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Vote RP n°10 [JUIN] *poule 3*
Votre joueur préferé dans cette poule ?
Italie du Nord
29%
[ 4 ]
Ecosse
29%
[ 4 ]
Allemagne
42%
[ 6 ]
Total des votes : 14
Auteur
Message
Ludwig / Allemagne
Admin
L'amour et la haine sont des parents consanguins
Messages
:
3306
Age
:
34
Localisation
:
Dans le pays de Goethe
Citation
:
Save water. Drink beer.
Double Comptes
:
Roumanie
RPs en Cours
:
1.
L'Ouest et l'Est : opposition culturelle ?
{Japon
3.
Ah les crocrocro...
{Kemet
3.
Avoir peur d'un enfant
{Alsace
4.
Comme un homme
{ Prusse
5.
[1997] Faire revivre les mythes
| Hellas
Of blood and tears
Relations Internationales
:
▬ Kiku : Des fleurs de silence dans un jardin laissé à l’abandon. Pas de mots qui fâchent, juste les ombres des paroles jamais prononcées, la quiétude de la compréhension par l’absence. Deux êtres sérieux qui s’observent au-dessus d’une barrière, se rapprochent sans jamais se toucher. Nos chemins ne se croiseront plus comme auparavant, mais nous pouvons continuer à marcher côté à côte sur des routes parallèles. ▬ Feliciano : Même au sein des guerres, demeure toujours le sourire d’un homme qui croit encore à la beauté du monde. Ce sourire vous arrache le cœur et les yeux tant il est intense et vous semble faux. Toutefois les rires qui l’accompagnent vous empêchent de devenir fou, d’oublier ce que vous êtes. Mais tous les rires finissent par s’éteindre si on s’en éloigne. ▬ Roderich : Sans les maîtres, l’on ne saurait apprendre. Et toujours l’élève se révolte contre le tuteur, voulant marcher par lui-même, lui qui n’avait vécu que dans l’ombre. Déchirure qui n’est pas sans douleur, regards qui ne sont pas sans animosité. Le maître dit « Pars », l’élève répond « J’en avais l’intention », mais tous deux demeurent liés et gardent un œil sur l’autre. ▬ Germania : Il en est des pères comme du tonnerre ; on l’admire et on le craint tour à tour. On veut sa puissance, son charisme, ce qui fait qu’il est pour nous un pilier du monde. On ne veut pas le décevoir, on guette la moindre parole de fierté, on attend, assoiffé, un « bravo » même quand il n’est plus. On attend, on espère encore… et ne restent que les souvenirs. ▬ Gilbert : Il y a les frères qu’on espère avoir, ceux dont on n’est jamais satisfaits et ceux qu’on adore dont la séparation nous est un fardeau. Totale opposé de ce que je suis, il a absorbé le gris des larmes et le noir du deuil tandis que je prenais les couleurs de l’étendard du pays futur. Il a pris le chemin du tombeau pour que je puisse vivre : mais j’ai tenu sa main pour que son corps demeure avec moi. ▬ Francis : Je t’aime, moi non plus. La haine engendre l’amour, en aucun cas l’indifférence n’a sa place. La présence de l’autre attise toujours quelque chose, provoque le rire ou le dégoût, l’envie de serrer la main ou de cracher au visage. Les surnoms stupides, dignes d’enfants facétieux (Lulu, Louis, p’tit Lu… mais quelle idée) vous agace même si ce sont des preuves d’affection. Et puis il y a toujours la possibilité de se venger (Retourne dans ta forêt, Boucles d’Or). ▬ Elizaveta : Tout homme a une femme dans sa vie, et la première est sa mère. Elle est censée incarner la douceur, la patience, toutes ses qualités qui sont l’apanage des femmes. La Hongrie était cela, mais aussi la force et la liberté. Une femme qui réconfortait, et lance des médisances, se complaisant dans les ragots, y mêlant son « enfant » dès que celui-ci était assez grand. Toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de lui parler. ▬ Arthur : Il y aura toujours un jaloux pour médire sur ton compte, marcher sur tes plates-bandes, et fouiner chez toi pour trouver la faille où t’attaquer. Ne les écoutes pas, ne les regarde pas : passe fier devant eux. Si la tentation est trop forte… frappe-les. ▬ Alfred : Stalkeur qui laisse quantité de messages sur mon portable pour avoir des conseils en respect de l’environnement. Me surnomme Géant vert à ses heures perdues entre deux questions stupides, comme « Si je prends une viande, sans beurre, que je grille et arrose de sauce barbecue, c’est diététique ? ». Oui je suis aussi son coach minceur. ▬ Jolien : Syndrome de Stockholm inversé. Ici c’est le ravisseur qui tombe sous les charmes de sa victime. Et quels charmes : des rets d’ors qui vous enserrent plus fort que des cordes. Son plus grand problème réside dans ses communautés qui la rendent instable, prompte à vous mordre la main pour ensuite vous prendre dans ses bras. Une femme au sens fort du terme. Et les autres, ceux à découvrir, ceux à taire, ceux qu’on ne peut décrire.
