Insouciant, Thaïlande est plutôt du genre à voir le verre à moitié plein, il est très optimiste et surtout chaleureux, comme si il avait gardé son âme d'enfant. Ne faisant strictement pas attention aux gravité de ce qui se passent autour de lui, gardant le sourire aux lèvres. Il est assez serein en son genre, la vie peut sembler si tranquille en sa compagnie. Il aime ce qui est simple, avec une ambiance relaxante l'accompagnant partout. Sa culture, son alimentation, son éducation, tout était ni trop simplet, ni trop complexe. En fait, le voir nerveux ou encore en colère n'arrivait qu'une fois tous les jamais.

La nation possède quelques hobbys bien à lui, comme s'habiller en femme ; mais cela n'est pas de sa faute, il faut plutôt se plaindre de son peuple, c'est eux qui veulent presque tous devenir des femmes pour seulement une chose : l'argent ! Mais heureusement, il n'a pas seulement ça comme hobby. Il adore aussi s'occuper de ses "enfants". En claire, les éléphants, surtout de celui avec qui il se promène tout le temps : Toto.

Mais attention, Chai Pairat a beau être une personne plutôt simpliste, il lui reste quand même un petit sens de perfectionnisme. Comme par exemple les nombreux changements de nom qu'avait eu la nation, ou bien se compliquer la vie avec la date de la fête des mères : qui doit être le même jour que l'anniversaire de ses reines.

Lorsqu'un choix capitale dans la politique se fait, c'est la guerre entre ceux qui ont suivi la vague politique et ceux qui y sont totalement contre. Tous deux voulaient à tout prix avoir raison sur l'autre. Mais bien sûr le résultat était déjà bien inscrit dans les esprits des plus intelligents ayant décidé de suivre la vague politique : la raison du plus fort est toujours la meilleure.

La majorité de la population était pour la vague politique, ce qui influençait grandement la nation. Après tous, il n'était que la personnification de tous ce beau monde que voilà. Quand le peuple était soumis à son dirigeant, il l'était aussi, quand le peuple se rebellait contre ce dernier, il les suivait, mais seulement si la majorité du peuple était pour.

Le plus souvent, ceux qui se rebellaient à la vague politique devait être éliminé. Et ceux qui ont cette lourde tâche sont sous ses ordres. Donc c'était de sa faute si la loi du plus fort était toujours aussi présent. La règle est simple. Suivre le mouvement, devenir sourd et aveugle, être d'accord avec tous, personne n'a son mot à dire.

Quand on disait que tout le monde à son petit cadavre dans le placard, c'était bien vrai. Même la nation des plus simplet possédait une tonne de sombres secrets. Son caractère le mène à sa perte lors des influences politiques, l'un est une personne voyant le verre à moitié plein et l'autre le voit à moitié vide. Lors de grands choix politiques, la nation devient pratiquement une autre personne, un être pessimiste, prenant toujours les solutions les plus radicales, dont l'ambiance relaxante qu'il possède habituellement, se transforme en une ambiance donnant la chair de poule.