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 Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg]

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Ludovica/Wurtemberg


Ludovica/Wurtemberg

Keine Rose ohne Dornen


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MessageSujet: Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg]   Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Icon_minitimeJeu 13 Sep - 13:38

Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Port3

Bade-Wurtemberg, ex Royaume, Duché, Comté et Seigneurie éponymes

Nom & Prénom : Ludovica, Elisabeth, Maximiliane, Wilhelmine
Age Humain : 18 ans
Sexe : féminin
Date de Naissance : 26 décembre 1143
Rang personnalisé : Keine Rose ohne Dornen

Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Gif2Caractère
"Il faut boire la bière tant qu'elle est fraîche." Ambitieuse et tenace, Wurtemberg n'a qu'une idée en tête, qu'une vocation : la souveraineté, depuis sa naissance au premier millénaire. Le pouvoir pour elle est une pinte de bière à laquelle elle n'a pas encore eu le temps de satisfaire sa soif, contrairement à tant d'autres nations. Que personne ne s'avise de ne voir en elle qu'une faible femme car le sang de Germania, même dilué, coule dans ses veines et elle n'a jamais vécu son sexe comme un frein. Ce qui la résumerait le mieux serait son chat, un bel animal couleur réglisse, bien brossé, au collier de velours lustré mais répondant au nom sinistre de Katzbalger (Etripe-Chat).

"Je sais de quel côté mon tonneau est en perce."Distante et réservée, Wurtemberg communique peu. Pas tant par timidité que parce qu'elle pèse ses mots et ses pensées et a horreur de parler pour ne rien dire, ou si peu. Raisonnable et réfléchie, la jeune femme n'aime guère brusquer les choses ou forcer les occasions et préfère considérer le temps comme son meilleur allié. Elle a ainsi mis ses ambitions de souveraineté entre parenthèse depuis le début du XXe siècle, à regret, mais pense que pour l'instant le plus sage est de rester sous l'aile protectrice quoique lourde d'Allemagne. Très soucieuse de ses intérêts, elle a perdu toute illusion sur elle-même et se sait déloyale et opportuniste.

"Comme on brasse sa bière, on la boit." Travailleuse et ponctuelle, Wurtemberg distingue nettement le temps de travail et le temps de loisirs, avec toutefois ce point commun entre les deux : quoi qu'on fasse, il faut le faire à fond ! Consciencieuse, elle sait s'organiser rapidement et sa vivacité d'esprit lui permet souvent de retomber sur ses pattes sans trop de dommages. Réaliste jusqu'au pessimisme, elle garde autant que possible les pieds sur terre et sait faire la part des choses.

"La choppe ne fait pas la bière." Dans une assemblée, Wurtemberg est toujours celle qui relève le plus fièrement le menton, a le maintien le plus noble et la démarche la plus ferme. Ce n'est pas elle que vous verrez faire de l'oeil ou adopter une démarche voluptueuse malgré son apparence très féminine et elle garde toujours une distance polie, même avec sa famille. Très attachée au côté autrichien de la famille, elle s'en inspire beaucoup et cultive bonnes manières et tournure élégante. Ses gestes sont si mesurés qu'elle en paraît lente et un peu flegmatique.

"Bière qui coule n'amasse pas mousse." Sensible et intuitive, Wurtemberg avait à l'origine un ensemble d'idéaux que ses souverains semblent toujours avoir trouvé un malin plaisir à mettre à mal. Se rêvant paladinat ou état pontifical, elle fut très tôt convertie au protestantisme. D'un naturel fidèle et très attaché aux valeurs familiales, son histoire est une suite de volte-faces et de trahisons. Brûlant de gravir une à une les marches du pouvoir, elle fut sans cesse retenue en arrière par des dirigeants timorés ou dépensiers et les quelques échelons gravis le furent plus par manigance que par force, à sa grande frustration.

Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Gif6Physique
La première chose que l'on remarque chez Wurtemberg, ce sont ces yeux bleu bondi qui trahissent si bien son ascendance germanique. Ronds et grands, cachés dans l'ombre derrière sa frange et ses paupières à demi baissées, ils semblent francs et directs, très observateurs. Ses sourcils droits et son front haut lui donnent un air calme et réfléchi souligné par sa bouche résolue. Petite et pulpeuse, celle-ci est à peine plus rosée que le reste de sa carnation et se remarque à peine dans son visage peu expressif de poupée de porcelaine.

