Loup Garou 7 : L'île aux sirènes

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INSCRIPTION CLOSES!

cependant comme nous avons seulement 9 inscrits au lieu des 10 requis habituellement, il suffira a un joueur de m'envoyer un mp pour savoir s'il peut rejoindre le jeu, IL N'Y A QU'UNE SEULE PLACE DE LIBRE!!
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Ils ne peuvent plus s’enfuir, ils sont impuissants sur cette île. Pourquoi ? Mais pourquoi cela doit-il arriver ? Et surtout pourquoi dois-je assister à tout cela impuissant ? Coincé quelque part sur cette île bizarre avec cet écran d’ordinateur qui me montre tout ? D’ailleurs allez savoir ce que fout un ordinateur ici, encore un mystère de plus. J’espère qu’ils auront mon message, je l’ai laissé avec le que j’ai trouvé en me réveillant avant que je ne m’évanouisse à nouveau pour me réveiller dans cette grotte, avec pour seul compagnon cet ordinateur.

Pourquoi toute cette mise en scène ? Pourquoi ? Ils devaient juste avoir des vacances c’est tout. Et il y avait eu ce naufrage. Et voilà que je me retrouve dans cette grotte humide. Je prie tous les dieux que je connais de veiller sur eux.
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Alfred se réveilla en premier, suivit de peu par les autres. Ils étaient où déjà ? Ah oui le bateau, la tempête et le naufrage. Dire qu’ils devaient avoir des vacances, il retenait son boss avec ses idées a la mord moi le nœud. ~

- Ma tête, grogna-t-il avant de se relever lentement.

Il regarda les autres tout en aidant son frère à se relever. Ils étaient où ? Cette île, il n’avait pas souvenir de l’avoir aperçu. Lorsque tout le monde fut à peu près réveiller et qu’ils se soient assurés de n’avoir rien de cassé ils commencèrent à discuter de ce qu’il fallait faire quand Peter, partit explorer la plage avec Sendai revint en courant avec un livre et lettre.

- C’est un mot de ta sœur Alfred ! fit le gamin en lui tendant la lettre.

lettre de Moana:

Ils se regardèrent avant de regarder le livre que Vash prit et qu’il ouvrit pour le lire à voix haute.

Jounral Initme:

Là c’était totalement dément il fallait bien l’avouer.

- C’est quoi cette histoire de sirène ? c’est comme la petite sirène ? demanda Peter
- Je ne pense pas Peter, fit Matthew.
- Merda ! c’est quoi encore cette embrouille ? Il doit bien y avoir des bateaux qui vont passer non ? il suffira de les attendre ! s’exclama Lovino
- T’a pas écouté quand on a lu ou t’a les oreilles bouchés ? s’emporta Peter
- Je veux partir le plus vite d’ici…Grand frère pourrait se marier avec quelqu’un d’autre…je ne veux pas…Grand frère doit se marier avec moi, marier, marier, marier, fit Natalya

C’est alors que des idées fusèrent de toutes part, chacun soutenant la sienne et bientôt les noms d’oiseaux fusèrent de toutes part entre les Nations.

- Je propose…qu’on vote pour élire un chef de groupe, fit alors la petite Sendai.

C’était de loin la meilleure idée qui avait été avancé, un chef de groupe, quelqu’un qui servirait de guide dans cette île. Et puis ainsi au moins les disputes seraient remises à plus tard.

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- Vous devez donc voter pour élire un Chef de groupe (le Maire), vous pouvez voter pour vous même si vous le souhaitez. Le Chef de groupe n'a pas le droit de refuser son rôle. Lors des prochains votes son vote comptera double.
- Les votes ont lieu jusqu'à mercredi 23 h.
- Si j'ai oublié de vous envoyez votre rôle veuillez m'envoyer un mp merci d'avance.

P.S : les fautes a Jounral Initme sont faites exprès sinon les mots disparaissent....et je ne sais pas du tout pourquoi
P.S.S : date repoussé car certain m'ont averti qu'ils ne pourraient poster dans la limite imparti.

Je croyais que la malchance était une chose relative. On ne la considère qu'avec en contrepartie une chance. J'ai découvert ce qu'était vraiment la malchance : voir sa mort de près, qui vous nargue. Et dire que tout commencait a peu près bien. J'avais travaillé comme un forcené ses derniers temps, à mon grand plaisir. Mon chef, inquiet pour ma santé, m'a proposé d'aller à une petite croisière. J'ai accepté par courtoisie, mais je lui ai bien fait comprendre que ce n'était pas mon plaisir. Enfin bref, je me suis retrouvé sur un bateau, principalement sur le pont, à jouer de la musique. Et c'est arrivé d'un coup. Un tempête énorme. Je crois que nous avons tous paniqué, enfin peut-être étais-je le seul -quoi que c'est peu probable.

