Nom : Edelstein
Prénom : Roderich
Âge : 25 ans

Rang personnalisé : l’homme qui boit son thé le petit doigt levé

Quatre traits de caractères :
La première chose que l’on remarque chez Roderich, c’est que la nation est d’un caractère assez…aristocratique. Bien sûr, il y a aristocratie et aristocratie, nous sommes d’accord, en ce qui concerne notre sujet de conversation, c’est Aristocratie avec un grand A. Et ce trait domine toute sa personnalité. Ainsi, notre cher Roderich a bien évidemment, un léger (ou pas) côté snobinard (aristocratique avec un petit a, donc, pour ceux du fond), du genre à boire son café (ou thé, mais cela va de soi) en levant très délicatement, avec une grâce impossible à décrire et qui en même temps, respire la virilité du possesseur du petit doigt à plein nez, tandis que les autres doigts tiennent avec honneur la anse du délicat ouvrage de porcelaine. Bref, vous l’aurez compris, Roderich est quelqu’un de très propre sur soi, toujours bien habillé, les lunettes propres, les bottes cirées, les cheveux idem, impossible de lavoir sur ce point ! (hein, des images compromettantes de Roderich en caleçon ? impossible vous dis-je……)

Parce que oui, Roderich est hautain, du genre à bien vous faire sentir à l’aide d’un regard cerclé par une monture de métal que oui, vous n’êtes rien d’autre qu’un tout petit vermisseau à moitié écrasé qui ne vaille même pas la peine que l’on s’occupe de lui. N’a-t-il pas eu l’une des plus puissante…non… que dis-je… la plus puissante des familles, pour s’occuper de lui ? Que cet imbécile heureux et attardé mental de Gilbert aille se rhabiller, avec son vieux Fritz, jamais cela ne vaudra les Habsbourg. L’Autriche avait pour but de régner sur le monde, messieurs-dames (car oui, contrairement à ce que l’on peut croire, tel était selon sa devise, la fonction première de Roderich et non pas, comme certaines le pensent, d’assouvir les fantasmes yaoistes d’une hongroise bien précise). Ce côté hautain et dominateur (que la jeune fille avec la fleur dans les cheveux arrête de ricaner, on a dit dominateur, pas seme, merci) est parfois mâtiné d’un peu d’indulgence devant de pauvre hères bien loin d’être sont égal. Ainsi, la petite Italie avait le droit de l’écouter jouer du piano, lorsque elle était enfant et encore féminine (ou alors, le jugement de Roderich est égal à son sens de l’orientation : nul ?). Sa fierté a cependant connu de grandes blessures (s’allier à Francis pendant la guerre de sept ans ? Gott in Himmel, il en fait encore des cauchemars en se réveillant en sueur la nuit, dans ses oreillers en plume d’oie !

Une autre chose, Roderich est têtu, très têtu…. Ainsi, même si ce n’est pas très seyant et aristocratique (quoique, tout dépend du maintien), il n’hésitera pas à faire rentrer dans la cervelle remplie de bière de ce blondinet d’allemand que oui, oui, oui et re oui… et encore oui pour la route, Beethoven est autrichien ! Jésus Christ, enfin, c’est une évidence, il était si noble, aristocratique, talentueux, pas une outre à bière comme la fratrie allemande ! Ainsi, jamais on ne peut faire changer Roderich d’avis (le « couvrir de coup de poële divine jusque à ce que mort s’en suive », n’est pas comprit dans le « jamais », merci de votre compréhension), et l’avis de l’Autrichien se résume à deux choses : tout ce qui est noble, est autrichien, ce n’est jamais sa faute quand un malheur arrive, mais bel et bien toujours celle des autres.

Un dernier trait de caractère ? Hé bien Roderich est un diplomate, un vrai, de cette espèce vicieuse que l’on ne peut jamais prendre en défaut (car les clichés où notre sujet de conversation apparaît en caleçon ou dans des occupations triviales de brossage de dents, sont faux, n’est-ce pas ? Ou bien alors Francis va mourir dans d’atroces souffrances tandis que se déversent les mélodies colériques de Chopin, sur un mystérieux piano…). Roderich ne vous aime pas ? (normal, vous êtes un ver de terre), n’ayez crainte, pour la photo souvenir, il vous fera quand même un joli sourire innocent et heureux de vivre, pour vous montrer que oui, il vous est supérieur, vous n’êtes rien que des chiens sous ses bottes, non mais ! (ceci dit, il est vrai que dans sa vie de couple, ce n’est pas lui qui tient la poële).

Signes particuliers :
Roderich porte des lunettes et se sépare difficilement de son piano (toujours l’emporter avec soi, même sur une île déserte, voyons !)