Many Faces of A Nation
:
Une carcasse qui se sent à l’étroit dans un monde qui n’ait pas fait à sa mesure, handicapé sur le plan émotionnel, ne sachant que grogner, hurler, ordonner pour s’adresser aux autres et se faire entendre. Grincheux, trop sérieux, pessimiste, à tendance alcoolique (le vin le rend grincheux, la bière éveille sa violence), militaire ne supportant pas la mise à la retraite (aurait aimé travailler jusqu’à 70 ans et des poussières, de préférence sur le terrain), aurait fait un bon membre de la SPA (les chiens sont son point faible, mais il ne dédaigne pas les chats). Se rend compte qu’il est un otomen depuis qu’il a lu le manga du même nom (aime la couture, dort avec un ours en peluche, sait aussi bien cuisiner qu’une mère de famille surtout les sucreries). Ne dédaigne pas la violence surtout s’il domine la situation (ce qui expliquerait certaines rumeurs sur un penchant SM). Et surtout. Le pire amant du monde.
Sujet: Vote RP n°10 [JUIN] *poule 3*
Sam 3 Juil - 19:47
Et la dernière.
Ludwig / Allemagne
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L'amour et la haine sont des parents consanguins
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Save water. Drink beer.
Double Comptes
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Roumanie
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1.
L'Ouest et l'Est : opposition culturelle ?
{Japon
3.
Ah les crocrocro...
{Kemet
3.
Avoir peur d'un enfant
{Alsace
4.
Comme un homme
{ Prusse
5.
[1997] Faire revivre les mythes
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Relations Internationales
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▬ Kiku : Des fleurs de silence dans un jardin laissé à l’abandon. Pas de mots qui fâchent, juste les ombres des paroles jamais prononcées, la quiétude de la compréhension par l’absence. Deux êtres sérieux qui s’observent au-dessus d’une barrière, se rapprochent sans jamais se toucher. Nos chemins ne se croiseront plus comme auparavant, mais nous pouvons continuer à marcher côté à côte sur des routes parallèles. ▬ Feliciano : Même au sein des guerres, demeure toujours le sourire d’un homme qui croit encore à la beauté du monde. Ce sourire vous arrache le cœur et les yeux tant il est intense et vous semble faux. Toutefois les rires qui l’accompagnent vous empêchent de devenir fou, d’oublier ce que vous êtes. Mais tous les rires finissent par s’éteindre si on s’en éloigne. ▬ Roderich : Sans les maîtres, l’on ne saurait apprendre. Et toujours l’élève se révolte contre le tuteur, voulant marcher par lui-même, lui qui n’avait vécu que dans l’ombre. Déchirure qui n’est pas sans douleur, regards qui ne sont pas sans animosité. Le maître dit « Pars », l’élève répond « J’en avais l’intention », mais tous deux demeurent liés et gardent un œil sur l’autre. ▬ Germania : Il en est des pères comme du tonnerre ; on l’admire et on le craint tour à tour. On veut sa puissance, son charisme, ce qui fait qu’il est pour nous un pilier du monde. On ne veut pas le décevoir, on guette la moindre parole de fierté, on attend, assoiffé, un « bravo » même quand il n’est plus. On attend, on espère encore… et ne restent que les souvenirs. ▬ Gilbert : Il y a les frères qu’on espère avoir, ceux dont on n’est jamais satisfaits et ceux qu’on adore dont la séparation nous est un fardeau. Totale opposé de ce que je suis, il a absorbé le gris des larmes et le noir du deuil tandis que je prenais les couleurs de l’étendard du