Puis le réveil. Une belle île, chaude, assez belle de prime abord. Il y avait d'autres personnes. Je n'en reconnus que quelques unes : Vash Zwingli, qui m'avait aidé par le passé ; Sendai, une cousine éloignée ; et Alfred, que je n'appréciais pas trop. C'était les trois seul que je connaissais. J'avais bien du en croiser d'autres une fois, mais en tout cas aucun nom ne me vint. Je me relevais silencieusement dans mon coin. Personne ne me remarquais. Un petit garçon et Sendai partirent en reconnaissance pendant que les autre reprenaient leur esprits. Moi, je partis de mon côté. Je voulais voir si un de mes instruments ne seraient pas échoués, en état potable. Et grande joie. Mon mwali était là, complétement trempé, légèrement amolli. Mais il n'avait aucune casse, par miracle. Je revint vers les autres avec mon précieux mwali quand Alfred finissait de lire une lettre d'une dénommée Moana. Je m'approchais doucement, sans poser de questions, même si elles me brulaient les lèvres. Qui était cette Moana ? Qu'étaient ce qu'elle appellent sirènes ? Qui êtes vous pour commencer ? Non je ne dis rien. Je risquais de m'emporter. Je laissais Vash prendre le livre qui allait avec la lettre et lire un étrange récit. Il parlait à nouveau de sirènes. Et de meurtres. Chacun se mit à discuter, puis le ton monta, jusqu'à des injures... J'étais encore dans mon coin. Finalement Sendai trouva la bonne idée : un chef. C'est ce qu'il nous fallait. Souci : je ne connaissais personne. Le livre disait de soupçonner tout le monde. Enfin voilà : je n'étais pas sur du tout de mon vote. Mais il fallait commencer. Et puis, c'était l'occasion d'être vu. Je m'approchait du groupe et me racla la gorge.

"Hum, dans ce cas... Je vais commencer par me présenter, car j'ignore vos identités pour la plupart. Je suis Bhakchy, et je suis le Népal... Ensuite pour le vote, j'avoue de ne pas être sur de faire un choix judicieux, mais c'est le seul qui s'offre à moi."

Je fis une pause, choisissant mes mots avec soins. Il n'était pas question d'en blesser certains. Ou plutôt une certaine sur le coup.

"Sendai, bien que ton idée soit excellente, tu te doutes que tu es n peu trop... Enfantine pour ce rôle. Alfred, tu as juste le don de m’exaspérer. C'est purement personnel, et il ne faut pas en prendre compte pour vos votes. Le mien va donc à Vash, qui est la seule personne que je connaisse et en qui j'ai toute confiance."

Je reculais ensuite, comme si mon rôle était fini. C'était d'ailleurs le cas ; étant donné que j'aurais du mal à prendre plus longtemps la parole. Mon regard resta fixé sur le suisse. Il est quelqu'un de droit... En fait, je pense que c'est un bon choix. Je serre mon mwali sans oser en jouer... Peut-être plus tard, quand nous serons plus calme.

Le bâteau. La tempête. Les cris. Les éclairs. La foudre. La panique. La terreur. Et ces chants.

C’était tout ce qui lui revenait en mémoire, rien d’autres. C’est vous dire que son cerveau avait été comme déconnecté le temps du naufrage.

Alfred ouvrit ses yeux bleus, comme l’océan qui bordait l’île et se releva lentement sur les coudes. Ils étaient plusieurs. C’était un premier point, plutôt positif, il n’était pas tout seul paumé au milieu de la mer. Aidant son frère à se relever, celui-ci étant tout aussi sonné, il observa les environs, cherchant quelque chose de particulier qui pourrait, je sais pas, lui rappeler un souvenir, d’une île quelconque visiter avec sa sœur.

Sa sœur. Moana. Où était-elle ? Et voilà qu’il s’inquiétait. Il avait Matthew sous la main, mais où était passée sa petite sœur ?

D’un coup, il vit arriver en trombes Peter et Sendai. Les deux surexcités de service lui donnèrent un mot, ou plutôt le lui fourrèrent dans les mains, et après y avoir jeté un bref coup d’œil, il lut à voix haute son contenu – et dois-je vraiment préciser que ce même contenu n’était pas des plus agréables aux yeux américains.

Sendai proposa alors son idée et Ba-… Euh, le Népal prit la parole pour donner son avis au reste du groupe. Alfred l’écouta sans broncher.

- Dans ce cas, il y a un vote pour Vash. Je me propose pour prendre les commandes, dit-il pour une fois, sans l’air de rigoler. Faites à votre bon vouloir.

Après avoir lâché Matthew, il croisa les bras sur son torse et s’éloigna, cherchant du regard, ne serait-ce qu’un indice, qu’une ridicule trace de pas pouvant indiquer la présence hawaiienne sur l’île.

Mais rien. Tristement rien.

Spoiler:

Après s’être réveillée et redressée tout en tentant de reprendre ses esprits, tout ce dont Biélorussie parvint à se souvenir, cet fut cette idée inattendue que son frère avait vue de lui suggérer des vacances alors qu’elle avait mystérieusement le temps et le moyen de lui rendre visite plus souvent – cela ne viendrait bien sûr pas à l’idée qu’il s’agissait là d’un stratagème plus ou moins subtil pour l’éloigner.

En tous les cas, elle ne s’opiniâtra pas bien longtemps à essayer de comprendre ce qu’il se passait, ne s’intéressant qu’à la manière de quitter cet endroit qui, bien qu’étrange, ne lui inspirait aucune peur, afin de rejoindre Russie. Ainsi se décida-t-elle à prêter attention à ce qui se disait et se faisait autour d’elle.

