L'été était venu, et avec lui le soleil. WheroWhero s'était installé dans sa moitié Nord, la plus chaude de son pays. (bah oui, dans l'émisphère Sud, tout est inversé =p). Dans sa paillote au bord de la plage, dont l'eau du petit lagon fascinait toujours les visiteurs par sa clarté et sa couleur de jade, la jeune nation se levait.
Aujourd'hui, pas question de faire du surf, des barbecues, ou autres réjouissantes activités que la saison permettait! Car aujourd'hui, il avait de la visite, chose peu fréquente, et quelqu'un d'autre que son frère Arthur ou Australie, chose encore plus rare. En effet, il recevait la Finlande, venu de sa fraiche et lointaine contrée pour quelques accords environnementaux, point sur lequel les deux nations s'entendaient très bien, ainsi que pour échapper à la pénombre et à la neige de son rigoureux hiver.
Chacun étant dans l'hémisphère opposée, leurs saisons l'étaient également, ce qui rendait assez cocasse le fait de fêter Noel sur la plage en short, en mangeant du poisson grillé. Abel sourit. Tino serait surement bien content d'avoir un peu de soleil, surtout quand on voyait à quel point il était pâle,cela lui ferait le plus grand bien!

Mais pour cela, il fallait d'abord aller le chercher à l'aéroport d'Auckland, tout au Nord du pays, là où la végétation était encore assez tropicale. Le dépaysement serait au rendez-vous dès le début. Enfilant une tenue un peu plus convenable que l'éternel short T-shirt, Nouvelle-Zélande quitta sa paillotte, pour rejoindre le village tout proche, duquel il pourrait prendre le train jusqu'à la plus grand ville de l'état, pour enfin atteindre l'aéroport international, où il était prévu que l'avion de Tino se pose.
Tout était déjà préparé, un quai de débarquement lui était réservé, et plusieurs maoris en tenue traditionnelle s'échauffaient surement déjà là-bas. Il ne restait donc plus qu'à y arriver.

Le trajet se fit au rythme des dénivellations du terrain, longeant les collines et les rivières, encore gorgées des dernières pluies tombées, se déversant en de puissants torrents. Au bout de quelques heures, le paysage devint plus urbain, bien que cela n'aie rien à voir avec les autres grandes villes de par le monde. Cela ressemblait presque à une immense banlieue, rendant les lieux plus agréables, mais plus vastes aussi comparé au nombres des habitants. Abel arriva à temps pour l'arrivée de l'avion, dont le trajet avait du être particulièrement long. Vivre aussi loin du reste du monde avait quelques avantages, mais la durée des transports s'en trouvait toujours particulièrement allongée du coup.

Les îles paradisiaques du Pacifique, toutes plus magnifiques les unes que les autres.
Voir ces magnifiques paysages tropicaux en réalité, c'était vraiment une chance qui se présentait à Tino.
Ce voyage allait surment lui faire le plus grand bien, Noël l'avait lessivé cette année. Sans parler du nouvel an où tout les nordiques c'étaient reuni pour un pot, pot qui avait tourné à l'abus intense d'alcool et donc, récompensé par un superbe mal de tête.
Puis il voulait voir le beau et chaud soleil qui faisait manquait tant dans son pays, l'hiver étant particulièrement rude cette année, et prendre un peu de couleur ne lui ferait pas de mal.
Il avait le teint qui rivalisait avec un cachet d'aspirine, et espèrait ne pas prendre une teinte comparable à celle d'un homar sous la chaleur de ce beau pays.
Il avait aussi hâte de voir Abel, ce jeune homme était d'une grande gentillesse et possèdait une grand pacifisme qu'un moine de Chine pouvait envier.
De plus Able était un grand défenseur de la nature, c'était la principale raison que la Finlande se rendait là bas pour parler de quelques accords environnementaux que l'on pourrait créer.
Regardant le paysage par le hublot de l'avion, Tino trouvait assez amusant de voir que les tempèratures de l'hémisphère Sud étaient l'extrême opposées de celle en Europe en ce moment.
Il c'était même habillé pour rentrer dans cette fournaise avec un T-shirt noir écrit "Apocalyptica" en rouge et un pantacourt de couleur marron. Il savait qu'il aurait du mettre un autre T-shirt que celui qui montrait son adoration pour un de ses groupes de hard rock préférait, mais il n'en n'avait pas d'autre étant donné quand Finlande on voyait peu l'utilité d'un vêtement aussi légé.
L'avion se posa enfin à l'aéroport d'Auckland, la végétation autour était dense tipique du climat tropical. En parlant du climat, Tino trouvait qu'il était particulièrement étouffant et chaud comme dans un sauna. Heuresement qu'il c'était entrainé à supporter de hautes chaleurs comme celle-ci.
Sortant de du long tunel qui rendait dans le hall de l'aéroport, il fut surpri de trouver un véritable défilé de Maoris qui portaient de sompteux tatouages sur le visage tout en étant en tenue traditionnelle.