Elle a la peau pâle et rosée commune à beaucoup de germaniques mais l'épaisse chevelure réglisse qui encadre son visage trahit une généalogie plus compliquée qu'il n'y paraît et une parenté certaine avec Autriche ou Rome. Sous le coup de l'émotion ou de l'effort, sa peau rosit plus qu'elle ne rougit, difficilement, mais ses couleurs mettent de longues minutes à s'estomper. En revanche, cinq minutes sous un soleil ardent la transforment en écrevisse écarlate. Raide et lisse, épaisse et très sèche, sa chevelure lui tombe jusqu'à la taille et demande beaucoup d'entretien pour perdre son aspect 'crinière' naturel.

Ses mains fermes et froides sont aussi aptes à manier l'épée qu'à caresser le front d'en enfant, à soulever une pinte de bière qu'à froisser un ruban.

Son seul maquillage est le mascara dont elle se noircit les cils mais elle raffole de parfums fleuris comme l'eau de Cologne ou l'essence de rose ou de violette. Depuis longtemps, sa parure se résume à des roses et des plumes teintées artificiellement et à un camée de cobalt pour fermer son col ou fixer sa ceinture, à laquelle est généralement fixée une quelconque épée longue à une main.

Vestimentairement, Wurtemberg garde une tendresse pour le 19e siècle. Crinoline, jupons, corset, dentelles, manches gigot, rubans, frou frous... Sa tenue de tous les jours se compose ainsi d'une chemise, un corset, un cache-corset, un bloomer, une crinoline, plusieurs jupons et enfin une robe. Ajoutez-y gants, bottes cavalières, voile et serre-tête mais pas de bijoux. Elle a choisi de ne porter que le noir, en mémoire de ses défunts, à peine réhaussé d'une ou deux touches de bleue discrètes. Très pudique, elle privilégie manches longues et cols montants.

La jeune femme a une voix basse et légèrement traînante, chantante, avec une certaine tendance à rouler les 'r'. Nette et froide, elle s'enroue facilement, Wurtemberg étant prédisposée à la toux. La rumeur, parfaitement fausse, lui prêtant une faible constitution et une fragilité toute féminine trouve là son origine et c'est le seul artifice dont elle use pour mettre en confiance ses opposants.

Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Gif7C'est ton histoire
Une exclamation rauque retentit dans la salle d'armes du château quand un chat sombre, dodu et pelucheux, sauta impérieusement sur les genoux de Wurtemberg, tout son poids vicieusement rassemblé dans la faible surface de ses patapons.
"Katzbalger, tu n'es pas légère." protesta sévèrement la jeune femme tout en empêchant d'une main l'animal de redescendre. Elle passa une main méfiante et soigneuse dans sa fourrure avec un soupir réprobateur.
"Tu t'es encore battue avec le chat de ce satané albinos, n'est-ce pas ? Ton collier est de travers et ton poil tout emmêlé."
Après avoir été un peu arrangé par sa maîtresse, ladite Katzbalger se mit à ronronner et entama sa toilette tout en jetant des regards intéressés à la chope de bière cerclée de métal posée sur l'accoudoir.
"Je t'en donnerais une gorgée si tu me ramènes son canari." s'amusa le duché, consciente que l'animal ne la comprenait pas.
Relaxée par le ronronnement de la chatte, Wurtemberg se laissa aller contre le dossier de sa cathèdre gothique, sentant à peine les complexes moulures de bois meurtrir sa chair.
En ce matin du 27 décembre 1805, un seul mot pouvait décrire l'état d'esprit de Wurtemberg : insatisfaction. Et cette insatisfaction était encore aggravée lorsque la jeune femme posait son regard ennuyé sur le cadeau de Noël reçut la veille : une couronne royale.

"Wurtemberg ! Remets ce manteau sur tes épaules !
- Je n'ai pas envie que tu prennes froid, meine Liebe.
- Et de même pour moi. Qui nous protégera si tu tombes malade ?
- C'est toi le duché que je sache, moi je ne suis qu'un pauvre comté sans envergure."

Avec un faible sourire, Wurtemberg se laissa pourtant envelopper dans l'épaisse mante de laine et de fourrure qui lui tombait jusqu'aux pieds. Schwaben en ferma le col soigneusement, indifférent à la neige qui tombait, et repoussa quelques mèches de la jeune femme.
"Il faudra que tu donnes le bon exemple à nos enfants quand nous en aurons." fit-il sentencieusement.
Le regard de Wurtemberg trahit le sourire qu'elle retenait.
"Tu sais que je ne veux pas d'enfants avant qu'au moins l'un de nous deux soit un royaume."
La neige qui avait redoublé d'intensité dissipa le marmonnement du jeune homme qui passa un bras magnanime autour des épaules de sa compagne.