Elle écouta donc le représentant du Népal faire son discours sans véritablement y trouver un quelconque intérêt puis, lorsqu’elle perçut la voix pour le moins irritante d’Amérique, fixa ses iris au violacé comminatoire sur ce dernier. Les circonstances changeaient peut-être mais les animosités demeuraient.

« Toi ? Non merci, je tiens à revenir en vie, ricana-t-elle avec un glacial mépris. Et d’ailleurs, renchérit-elle, s’adressant cette fois-ci au groupe, je ne fais confiance à aucun de vous, vous n’avez pas les tripes pour nous tirer de là. Je n’accorde donc mon vote à personne et me propose donc pour tous nous sortir d’ici. Et ne plus jamais vous revoir ensuite. »

En vérité, peu lui importait de sauver la vie de ces minables dont certains représentaient de dangereux rivaux pour elle – encore une fois, le gros lard américain lui revenait en tête – mais elle entendait bien que pour sauver la sienne et retrouver son grand-frère bien aimé, il lui faudrait... coopérer. Bien. Sauvage comme elle était, ses instincts de survie lui permettaient de tout supporter.
Instincts de survie bien sûr dus au fait qu'elle tenait à revoir son grand-frère et à l'épouser, aucunement à une possible frayeur. Natalya n'avait peur de rien. Et certaines pas de ces femmes enchanteresses dont il fallait apparemment se méfier.

Ici, elle restait tout de même la plus dangereuse de toutes les femmes, sirène ou pas.

Spoiler:

Non mais je vous jure, il devait être maudit, ce n'était pas possible autrement! Il avait enfin trouvé un itinéraire génial pour prendre des vacances, loin de son crétin de frère, loin du macho au patate qui l'exaspérait, loin du sale français pédophile. Bref, loin des européens! D'accord, il n'était pas trop "Amérique", ces salauds ne servant que de point de refuge pour sa mafia mais bon, ceux du sud étaient de bons cousins à Antonio, aussi bon vivant que lui. Alors pour Romano, qui devait l'avouer, appréciait la culture latino, même américaine, ces vacances semblaient partir de bon augure...

Jusqu'à ce que le climat d'Angleterre décide de s'inviter à la fête.

Un coup de tonnerre, un raz-marré, une poutre derrière la tête et le voila atterrit sur une plage qui avait l'air tout, sauf touristique. Il regarda les autres, écouta un peu leurs idées qui lui paraissaient totalement débiles, à son goût. D'après ce qu'il avait pût comprendre, lui et les autres pays présents sur le bateau se retrouvèrent naufragés sur cette île qu'il aurait préféré inhabitée. Hawaï’ i, la petite sœur d'Amérique, lui avait laissé une lettre et un journal intime qui expliquait apparemment que cette île était peuplée de sirène. Et la meilleure, c'est que celles ci étaient parmi eux! Ce qui voulait dire, au grand désarroi de l'italien, que sirène#belles femme envoutantes.

Dans ce cas, bon courage pour aller les retrouver!

Et puis, franchement, regardez avec qui il se retrouvait dans cette galère: le frère d'Angleterre qui paraissait aussi aimable que lui, Suisse qui s'amusait à shooter son frère quand il allait voir Allemagne (il ne détestait pas l'idée en elle même, mais il pourrait juste le renvoyer de l'autre côté de la frontière au lieu de le poursuivre avec un fusil), cet enfoiré d'Amérique, le clone invisible de ce même enfoiré, cette folle qui l'effrayait encore plus que Russie, le père noël des nations, un asiatique qui ne lui revenait pas et la petite sœur de Japon (C'était peut être cette dernière qui lui paraissait le plus sympathique).

Bref, une belle équipe de bras cassés pas du tout cohérente! Mais bon, Romano s'était déjà retrouvé dans un groupe qui était destiné à l'avance à se casser la gueule (l'Axe et l'UE pour ne citer qu'eux), il allait donc devoir faire avec. Cependant, avec un chef qui saurait gérer le tout d'une bonne main de fer, même le pire des groupes pouvait s'en sortir. C'est pourquoi il était absolument impensable pour Lovino qu'Alfred prenne la tête du groupe. Quand à Vash, il était bien gentil, mais avec son humeur de "je suis toujours neutre" doublé d'un "rentre chez moi et je te tire dessus", Romano ne l'imaginait absolument pas gérer un groupe avec autant de têtes brulées. Pour finir Biélorussie... en plus d'être une femme, et donc forcement inapte au rôle de chef, elle lui foutait les glandes comme ce n'était pas permis (et pourtant, il n'aurait jamais crût penser ça d'une femme), donc impossible!

-"Écoutez-moi bien, les filles." Il regarda l'ensemble du groupe en se redressant. "Y'a pas à discuter trois plombes, le seul chef qu'il vous faut, c'est moi! Et si y'en a un qui veut contester, je me ferais un plaisir de lui arranger sa gueule, pigé!"

Il ne s'était pas tapé un siècle et demi de mafia en restant dans l'ombre à suivre comme un gentil toutou comme la plupart des nations le faisaient avec leurs dirigeants. Non, Romano était leader, un vrai. Il savait comment se faire respecter, imposer son autorité naturellement. Et si ça ne marchait pas, il pouvait toujours envoyer les opposants dormir avec les poissons!