Spoiler:

La surprise fut encore plus grande qu'attendue. Tino était bel et bien blanc comme un linge, qui n'était qu'encore plus évident avec le T-shirt noir comme une nuit de tempête qu'il portait. Le pauvre, si il était habitué au froid, il risquait bien d'étouffer avec une couleur aussi sombre. Le logo quand à lui ne dérangea pas du tout, le petit frère d'Arthur étant quelqu'un de très ouvert dans un grand nombre de domaine, dont celui de la musique. Par contre, il fallait admettre que les deux nations, de par leur éloignement, ne se connaissaient pas encore très bien, se croisant juste la plupart du temps dans les couloirs lors de sommets importants. Au moins, ils pourraient également en profiter pour faire connaissance.

En revanche, Abel fut satisfait de voir que son petit comité d'accueil semblait plaire au Nordique, qui admirait la démonstration de Haka pour laquelle le Maoris s'étaient entrainés durant plusieurs jours. Il fallait dire que les visites étant peu fréquentes, il était important de toujours laisser une bonne impression aux autres nations. Dans ce cas-ci, cela paraissait bien commencer.
S'avançant pour aller à la rencontre de son camarade, la nation tendit la main, afin de serrer celle de Finlande, dans un geste des plus amical.

-Bienvenue en Nouvelle-Zélande, cher ami! Le voyage n'a pas pas été trop épuisant j'espère?

Il lui laissa le temps de répondre bien entendu, il n'était pas aussi malpoli que ce pollueur d'Alfred! Et heureusement d'ailleurs, car signer un accord environnemental aurait bien plus difficile à faire, tandis que dans la situation actuelle, la chose serait surement très aisée. Il en profita par après pour s'enquérir de comment Finlande supportait l'été austral.

- Ca va la température? Vous ne devez pas être très habituée à cela je supposes. Enfin, on va descendre plus bas, pour rejoindre Wellington, ma capitale, qui est sur la pointe Nord de l'île Sud. Ca ressemblera déjà plus au type de temps que l'on connait en Europe de l'Ouest, ça vous conviendra surement mieux.

Cette rencontre en tout cas semblait promettre de belles choses...

Le Haka des Maoris était un spectacle rare à voir mais impressionant à voir. Avec un côté effrayant et mystique à la fois.
Sans parler des magnifiques tatouages qu'ils possèdaient.
Oh tient pourquoi il ne s'en ferait pas faire un ?
Bon pas au visage surment même si ils avaient sacrement la classe.

-Bienvenue en Nouvelle-Zélande, cher ami! Le voyage n'a pas pas été trop épuisant j'espère?

Il serra la main que lui tendait Abel, affichant un grand sourire radieux. Le soleil était chaud, enfin il quittait son igloo pour de superbes plages.

- Non pas du tout, j'ai pu rattraper mes heures de décalages horaires en dormant un peu ! Donc je vais en pleine forme aujourd'hui.