Ce qu'il aime et déteste :
Roderich adore évidemment son piano, sa grandeur, Elizaveta (mais chut, pas en public), il aime également faire –et détruire- la cuisine, mais bon…
Niveau choses qu’ils détestent…. C’est simple, Gilbert. Il déteste également que l’on doute de sa noblesse si particulière qui lui colle à la peau, parce que oui, il est au dessus des autres. Bon, évidemment il n’aime pas trop se prendre des coups de la part d’Elizaveta parce que oui, elle est effrayante parfois

Petit test RP

Une pièce, une pièce grande, austère, lumineuse mais froide. Figée, oui, c’est cela, figée dans le temps avec son luxe d’une autre époque et cet homme devant le piano. Qui donc s’habille encore, de nos jours, avec des chemises sans le moindre faux plis ? Des frous frous masculins, ceux de la noblesse, ceux de l’aristocratie, il ne manque que la poudre blanche sur le visage du brun, et la grosse mouche proéminente pour y attirer les regards. Est-ce son époque ? Pour Roderich, tout semble hors du temps, que reste-t-il de la gloire ? Que reste-t-il des amours ? Rien du tout, les souvenirs de l’Autriche, ce sont les notes d’un piano. Des mélodies, des gammes, des arpèges…
Et la grande salle est vide, peu importe combien de temps Roderich peut jouer, aucun fantôme n’en foulera le carrelage à nouveau, au rythme d’une valse viennoise. C’est lorsqu’il pense à la danse, que le brun cesse de jouer quelques instants. Avec prudence, il recula son siège et se permit un soupire. Elizaveta, quand pourront-ils à nouveau danser dans les bras l’un de l’autre ? Elle, si fière, si digne, si…fine sous son étreinte… Et lui, lui l’aristocrate qui, pour la première fois, se sent réellement gauche et impotent, craignant de lui écraser les pieds…
A tel point qu’il l’avait laissé mener la danse.
Ca y est, la mélodie reprend, et Roderich se sent seul, derrière son piano, aucun rejeton Habsourg n’est là, prêt à reprendre les notes derrière lui. Plus aucun cheval ne hennit dans la cour, les batailles sont bien différentes maintenant, sans panache presque, et l’homme reste caché derrière sa musique. Les conflits se font et se défont, mais ses notes, elles, restent bien tranquilles sur la partition. Plus rien ne semble compter, si ce n’est cela. Peu importe les annexions, peu importe tout…
Roderich aurait voulu conquérir le monde, avec ses enfants chéris, cette famille de dieux vivants, tenant dans ses bras les quelques personnes qu’il estimait. Elizaveta, entêtant parfum de fleur mêlé à celui de sa chevelure, Antonio et sa manie d’accommoder les tomates à presque tout….
Aujourd’hui, ce sont les enfants a priori inoffensifs qu’ils ont élevés, qui se battent. Même Italie, oui, même Italie… Et tout n’est plus qu’une photo sépia, vieillie, adieu les honneurs, adieu le monde.
Les mains se font plus lourdes sur le piano, le morceau se termine…
La salle est toujours aussi grande, toujours aussi vide. L’homme se tient à la fenêtre, désormais. D’un geste adroit, il réajusta son col et sourit. Il en avait traversé, des crises, et s’était toujours relevé, cela continuera, évidemment. Et peut-être, peut-être qu’un jour, le soleil ne se couchera à nouveau plus sur son empire…
La prochaine fois qu’il verrait Elizaveta, ils danseront une mazurka, il n’y a rien de mieux pour se mettre de bonne humeur. Oui… L’homme eut une révérence élégante pour une quelconque forme invisible


- Comtesse, vous voilà tout en beauté ce soir, accordez moi cette danse...

Enlacer un fantôme pour une valse irréelle, brusquement, Roderic se stoppa. Pourquoi fallait-il que Ludwig soit rentré et qu’il le regarde ainsi, mâchoire pendante, comme s’il était bon à enfermer ?!

- Ahem… tu n’as rien vu, rien entendu, tout cela n’est que le fruit de ton imagination dépravée et nébuleuse qui se permet d’affabuler sur tant de tristes choses. J’ai trop peu de temps à moi pour me permettre de le passer en parlant tout seul, nous sommes d’accord ? Bien, maintenant je t’autorise à partir, allez…

Un geste élégant de la main, comme pour chasser un chien. Toujours rester digne, même dans la pire des situations.

Ahn lala, bienvenue. J'adore ton post =B

On a Roderich, le vrai !

Liebling, vous m'avez tant manqué ! :love1: =< enfin ce serait plutôt ça

Non je ne permettrais point à cet individu de venir souiller ce lieu. -geste de la main pour le congédier-

Voyons mon cher, vous vous devez de rester ! Je vous valide sans problème ! Vous avez un niveau au-dessus de nous (et de moi surtout), je vous ouvre les portes du domaine.