Spoiler:

Et voilà, les problèmes commencent! Ça faisait bien longtemps que Vash n'a pas eu d'embrouilles au point de risquer sa propre vie. Sa neutralité ne pourra pas le sauver cette fois. Et Liechtenstein qui n'est pas là... la pauvre. Elle va se retrouver seule s'il lui arrive le pire. Et Vash ne se le permettrait pas, il DOIT rester en vie! Et c'est sa seule préoccupation... pour Lili. Pour une fois qu'il décide de prendre un peu de bons temps, de vacances... Il travaille toujours durement et ne pense pas toujours à se reposer. Et voilà que ces vacances s'annoncent loin d'être reposantes...

Sendai arrive en courant avec une lettre et un bouquin qu'elle donne à l'Amerloque... Il lit la lettre qui mentionne une certaine Moana...
Moana... qui est cette Moana? Il ne se souvient pas tellement d'elle mais apparemment, c'est une soeur d'Alfred.
Vash s'empare du fameux livre qui s'avère être en fait, un journal de bord. Il en lit quelques pages, et plus on avance dans le livre, plus ça devient épouvantable, les pages étaient rouges de sang, tellement qu'on voyait de moins en moins les mots.
Après avoir lu le livre à voix haute, il n'était pas du tout rassuré, mais alors pas du tout! Il fronce les sourcils, croise les bras et réfléchit à un moyen de s'en sortir mais il n'y en a aucun, bien sur. Il est prit au piège, la seule façon de s'en sortir est de rester en vie...

Le Suisse lève les yeux et observe les nations qui l'accompagnent. Sendai, la petite soeur de Japon, propose d'élire un chef de groupe, pourquoi pas? Faisons comme le livre nous suggère de faire. De toute manière, qu'est-ce qu'on a à perdre à part notre vie? Le népalais commence à parler et...

Oh malheur... il vote pour moi. Pourquoi moi?! Pourquoi pas un autre?! Ai-je l'air d'un leader? Et Alfred qui vote pour lui-même... c'était prévisible, quel crétin.

Toutes les personnes ayant jusqu'à présent pris la parole ont voté pour eux-même, sauf Népal. Mais pour qui Suisse va-t-il voter? En effet, le livre mentionne qu'il faut se méfier de tout le monde... Enfin, il fallait bien élire quelqu'un, mais Vash a du mal à faire confiance à quelqu'un parmi cette bande de crétins, que ce soit mentionné dans le journal ou pas... sauf peut-être... Biélorussie? Il ne comprend pas pourquoi mais... il ressent une certaine confiance en elle. Etrange, ce n'est pourtant pas Liechtenstein qui est devant lui... la seule personne en qui il a confiance sur ce bas monde. Il s'agit bien de la soeur de Russie, alors pourquoi? Enfin... peu importe, il prend enfin la parole.

"Bon... bande d'idiots. C'est à mon tour de voter..."

Il regarde une dernière fois chaque personne et aperçoit un voisin, enfin... Lovino quoi. Le frère d'Italie du Nord, celui qui a l'air moins idiot des deux. Quoi qu'il en soit, il était bel et bien présent. Mais comment faire confiance à un type de la mafia? Ses yeux se tournent vers Amérique et son frère transparent, Canada? Franchement... non, Amérique comme chef, c'est synonyme de grosse envie de le flinguer.
Ah oui... son flingue, il était bien dans sa poche. Comme toujours, il a son arme sur lui... Si quelqu'un oserait s'en prendre à lui, il pourrait éventuellement se défendre? Mais ne changeons pas de sujet, il faut voter pour quelqu'un... Canada... Non, on ne risque pas de l'entendre beaucoup, lui... Finlande? Sealand? Pfff c'est quoi ça? Un pays? Sérieux... qu'est-ce qu'il fout ici? C'est impensable de voter pour ce mioche! Pareil pour Sendai, elle a l'air si jeune. Et Népal? Il a bien voté pour Vash... aurait-il réellement confiance en lui? Et s'il vote pour lui-même, c'est lui qui va devoir décider des choses, mais il n'a pas envie de se fatiguer avec ça!

"J'ai bien réfléchis... et mon vote ira à ... Finlande."

Le Suisse a voté, non pas pour lui-même, comme l'ont fait la plupart des autres. Trop sures d'eux, sans doute...

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Récapitulatif des votes :

Suisse : X

Amérique : X

Biélorussie : X

Italie du Sud : X

Finlande : X

Doivent voter : Sendai, Sealand, Finlande, Canada

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Spoiler:

Nuit 1

Elle ne pouvait que les regarder, pourquoi les votes pour élire le chef de groupe prenait autant de temps ? La nuit commençait déjà à tomber. Et la seule personne à avoir recueilli assez de vote était son frère, Alfred. Elle espérait juste que ce statut ne lui monte pas a la tête, mais elle faisait confiance aux autres pour le ramener a l’ordre si jamais il partait dans un de ses délires.

Et la nuit fut là. Elle les vit se diriger vers un endroit couvert et a l’abri du vent sur une initiative de Matthew qu’on avait écouté pour une fois.