- Ca va la température? Vous ne devez pas être très habituée à cela je supposes. Enfin, on va descendre plus bas, pour rejoindre Wellington, ma capitale, qui est sur la pointe Nord de l'île Sud. Ca ressemblera déjà plus au type de temps que l'on connait en Europe de l'Ouest, ça vous conviendra surement mieux.

- Oui c'est vrai que je suis pas trop habitué, et c'est assez étrange de voir que j'attend des -30° en ce moment dans mon pays.
Mais pas d'inquiétude c'est supportable, j'ai des températures comparable dans les saunas.

Enfin pour l'instant c'était supportable, mais l'air était beaucoup plus étouffant dans ce beau pays tropical.
Sa jambe commencé alors à le gratter, comme si on plantait des petites griffes dans sa chair. Se penchant pour regarder il vit un espèce de lézard accroché.
Il n'aimait pas les reptiles, surtout depuis le jour où Niels c'était amusé à lui mettre un serpent mort dans son lit, c'est qu'un truc comme ça vous traumatise à vie surtout quand vous êtes un gamin.
Gamin qui a déjà peur de pas mal de chose.
Il était crispé, ne voulant même pas se toucher le gecko pour l'enlever de sa jambe. Cruel dilemme, devait-il laisser se truc vert accrocher à sa jambe ou le toucher pour l'enlever.
Il voulait demander à Abel de faire quelque chose mais celui-ci se dirigeait déjà vers une voiture.
Il suivit Adriel comme un condamné, toujours avec son lézard accroché à la jambe.

Spoiler:

Ah, bonne nouvelle, il avait eu le temps de se reposer durant le trajet, ce serait une bonne chose, puisqu'il risquait de ne pas beaucoup dormir ici, vu le planning chargé qui les attendaient. Et la température ne semblait pas tellement le gêner, quoique l'avantage du sauna, c'est que l'on arrête quand on veut, contrairement au temps de la région.

Se retournant pour voir si son collègue le suivait bien, Abel eut la surprise de remarquer qu'il marchait pour le moins étrangement, avec une expression d'effroi sur le visage. Mais que lui arrivait-il, un maori aurait-il ôté son pagne et l'aurait choqué? Non, car il était connu que les finlandais allaient au sauna tout nu voyons! Qu'est-ce qui pouvait donc le perturber ainsi?
Après une rapide observation, la réponse se posa d'elle-même, sous la forme d'une petite masse verte qui escaladait la jambe de la nation. Visiblement, il n'aimait pas du tout les lézards. Il fallait dire que la faune locale s'était rapidement habituée à l'homme, et n'hésitait pas à coloniser les villes.
Nouvelle-Zélande se baissa alors, pour saisir avec ses mains l'animal au niveau du cou et du dos, pour le déposer au sol. Surpris par cette soudaine saisie, le reptile s'enfuit, plongeant dans une touffe épaisse de plantes tropicales. Il avait du prendre la jambe de Tino pour un endroit idéal où se chauffer au soleil, ne se rendant pas le moins du monde compte qu'il effrayait la nation.
Dans le but de rassurer Finlande, et pouvoir poursuivre le voyage, Abel adressa un grand sourire rassurant à son interlocuteur.

-Pas de soucis, il n'était pas venimeux, vous ne risquiez rien. Maintenant, rejoignions donc la voiture, il y a normalement moins de lézards dedans.

La petite pique serait surement utile à obliger la tête blonde à se ressaisir, et poursuivre le voyage. Après tout, ils avaient pas mal de travail à faire, de choses à voir, il ne fallait pas resté planté là!
WheroWhero marcha donc jusqu'à la voiture, qui était en vérité un véhicule à moteur hybride, conscience écologique oblige, dont la porte fut ouverte par le chauffeur, qui s'inclina devant les deux pays prêts à partir pour Wellington. Heureusement, il y avait tout de même la climatisation à l'intérieur, le nordique n'aurait pas à subir la chaleur étouffante régnant dans les transports en temps normal.