Les négociations avec France avaient été si simples et si rapides que c'en avait été presque humiliant. Avait-il si bien cerné son duc, ce Frédéric II, dit le Gros ? Ce francophobe acharné qui n'avait su que se réfugier auprès d'Autriche au début de la guerre, laissant Wurtemberg seule face aux armées napoléoniennes, seule à défendre sa terre natale, seule à se défendre... Il s'était ensuite empressé de jeter Mömpelgard en pâture à l'envahisseur blond et à son nabot de chef. Puis, il s'était vendu, et Wurtemberg avec, avec moins de retenue qu'une fille de rien : une couronne royale contre un ralliement aux armées impériales et un contingent de soldats.
Wurtemberg pensait depuis longtemps que sa situation, coincée entre France et les pays germaniques, était intenable, d'autant plus quand l'un était victorieux et les autres vaincus à répétition. Ce changement de camp opportuniste la mettrait, elle et les siens, à l'abri et ferait des ex territoires conquis des alliés.

Wurtemberg faisait déjà de grands gestes en direction du château quand son cheval trébucha si bien dans une ornière qu'il tomba à genoux, son nez percutant le sol, et projeta sa cavalière en avant. Un cri de surprise parcourut les rangs.
"Fräulein, vous n'avez rien ?"
La jeune femme s'assit, les jupons en bataille et regarda la paume de ses mains écorchées. Un cavalier bedonnant monté sur un haut cheval gris s'approcha d'elle, manquant la fouler aux pieds.
"Hé bien Ludovica, vous ne tenez plus à cheval ?"
L'inquiétude rendait le ton du comte de Wurtemberg plus agressif qu'il ne le souhaitait, aucun dirigeant n'aimant voir son domaine s'effondrer.
"Excuses, Graf Ulrich, le cheval s'est dérobé sous moi... La route a été longue."
Les genoux endoloris, elle prit les rènes de sa monture, résistant à l'envie de lui assener une claque sur la tête. Ce n'était pas sa faute, à cette pauvre bête, et elle était bien assez punie comme ça, à voir son air douloureux et sa boiterie. Comme Schwaben, qui avait assisté de loin à sa chute, se précipitait vers elle, Wurtemberg se félicita de l'allure qu'elle avait pour son retour de bataille : à pieds, froissée et poussiéreuse, les mains sanglantes et sa monture boiteuse.
"Quel retour mémorable. se moqua gentiment son compagnon en lui prenant la main, arrivé à sa hauteur, pour en inspecter la paume.
- L'important c'est que le conflit se soit bien déroulé et bien fini. Ulrich va épouser Mechthilde, une héritière de Bade, et nous avons obtenu qu'elle amène une petite ville en dot. Toi qui voulais pouponner, tu vas être servi.
- Ah ?
- Oui, Stuttgart, je suis sûre que vous allez vous entendre."


La jeune femme plongea ses lèvres dans la mousse de sa boisson et ferma les yeux un instant, pour ne plus voir cette couronne qui lui brûlait la pupille. Oh, certes, elle voulait, depuis toujours, la royauté. Mais pas comme ça. Pas dans ces conditions. Si sa lignée souveraine et elle partageaient le même objectif, leur stratégie différait grandement. Mais pouvait-elle se plaindre ? Avec tout le mal qu'elle pensait de son duc régnant, force était de constater qu'il avait réussi à combler plusieurs de ses voeux. Oui, elle voulait la royauté, la royauté souveraine ! Mais elle voulait aussi blesser à mort Saint Empire Romain Germanique et Prusse. C'était là le rêve secret qu'elle caressait depuis des siècles. Sa trahison, et celles de Bade et Bavière, porteraient un coup fatal à leur suzerain et petit frère. Et sa disparition frapperait Prusse en plein cœur.

Les mains de Wurtemberg se crispèrent sur le velours de sa jupe et relevèrent péniblement les multiples épaisseurs de tissus quand elle dévala quatre à quatre les escaliers de la salle principale. Une voix, loin au-dessus d'elle, appela.
"Ludovica !"
Sans ralentir sa course, elle se précipita contre les lourds portes battantes contre lesquelles elle s'appuya de tout son poids, meurtrissant ses mains aux sculptures, puis se faufila dehors, tirant avec agacement sur sa traîne. Aveuglée par la lumière du jour, elle marqua une brève hésitation et se mordilla la lèvre.
Où Schwaben s'était-il caché ?
Aux jardins, bien sûr.
"Schwaben ! Schwaben ! Réponds, sale lâche !"
Elle tourna quelques minutes dans les allées, puis le débusqua enfin, tranquillement assis à quelques pas d'une fontaine. Suffocante de rage, elle le regarda un instant puis lui saisit brutalement le poignet.
"Schwaben ! Dis-moi que c'est faux !
- Ce qu'a du te dire le comte Ulrich ? C'est parfaitement vrai."