pays futur. Il a pris le chemin du tombeau pour que je puisse vivre : mais j’ai tenu sa main pour que son corps demeure avec moi. ▬ Francis : Je t’aime, moi non plus. La haine engendre l’amour, en aucun cas l’indifférence n’a sa place. La présence de l’autre attise toujours quelque chose, provoque le rire ou le dégoût, l’envie de serrer la main ou de cracher au visage. Les surnoms stupides, dignes d’enfants facétieux (Lulu, Louis, p’tit Lu… mais quelle idée) vous agace même si ce sont des preuves d’affection. Et puis il y a toujours la possibilité de se venger (Retourne dans ta forêt, Boucles d’Or). ▬ Elizaveta : Tout homme a une femme dans sa vie, et la première est sa mère. Elle est censée incarner la douceur, la patience, toutes ses qualités qui sont l’apanage des femmes. La Hongrie était cela, mais aussi la force et la liberté. Une femme qui réconfortait, et lance des médisances, se complaisant dans les ragots, y mêlant son « enfant » dès que celui-ci était assez grand. Toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de lui parler. ▬ Arthur : Il y aura toujours un jaloux pour médire sur ton compte, marcher sur tes plates-bandes, et fouiner chez toi pour trouver la faille où t’attaquer. Ne les écoutes pas, ne les regarde pas : passe fier devant eux. Si la tentation est trop forte… frappe-les. ▬ Alfred : Stalkeur qui laisse quantité de messages sur mon portable pour avoir des conseils en respect de l’environnement. Me surnomme Géant vert à ses heures perdues entre deux questions stupides, comme « Si je prends une viande, sans beurre, que je grille et arrose de sauce barbecue, c’est diététique ? ». Oui je suis aussi son coach minceur. ▬ Jolien : Syndrome de Stockholm inversé. Ici c’est le ravisseur qui tombe sous les charmes de sa victime. Et quels charmes : des rets d’ors qui vous enserrent plus fort que des cordes. Son plus grand problème réside dans ses communautés qui la rendent instable, prompte à vous mordre la main pour ensuite vous prendre dans ses bras. Une femme au sens fort du terme. Et les autres, ceux à découvrir, ceux à taire, ceux qu’on ne peut décrire.
Many Faces of A Nation
:
Une carcasse qui se sent à l’étroit dans un monde qui n’ait pas fait à sa mesure, handicapé sur le plan émotionnel, ne sachant que grogner, hurler, ordonner pour s’adresser aux autres et se faire entendre. Grincheux, trop sérieux, pessimiste, à tendance alcoolique (le vin le rend grincheux, la bière éveille sa violence), militaire ne supportant pas la mise à la retraite (aurait aimé travailler jusqu’à 70 ans et des poussières, de préférence sur le terrain), aurait fait un bon membre de la SPA (les chiens sont son point faible, mais il ne dédaigne pas les chats). Se rend compte qu’il est un otomen depuis qu’il a lu le manga du même nom (aime la couture, dort avec un ours en peluche, sait aussi bien cuisiner qu’une mère de famille surtout les sucreries). Ne dédaigne pas la violence surtout s’il domine la situation (ce qui expliquerait certaines rumeurs sur un penchant SM). Et surtout. Le pire amant du monde.
Sujet: Re: Vote RP n°10 [JUIN] *poule 3*
Ven 9 Juil - 9:50
Il nous faudrait un dernier vote pour départager, si possible.
Invité
Invité
Sujet: Re: Vote RP n°10 [JUIN] *poule 3*
Ven 9 Juil - 9:59
Voté ♥ (après avoir rattrapé mon retard ^^")
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Sujet: Re: Vote RP n°10 [JUIN] *poule 3*
Vote RP n°10 [JUIN] *poule 3*
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