C'est bon, son altesse est ravie que je le flatte ? xD

Très bonne présentation !!
Ton test RP est génial, j'adore particulièrement la fin avec Ludwig :)

Nous sommes vos humbles serviteurs ! *total respect*
:!:

Merci à tous, Il est content et Il vous remercie, vous pouvez disposez, ramenez juste des petits gâteaux et du thé... (et un peu de pudeur, Elizaveta !)

trêve de plaisanterie, merci à tous pour votre accueil ^^ (c'est bon, il n'y a pas de contrat à signer avec son sang?)
et merci à vous pour vos compliments ^^

Il se pâme d'allégresse et Il vous ongédie comme des chiens :p

(vais-je avouer mes honteuses inspirations pour mon test rp? dois-je reconnaitre avoir été inspirée par la chanson d'Anastasia, que beuglait mon petit frère à côté? non, chers amis, oubliez ce que vous venez de lire )

Waaah ! Ta fiche est vraiment géniale ! <3

SEIGNEUR RODERICH, ENFIN VOUS ETES LA ! :)

Ah et comment tu as connu le RPG ?

merci ^^

hé bien, google est mon ami, tout simplement XD

En tout cas, je suis agréablement surprise de ton niveau de Rp et j'ai hâte d'en faire un avec ma tendre moitié
(poor Roderich... :o )

Bienvenue, ô toi le petit monsieur, là.



J'aime beaucoup ton RP, ça fait très musique classique un peu fouillie, j'adore. Bref.

Wah ! Un Autriche ! Ca, c'est kewl. En plus, les traits de caractère sont très détaillés.

"KONO OOBAKASAN KA !"

Roderich / Autriche a écrit:

trêve de plaisanterie, merci à tous pour votre accueil ^^ (c'est bon, il n'y a pas de contrat à signer avec son sang?)

(vais-je avouer mes honteuses inspirations pour mon test rp? dois-je reconnaitre avoir été inspirée par la chanson d'Anastasia, que beuglait mon petit frère à côté? non, chers amis, oubliez ce que vous venez de lire )

Le contrat à signer avec son sang, çà peut s'arranger... 8)

Oh parlerais-tu de cette chanson chantée dans l'ancienne salle de bal des Roumanov, avec les fantômes du passé qui dansent sur la piste ? (Ah ah maintenant les gens savent quels genres de films j'ai pu regarder dans ma vie).

Thanks Godness, Roderich is here.... Elizaveta will calm do...

[Je coupe Arthur pour les topics de bienvenue, il est trop grognon.]

Elizaveta doit être ravie, surtout avec quelqu'un qui a un si bon niveau de RP !
Son altesse Roderich est donc la bienvenue :oops:

merci, merci ^^ (Berwald, tu as touché mon point faible avec le "un peu fouillis" XD ma malédiction va s'abattre sur toi, ahem bref)

et oui Ludwig, sauf que Roumanov, c'est Anne XD Romanov semble mieux (et du coup ça reste dans la tête, youhou) je m'en vais donc lire tous vos joyeux rp pour voir comment je peux m'incruster, afin qu'il y ai toujours plus de sang et de larmes :p

Héhé, mais moi j'aime ces envolées lyriques.

Je me retiens souvent, d'ailleurs. Avec Berber c'est assez facile de se retenir, vu le genre du bonhomme, mais avec un musicos... wala quoi...

les musiciens ou comment avoir la sale manie de transformer chaque note en chevauchée des Walkyries, d'après Wagner XD

Roderich / Autriche a écrit:

je m'en vais donc lire tous vos joyeux rp pour voir comment je peux m'incruster, afin qu'il y ai toujours plus de sang et de larmes :p

... :idea:

J'y pense à l'instant, mais il faut que Berwald soit d'accord mais si Roderich venait mettre son grain de sel à la bataille de Jankau ?

j'attends la réponse positive ou non, alors XD en attendant je vais essayer de regarder les tenants et aboutissants de cette bataille, de plus près...

Eh bien Berwald semblerait parfaitement d'accord puisqu'au moment où je postais sur ce topic, il m'envoyait un MP pour me demander la même chose.

En fait le sujet, c'est un peu une version Hetalienne de la bataille de Jankau, où la Basse-Autriche est envahie par la Suède.

Je viens justement d'envoyer un MP à Eli pour lui faire la même proposition.

Parce que vu que je prévois de faire cramer la baraque, il faut bien que je sorte M.Edelstein sinon -j'allais dire sinon ça va sentir le cochon grillé, mais en fait, bah, ça VA sentir le cochon grillé- il va avoir très bobo.

Prépare toi, ton tour vient après xD

mp moi lorsque c'est mon tour, que je m'y retrouve? merci, z'êtes bien aimable XD

On fonctionne alors dans l'ordre Berwald - Roderich - Elizaveta ?

bien chef !

Un autrichien! :shock:

C'est Gilbo qui va être content... Bon moins quand Elizaveta défendra son cher ex-mari en chassant le prussien à coups de poéles.

Ceci dit ta fiche est exellente! Le RP est genial, superbement ecrit, bref je me prosterne aussi.