Sa voix tremblait légèrement malgré ses efforts pour paraître détaché et il marqua un temps d'arrêt pour rassembler son courage et le dire lui-même, à voix haute.
"Je vais être dissous. Ordre de Saint Empire Romain Germanique et de Rodolphe Ier."
Wurtemberg recula comme si elle s'était pris une gifle. Machinalement, elle tendit la main vers une rose qui lui chatouillait la joue et la cueillit.
"Parce que tu es autonome ? Que tu n'as pas de suzerain ? Mais ça a toujours été comme ça !
- Tu oublies que ma lignée régnante s'est éteinte il y a des années... Apparemment, ça ne leur plait plus, que je sois un chien sans collier..."

Avec une grimace, le duché prit la main de sa compagne qui, abasourdie, déchiquetait la fleur en petits morceaux qui tombaient à ses pieds.
"Je voulais que tu sois au courant le plus tard possible... Je n'aurais pas pu te le dire moi-même... Mais maintenant... Ecoute, tu vas hériter la plus vaste partie de mes territoires alors je vais t'expliquer... Il y en a deux qu'il faut que tu gardes à l'oeil. Hechingen et Zollern, une ville et un comté. Ils appartiennent à une famille qui se fait appeler Hohenzollern. Je veux que tu gardes un oeil sur eux et que tu les aides si besoin est. Ils sont vraiment... Vraiment spéciaux. Je suis certain qu'ils ont du potentiel."


Les mains de Wurtemberg se crispèrent sur les accoudoirs alors que Katzbalger baillait avec satisfaction. Sa dernière promesse à son compagnon condamné... Elle ne l'avait pas tenue. Elle avait oublié, fermé les yeux, détourné la tête, mis ses mains sur ses oreilles, s'était désintéressée de tout ce que lui avait rapporté la mort de Schwaben, Hohenzollern compris. Mais ils ne s'étaient pas laissés oublier, eux.
Non.
Ils étaient devenus seigneurs de Prusse.

Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Gif8Derrière l'écran
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Dernière édition par Ludovica/Wurtemberg le Sam 15 Sep - 10:29, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg]   Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Icon_minitimeSam 15 Sep - 10:25

Tadaâa ! :pompom:

En espérant que ça convienne.
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RPs en Cours : 1. L'Ouest et l'Est : opposition culturelle ? {Japon
3. Ah les crocrocro... {Kemet
3. Avoir peur d'un enfant {Alsace
4. Comme un homme { Prusse
5. [1997] Faire revivre les mythes | Hellas

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MessageSujet: Re: Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg]   Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Icon_minitimeSam 15 Sep - 20:25

Bienvenue donc !

Alors dans l'ensemble j'apprécie beaucoup ton style d'écriture, et ton personnage peut être intéressant à voir en jeu. Juste quelques points minimes que j'ai relevé. La date de naissance est une date "symbolique" qui représente quelque chose pour le pays (à l'instar du 14 juillet pour la France), donc pas besoin d'une année et il aurait été bon de préciser en quoi correspond cette date.

Autre point sur lequel je coince : le physique. Je vois mal ton personnage se balader avec une épée à la ceinture - que ce soit au XXIe siècle (personne ne fait ça xD) ou même avant, vu qu'une femme ne doit pas porter les armes. Tu me diras c'est une nation, elle combat avec ses hommes mais justement elle pourrait porter l'épée (à la rigueur) que sur le champ de bataille. Pour prendre exemple Hongrie est garçon manqué mais on ne la voit pas avec une épée à la ceinture - ce qui ne l'a pas empêché de combattre. Sinon son goût pour les anciennes robes, je trouve qu'il entre en contradiction avec le fait que le Länd qu'elle représente est très tourné vers la recherche et l'industrie (de nombreuses firmes comme Porsche ou Bosch, pour citer qu'elles, se sont implantées sur son territoire).

Pas besoin d'éditer ta fiche en conséquence mais n'oublie pas de prendre ces points en compte pour la suite. Tu es désormais validée. Bon amusement parmi nous. (h)

Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Valida13

Cher(e) nouvel(le) arrivant(e),

Le Staff a décidé que tu étais apte à partager un pan de l'Histoire avec nous, tu es donc validé. Faisant maintenant partie des nations ici présentes, ton siège à l'ONU t'attends, mais seulement après quelques formalités :

• Te présenter ici : Petit Topic de Présentation
• Poster ta fiche de demande de rps ici : Demandes de RP


Bienvenue parmi nous sur HetaRPG, où on espère que tu passeras du bon temps.
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MessageSujet: Re: Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg]   Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Icon_minitimeSam 15 Sep - 20:29

Fantastique, merci !

Bièr... Champagne !
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MessageSujet: Re: Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg]   Le coeur de mon ennemi, c'est le fourreau de mon épée. [Wurtemberg] Icon_minitime

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