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Les Sirènes (Loups-garous) se concertent et m'envoie leur vote par mp.
Cupidon m'envoie un mp pour me dire le couple / Fait
La Sorcière m'enverra son mp après que je l'ai contacté.
Les nations vont se coucher.

Durée de la nuit : demain 23h
Nations encore en vie : Sealand, Sendai, Népal, Suisse, Biélorussie, Italie du Sud, Canada, USA, Finlande.

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Spoiler:

Jour 2

Ile perdue au milieu de nulle part, 7h42

En se réveillant le lendemain matin, les Nations purent constater que les sirènes étaient déjà parmi eux et qu’elles avaient déjà frappés. En effet, en se dirigeant vers un endroit calme pour se soulager, Lovino était tombé sur le cadavre du pauvre Finlande.

Finlande était La Voyante

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DEROULEMENT :

Chacun vote pour la personne qui lui semble être une sirène
Vous pouvez vous balader partout dans l'île mais la grotte dans laquelle Moana est prisonnière vous est invisible car cachée.
Vous pouvez voter contre vous-même, et revenir sur vos votes (mais pas plus de deux fois, et avant que tout le monde ait voté).
Durée du jour : jusqu'à demain 23h.

NUIT 1 : RECAPITULATIF

Les sirènes ont tués Finlande.
La voyante étant Finlande elle n'a pu voir aucune des identités.
La sorcière n'a pas utilisé de fiole.

JOUR 2: RECAPITULATIF

Morts:
Finlande -> Voyante

Vivant:
Canada, Sealand, Suisse, Biélorussie, Italie du Sud, Sendai, Népal, USA

Après avoir passé une nuit agitée par de mauvais rêves, avoir fait un tour sur la plage et être revenu... Je n'avais absolument rien remarqué. Et pourtant, quand un européen (y a que ça ici de toute façon) retrouve un cadavre ; son état prouve que ce fut bien durant la nuit. J'ai déjà vu des morts, beaucoup... Mais celui-ci a quelque chose de particulièrement horrible. Il n'avait rien fait pour. Il voulait nous aider... Ca devait être ça qui rendait la scène si macabre. Mais le pire à mes yeux était simple. Nous devions condamner quelqu'un. Je devais participer à cette condamnation... Voter était à nouveau à l'ordre. Mais c'était impossible à mes yeux ! N'étais-ce pas une façon de briser mon pacte de non-violence que de pousser quelqu'un à la mort ? Si... Mon instinct me disait de me sacrifier, pour protéger les innocents. Mais l'inconvénient était que je protégerais aussi les coupables. Et c'était impossible également... Briser le pacte, et choisir qui devait mourir. Comme à mon habitude, j'étais loin des autres. Dans mon coin, à me recueillir pour le mort... Si j'ai bien entendu hier, il s'agissait de Finlande... Ou est-ce ? J'espère en tout cas que sa nouvelle vie sera plus douce, et connaitra une meilleure fin... Quand j'arrive à parler, ma voie est enrouée de larmes présentes et futures.

"Nous savons tous. On a pas le choix, on doit trouver le responsable et...."

Le mot se coincé dans ma gorge. Je relève la tête, regardant les autres, à la recherche d'un quelconque soutien qui finirait.

"Enfin voilà... On doit choisir. Et il faut qu'on réfléchisse."

Je ne pouvais pas voter par instinct. Je devais me baser sur des faits. Je n'ai aucune carte en main. Donc autant se jeter à l'eau, quitte à mourir moi-même. Mais face à qui ? Qui aurait pu être suspect ? Personne... Je dus le jouer au hasard. Je les regarde à nouveau, serrant mon bâton et mon mwali, en larmes.

"Je suis désolé euh... Italie, c'est ça ? Je ne sais rien, et en plus c'est moi qui doit lancer... Et tu fus si agressif hier, je pense que c'est ça qui m'y pousse... Enfin bref. Je vote contre toi."

C'est idiot, illogique et irresponsable. Mais c'est mon unique option. Je viens de briser tout mes pactes. J'ai montré qui j'étais, j'ai peut-être envoyé à la mort quelqu'un d'innocent. Son agressivité devait venir de son tempérament ou sa peur. Mais j'ai quand même voté, pour ça. Je m'isole un peu plus des autres. Je n'ai pas envie de connaitre les résultats. Pas avant ce soir tout du moins.

Peter était un peu déboussolé. Il n’avait pas tout compris à ce qu’il s’était passé. Il était tranquillement assis sur le pont du bateau, à papoter de tout et de rien avec Finlande, en partance pour des vacances bien méritées, et surtout qui promettaient d’être bien drôles. Parce que t’façon, c’est plus marrant d’être avec Finlande qu’avec Angleterre, qui le gavait à longueur de journée. Ils s’étaient retrouvés sur une plage inconnue, et après une exploration, avaient trouvés des indications d’une certaine Moana qu’il ne connaissait pas. Rien de bien rassurant.

Et après une nuit passée sur cette plage inconnue en compagnie de ces gens qu’il ne connaissait que peu, le drame était arrivé. Le cadavre de Finlande avait été retrouvé dès l’aurore, loin de l’endroit où il s’était endormi, serrant la main de celui qui restait son point de repère dans tout ce capharnaüm. Une main qui ne tenait plus la sienne au petit matin, une main désormais froide et rattachée à un corps sans vie, atrocement mutilé. Peter ne pouvait détacher ses yeux du macchabée, laissant une larme dévaler ses joues d’enfant qui n’avait pas vu beaucoup d’horreurs dans sa courte vie. Il avait envie de crier, de vider ses poumons dans un râle aigu, et de verser des larmes, sans discontinuer. Il retourna auprès des autres, ne voulant rester seul trop longtemps.

C’est alors que Népal prit la parole, alors qu’il était encore à genoux devant les restes de celui qu’il prenait un peu pour sa mère. Trouver le coupable hein ? Essayer de trouver celui, ou celle, qui avait fait subir ça au finlandais, et qui n’hésiterait pas à recommencer sur n’importe lequel d’entre eux s’il n’était pas démasqué. C’était bien difficile à dire, surtout pour Peter. C’était un enfant, un enfant qui ne voyait pas encore le mal dans le cœur des gens.

Il écouta attentivement le népalais, qui ne semblait pas vraiment aimer le principe de désigner un coupable sans plus de preuves que cela. Peter jaugea l’italien du regard. Il le faisait un peu flipper avec son air de mafioso mal léché, et ferait un coupable idéal. Mais il n’était pas le seul à faire frissonner le petit. Biélorussie aussi ne lui inspirait pas confiance. Mais il ne voulait s’avancer nulle part. Et, alors que pour une fois son avis pouvait changer quelque chose, Peter décida de suivre bêtement, de faire le mouton, de toute façon ça changerait rien, Finlande n’était plus là pour l’encourager.

« Je n’ai rien contre toi, Italie, mais… Népal n’a pas trop, tu étais vachement agressif et euh… Je vais voter aussi contre toi. »

Peter n’était pas doué pour aligner trois mots sérieux correctement. Et ça se voyait. Il n’en avait rien à faire si son avis ne comptait pas, pour une fois. Il n’avait pas envie de se mettre en avant, pour une fois. Il n’avait rien envie de faire, à vrai dire. Cependant, il fit quelque chose. Il prit sa veste, en mauvais état à cause du naufrage, et alla la déposer sur le corps de Finlande avant de se rasseoir en tailleur dans le sable, un peu à l’écart des autres, les yeux rivés sur l’océan.

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Récapitulatif des votes :

Italie du Sud : X X

Doivent voter : USA, Sendai, Canada, Biélorussie, Suisse.

annonce P.S:

« Finlande, hm ? »

Biélorussie haussa les épaules, nullement touchée par la mort d’une nation qui, bien qu’innocente – cela ne l’étonnait guère, la petite épouse du Suédois n’avait clairement pas la carrure pour être un ‘‘méchant’’ –, lui importait peu. Ne souhaitant pas s’éterniser là-dessus, elle prêta l’oreille aux discours de Népal. Se voulaient-ils moralisateur, plein d’émotions ? Elle ne saurait exactement le dire mais si là étaient les buts de ces paroles, elle ne pouvait que se gausser, d’un ricanement discret.

« Oh, je vous en prie, nous savons tous très bien ce qu’il en est, intervint-elle froidement. Aujourd’hui, certains – Ses orbes violacés fixés sur le Népalais dévoilaient aisément l’identité du ‘‘certains’’ – veulent se donner des airs d’êtres sensibles qui peinent à voter la mort de quelqu’un mais dans quelques jours, quand la peur nous aura tous réduits à l’état de bêtes sauvages, croyez-moi qu’il n’y aura plus un seul imbécile pour tenir ce genre de propos. »

Après cette longue prise de parole – elle-même s’en trouvait décontenancée –, Natalya posa son regard vide sur le cadavre du Finlandais, aux côtés duquel demeurait Sealand. Aucunement intéressée par ce dernier, elle s’attela plutôt à admirer ou déprécier la manière dont... Tino, si elle se souvenait bien, avait été tué. Elle ne perdit pas beaucoup de temps là-dessus, constatant juste que ça avait été fait sans aucune maîtrise, avec un empressement maladroit. La personne qui avait ôté la vie au Nordique n’avait pas dû éprouver un plaisir particulier à le faire.

Elle scruta ensuite brièvement tous ceux qui l’entouraient, ses iris à l’améthyste comminatoire s’appesantissant sur Suisse, seul individu qu’elle jugeait plus ou moins utile dans le groupe – passion commune pour les armes oblige –, puis sur Amérique, l’élément le plus exécrable, le plus insignifiant, et pourtant le ‘‘meneur’’ de cette bande de bras cassés.

Si elle cédait à ses instincts les plus primaires, instincts auxquels elle a coutume de donner la priorité, elle voterait contre lui sans hésiter une seule seconde. Mais il s’agissait plutôt d’assurer sa survivance et, dans ce cas, voter contre lui ne serait pas un bon choix. Qu’il soit allié ou ennemi, il demeurait, dans les deux cas, trop abruti pour être dangereux.
Italie du Sud, lui, s’avérait souvent être une mauviette mais on ne pouvait lui nier ce côté mafieux qui allait parfois jusqu’à faire de lui une sérieuse menace.

« Je vote contre Italie du Sud. »

Au meilleur des cas, une menace aura été éliminée ; au pire des cas, cela fera une tapette de moins.

En se réveillant ce matin, Italie du Sud constata qu'il fût le premier levé, d'un naturel matinal. En baillant de manière à faire pâlir Autriche d'outrage devant si peu d'élégance, il se dirigea pour son premier rituel matinal: la vidange. Malheureusement, ce qu'il vit lui coupa toute envie de soulager sa vessie. Il avait vu ce type auparavant dans le groupe, peu bavard mais qui paraissait innocent et plutôt gentil avec son prochain. En sang. Déchiqueté. Les yeux révulsés, alors qu'ils rayonnaient d'habitude d'un violet clair. Romano ne le connaissait pas personnellement, juste assez pour savoir que c'était lui qui lui accordait chaque ans, à la même période, cette pizza au chorizo qu'il adorait mais dont son orgueil l'empêchait de demander à Antonio de lui en préparer une.

Il ne pleura pas, parce qu'il ne pleurait jamais.

Il était fort, il était solide. Il avait une armure de fer autour de son cœur qui l'empêchait de laisser transparaître le moindre de ses sentiments. Une armure faîte d'un tempérament, de grossièreté, d'impulsivité, de colère; autant de sentiments assez forts pour cacher le reste. Et malgré la tristesse qui le prit d'un coup en sachant que cette nation généreuse ne viendra plus jamais le réconforter ses soirs de noël avec toujours la même phrase "Tu sais, la magie de noël ne vaudra jamais un bon petit plat préparé par un être cher.". Il avala un bon coup, ferma les yeux. Ce n'était rien, tenta-t-il de se convaincre. Ca aurait pût être pire. Ca aurait pût être Veneciano, Espagne...

Mais voila, ce n'était pas finit pour lui.

Népal avait voté contre lui, sous le prétexte parfaitement idiot qu'il avait un fort caractère. Puis Sealand, petit enfant influençable, le suivit dans le même raisonnement. Et enfin, Biélorussie, qui de toute façon, n'avait elle aucune raison étant donné qu'à part son frère, elle détestait tout le monde. Cette femme aurait même martyrisé sa propre sœur. Sa grande sœur, celle qui l'avait élevée, soignée, protégée, juste parce qu'elle était trop proche de leur frère. C'était quoi ça? De l'amour fraternel? Il constata à quel point elle lui rappelait son frère durant la Seconde Guerre: prête à tout sacrifier, même sa famille, juste pour son amoureux.

Il regarda ceux qui avaient voté contre lui dans les yeux à tour de rôle puis s'engagea dans un rire amer, le genre de rire fataliste qui était face à de pauvres ignorants:

-"Alors ça y est? Vous votez contre moi juste parce que ma sale tronche ne vous revient pas? Et ben bravo!" Il applaudit sans perdre son sourire ironique en se promenant de part et d'autre. "Je suis fier de vous, je vois tout de suite l'avenir de ce groupe avec des membres pareils! Si ça avait été mon frère plutôt que moi, vous auriez voté contre lui quand bien même lui aussi représente l'Italie? Non, évidement, parce que Veneciano est innocent, doux et gentil, alors forcement, personne ne soupçonne les petits agneaux alors que ce sont souvent eux qui cachent les plus féroces loups."

Désolé de t'impliquer, Feliciano, mais je n'ai plus que ça...

-"Si j'avais été votre ennemi, vous croyez vraiment que j'aurais attiré l'attention sur moi avec mon sale caractère, surtout au milieu d'une bande de lavette pareille! Et ben allez y, désignez moi en tant que tête de turc, c'est ce que je fais de mieux depuis des siècles. Si ça peut soulager votre conscience, dites vous qu'à défaut d'avoir éliminé une sirène, vous aurez éliminé la partie la plus embarrassante de votre groupe: celle qui dit tout, haut et fort! C'est sûr que dans une situation ou chacun doit mentir, c'est plus un gène qu'autre chose, pas vrai?"

C'est bon, il avait finit de faire le tour des gens qui l'avaient pointé du doigt. En croisant les bras, il décida de conclure son petit discours de survie:

-"Bien, ce n'est pas encore finit de toute façon. Je vote contre Sealand, le sale gosse de Finlande. Comme ça, il pourra aller rejoindre son père qui repose en paix maintenant! Et je promet de prier pour le salut de son âme."

Et oui, même au bord de la mort, Romano restait fidèle à lui même. Qu'est ce qu'ils attendaient? Qu'il se mette à genoux et les supplie de l'épargner: mon cul, oui! Ils peuvent tous aller se faire voir dans ce cas là!

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Récapitulatif des votes :

Italie du Sud : XXX

Sealand : X

Doivent voter : Canada, USA, Sendai, Suisse

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Nuit 2

Je ne peux rien faire d’autre que les observer, observer Suisse tendre son arme a Alfred qui a son tour pointe le canon sur Italie du Sud qui prie, je crois. Je vois Matthew caché les yeux de la petite Sendai et du petit Sealand toujours prostré près du corps de Finlande et Alfred tiré sur l’italien qui s’effondra sans bruit, lui qui avait toujours vécu dans le bruit.

Ils ne sont plus que 7. Et parmi eux se cache des sirènes. Je n’ai aucun moyen de les avertir, aucun moyen de leur faire parvenir un quelconque indice qui pourrait les mettre sur la voie. Je ne peux qu’assister à tout cela avec cette question, pourquoi ne suis-je pas parmi eux ?

Je vois la nuit arrivé, ils ont passé autant de temps que ça a discuter? a se disputer aussi pour savoir qui devait garder l'arme. Ils ont tout de même convenu de laisser son arme a Suisse. J'espère, je prie pour que cette nuit il n'y ait pas de mort même si je sais que mes prières sont vaines.

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Italie du Sud était une simple Nation

Déroulement :

Les Sirènes (Loups-garous) se concertent et m'envoie leur vote par mp.
Cupidon m'envoie un mp pour me dire le couple / Fait
La Sorcière m'enverra son mp après que je l'ai contacté.
Les nations vont se coucher.

Durée de la nuit : demain 23h
Nations encore en vie : Sendai, USA, Canada, Népal, Biélorussie, Suisse, Sealand.
Nation morte : Finlande, Italie du Sud

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Jour 3

Île perdue au beau milieu de nulle part, 7h47

Ce matin là les Nations se sont réveillée toutes en vies même si Suisse a déclaré avoir été attaqué par quelqu’un dans la nuit mais apparemment son opposant n’était pas très persévérant puisqu’il a juste fallu qu’il pointe son arme sur la personne l’ayant attaqué pour que celle-ci s’enfuit dans la forêt.

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DEROULEMENT :

Chacun vote pour la personne qui lui semble être une sirène
Vous pouvez vous balader partout dans l'île mais la grotte dans laquelle Moana est prisonnière vous est invisible car cachée.
Vous pouvez voter contre vous-même, et revenir sur vos votes (mais pas plus de deux fois, et avant que tout le monde ait voté).
Durée du jour : jusqu'à demain 23h.

NUIT 2 : RECAPITULATIF

Les sirènes n'ont tué personne.
La sorcière a utilisée sa fiole de vie sur Suisse.

JOUR 3: RECAPITULATIF

Morts:
Finlande -> Voyante
Italie de Sud -> Nation

Vivant:
Canada, Sealand, Suisse, Biélorussie, Sendai, Népal, USA

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Récapitulatif des votes :

Sealand : X

Biélorussie : X

USA : X

Doivent voter : Biélorussie, Canada, Sendai, USA

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Nuit 3

Pour la deuxième fois, elle vit son frère prendre l’arme que lui tendait Suisse et tenir en joue la biélorusse. Etait-ce son imagination ou avait-elle aperçu un éclair de tristesse traverser les yeux améthyste avant que la propriétaire de ces derniers ne recouvre son sang-froid habituel ? Matthew avait de nouveau caché les yeux et les oreilles des deux plus jeunes de la petite troupe. Le coup parti et le corps sans vie de la biélorusse s’effondra devant Alfred, telle une poupée dont on aurait coupé les fils. Mais alors qu’ils s’apprêtaient à enterrer la biélorusse, Suisse poussa un cri étranglé et tomba à son tour, mort. Pourquoi ? Personne ne le savait. Ils enterrèrent dignement les deux nations et se remirent à discuter sur ce qui pouvait bien se passer sur cette île. Et la nuit revint, et avec elle la peur que ces sirènes inspiraient.

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Biélorussie était une simple nation
Suisse était la Sorcière
Cupidon avait désigné Biélorussie et Suisse en tant qu'âme soeur

Déroulement :

Les Sirènes (Loups-garous) se concertent et m'envoie leur vote par mp.
Cupidon m'envoie un mp pour me dire le couple / Fait
La Sorcière m'enverra son mp après que je l'ai contacté. /Morte
Les nations vont se coucher.

Durée de la nuit : demain 23h
Nations encore en vie : Sendai, USA, Canada, Népal, Sealand.
Nation morte : Finlande, Italie du Sud, Biélorussie, Suisse

Hawaii, où en est le LG ? =)

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Jour 4

Île perdue au beau milieu de nulle part, 7h47

Ce matin là, ils surent que la fin approcher. En effet le corps sans vie de Népal avait été retrouvé par Alfred. Mais avant qu’il n’est pu comprendre quelque chose a ce qu’il se passait il entendit un coup de feu et, baissant la tête vit un trou dans sa poitrine, en se retournant il vit avec stupeur Son frère, Sealand et Sendai le regardant sans aucune émotion. C’était Canada qui tenait l’arme à la main. Moana voulut rejoindre son frère, le sauver mais elle ne pouvait sortir de cette fichu grotte. C’est alors qu’elle se rendit compte que la grotte était emplie d’ossement. Et au milieu, son propre corps, le crâne défoncé. Elle comprit qu’elle n’avait jamais été vivante et elle ne put que regarder les 3 sirènes repartir après qu’un bateau soit arrivé. Et puisqu’elle ne pourrait jamais revenir…personne ne saurait jamais ce qu’il s’était passé sur cette île.

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Les Sirènes ont gagnés la partie.

Alfred et Népal était de simples nations.

Les Sirènes étaient, vous l’aurez compris, Sealand, Canada et Sendai.

Je me suis permise de faire cette fin vu que le LG commençait a légèrement devenir moribond. Merci beaucoup aux joueurs d’avoir joué le jeu ^^.

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