins je pense, peut être... sans doute)

Bon, j'espère que je suis pas OOC avec le test RP, ça me hante. Il doit sans doute y avoir encore des fautes d'orthographes, qui on dut m'échapper pendant la re-lecture, au quel cas je les corrigerais lors d'une prochaine re-lecture (c'est plus des fautes que je vois en ce moment c'est juste des lignes X_X)

Scandinavie : M'man ! *emu*

EDIT : J'ai fait une nouvelle correction. Pour la plupart : fautes d'inattentions, mauvaise relecture, etc.

Je pense que ton rp était bon. Si évidemment tu te remets dans le contexte de 1809. (Sauf si tu veux absolument faire 1743)

A toi de voir.