Il allait craquer, il allait craquer, il allait craquer...
Il ne supportait décidement plus cette chose verte qui avait élu domicile sur sa jambe.
Il allait finir par hurler de peur devant tout le monde, tant pis si il passait pour un dingue, mais ce truc ne pouvait rester comme ça.
La surprise se fit sur son visage lorsqu'il vit Abel se baisser pour décrocher l'animal.
Un peu plus est Tino lui sautait dans les bras pour le remercier, prennant à cette instant cette nation pour une réincarnation d'un dieu ou quelque chose dans le genre.
Ce type était un héros quoi ! Il venait de le sauver d'un animal féroce à écaille !

-Pas de soucis, il n'était pas venimeux, vous ne risquiez rien. Maintenant, rejoignions donc la voiture, il y a normalement moins de lézards dedans.

Tino se sentait vraiment bête à ce moment.
Ce n'était qu'un petit lézard qui lui avait grimpé sur la jambe, et pourtant il avait agi comme un enfant.
Il se donna une claque dans son esprit, il ne devait plus agir comme un gamin devant Abel.
Même si l'idée de se retrouver avec un autre lézard lui faisait horriblement peur.
Il suivit la nation jusqu'à un véhicule où la porte a été gracieusement ouverte par un chaffeur.
Qu'il faisait bon dans le véhicule, il se serrait presque collé contre la climatisation pour se raffraîchir encore un peu, mais il n'en fit rien car ce n'était pas un geste à faire devant quelqu'un.
Regardant le paysage défiler il observa les plages, la mer, la végétation et les surfeurs au loin.
Tout semblait sortir d'un rêve ou d'un conte de fée où l'on décrit le paradis comme un endroit verdoyant.
Il finit par se retourner vers Abel, tout en souriant comme à son habitude.

- Merci beaucoup de m'avoir permit de venir en Nouvelle-Zélande, c'est vraiment un endroit de toute beauté. Tu as vraiment de la chance de vivre dans un endroit pareil.
C'est en voyant des paysages comme ça qu'on se dit qu'on peut pas faire n'importe quoi avec la planète.

Oups, il vennait de tutoyer la nation sans même s'en rendre compte.
Ne voulant passer pour un être mal élévé il s'empressa de s'excuser envers son hôte.

- Désolé !! J'ai utilisé "tu" à la place de "vous" !! Je ne voulais pas vous manquer de respect...désolé si je me suis montré irrespectueux !!

Le Finlandais passa aussitôt en mode timide avec une légére couleur rouge sur ses joues.
Il s'était montré d'une grande impolitesse, il avait été trop bavard (encore une fois) et en avait ainsi oublié de s'adresser à la nation comme le voulait l'étiquette.
Il méritait une autre claque dans son esprit, depuis le début il accumulait les gaffes.
Quel image donnait-il à son aimable hôte ?

(désolé de l'attente, j'ai été pas mal occupé cette semaine ^^")

A voir le regard émerveillé de Tino qui ne cessait d'observer le paysage défiler par la fenêtre, Abel comprit que le nordique appréciait déjà beaucoup les charmes de la lointaine île. Et dire que cela ne faisait que commencer, les négociations risquaient de très bien se dérouler avec une ambiance telle que celle-ci. Finlande fit même ses remerciements pour l'invitation.
En vérité, l'océanien l'avait invité sur son île car il n'aimait pas trop les voyages, il était si bien chez lui, et à part pour voir son frère Arthur ou aller à divers somments, il ne se déplaçait que fort peu, préférant bien plus que ce soit les autres qui fassent le trajet.
Ce furent ensuite les compliments qui vinrent, ne faisant que renforcer la grande fierté qu'avait l'anglophone de son domaine, qu'il considérait toujours comme le plus bel endroit au monde, loin devant tout le reste. Dans son engouement, l'Européen oublia même l'usage du vouvoiement, qu'avait posé Abel au début, dans son éducation typiquement britannique.
Son collègue s'en rendit d'ailleurs très vite, et s'excusa aussitôt. Malgré leur passé assez barbare, les Nordiques s'avéraient des personnes assez polies et correctes, avec qui parler ne risquait pas de mener à des disputes.

-Oh, merci pour les compliments, ils me vont droit au coeur. J'ai entendu dire en revanche que les terres en Finlande était aussi belles, surtout en cette saison. Et pas de soucis, vous pouvez me tutoyer si tu veux, les deux ne me dérangent pas.

Il jeta un regard par la fenêtre, ils étaient en plein milieu d'une des nombreuses forêts de l'Ile Nord. Sur celle du Sud, l'horizon était bien plus grand, puisque l'essentiel du terrain étaient de vastes plaines, surtout sur le versant Est. Effectivement, courir à l'argent facile, au dénigrement total de la plus grande richesse de notre planète bleue, sa diversité, était particulièrement honteux.

-Et tu as raison, on doit vraiment faire quelque chose pour préserver tout cela. Sinon ce sera trop tard quand on aura tout anéanti par appât du gain, on aura foncé droit vers notre propre fin.

En évoquant cela, il ne pouvait s'empêcher de penser à Alfred ou à Wang, qui faisaient la sourde oreille quand on leur évoquait la protection de l'environnement, qui signifieraient devoir faire baisser ce taux de croissance dont il se montrent si fiers.

-Oh, merci pour les compliments, ils me vont droit au coeur. J'ai entendu dire en revanche que les terres en Finlande était aussi belles, surtout en cette saison. Et pas de soucis, vous pouvez me tutoyer si tu veux, les deux ne me dérangent pas.

Ce fut un soulagement que d'entendre Abel lui dire qu'il pouvait le tutoyer. En effet il était plutôt rare qu'il use du vouvoiement.
D'ailleur la remarque sur ses terres lui remémorait qu'en cette saison il avait de la neige partout, alors qu'Abel n'en avait jamais sur les siennes.
Il aurait voir la réaction de la nation face à une étendue de neige, peut être qu'il n'en avait jamais vu.
Après tout lui n'avait jamais vu de plages comme celle-ci, aussi belle et donc le sable prend une certaine teinte blanche.
Ainsi qu'un mer transparente dont la couleur se trouve entre le vert et le bleu.
Mais tout était voué à disparaitre.
Les hommes leur donaient la vie à eux les nations, mais la détruisait à petit feu à cause de l"'évolution".
Les nouveaux hommes se croyaient supérieures aux générations passées, mais ils en étaient en tout point inférieur.
Ces hommes étaient bien trop orgueilleux, prétentieux, croyant que le monde est à eux, n'ayant aucune expérience de la vie.
Certes les anciennes générations étaient peut être moins intelligentes, moins développés, mais elles prennaient le temps de vivre et de s'occuper des autres.
Maintenant, cette génération n'avait qu'une seule motivation qui est maintenant l'argent, tous devenant de plus en plus individualiste.
Et cette génération "hautement développée" commencait enfin à se préoccuper des dommages qu'elle causait à la Terre, ainsi qu'aux nations.

-Et tu as raison, on doit vraiment faire quelque chose pour préserver tout cela. Sinon ce sera trop tard quand on aura tout anéanti par appât du gain, on aura foncé droit vers notre propre fin.

Abel avait exatement la même vision que lui.
Mais tout les hommes n'étaient pas à blamer. Certains militaient depuis longtemps à sauver un futur, du moins si la machine à destruction n'était pas parti trop loin dans sa folle marche vers la mort.

Le véhicule s'arrêta dans Wellington.
Contrairement à la ville où c'était posé son avion, cette ville était plus fraîche. L'air n'était pas non plus étouffant et sec, au moins il n'allait pas étouffer par la chaleur.

Spoiler: