Bon. Je commence petit, je sais, mais c'est le générateur de drablle, là.

Une création, ma toute première sur Hetalia, sans prétention.

Citation :

Vivre dans la maison Russe n’était pas une mince affaire. La plupart n’y restait que par crainte des représailles. Il n’y en avait qu’une qui restait par amour. Un amour débordant dont parfois Ivan se serait passé. Et il y en avait un qui, malgré toute sa haine, était condamné à rester car faible. Natalia et Raivis était en bien des points opposés. Combien le chétif Raivis aurait donné pour avoir la force de Natalia et fuir. Combien Biélorussie aurait donné pour avoir la candeur de la Lettonie et justifier son choix de rester ainsi, fidèle, à son grand frère.

J'aime J'aime J'aime

J'en veux d'autres.

A ton bon cœur, Francis~

Le drabble posté dans le générateur, donc

Citation :

Francis observait son reflet dans le vieux miroir du grenier. Ce reflet qu’il haïssait. Il semblait que son double sur glace soit vivant, pas réellement sien. Doté d’une volonté propre : celle de se soumettre à l’Allemagne pour avoir la paix. La France haïssait ce sentiment. La désagréable impression d’échec qui sortait de ce miroir pourtant banal. Il fallait qu’il arrête. Il fallait choisir un camp. Il fallait détruire ce double collaborateur. Les ongles trouvèrent seuls la chair, se griffant toujours un peu plus, pour trouver la jugulaire. Il s’arrêta en sentant le sang sur ses doigts. Avait-il voulu se tuer… ?

Alfred + Francis & jouer :

Citation :

Alfred fixait Francis, l’œil déterminé. Cette espèce de grenouille vicieuse voulait lui prendre ce qui était son tuteur. Un être qu’il admirait particulièrement.
Francis, quant à lui, était bien décidé à ne pas se faire avoir par le nouveau-continent. Que ce jeunot qu’il avait aussi en partie élevé veuille prendre son ennemi depuis toujours le révoltait.
Mais il fallait se rendre à l’évidence, à l’époque présente, ils ne pouvaient plus se déclarer la guerre pour un prétexte aussi stérile – surtout qu’Arthur n’était pas une colonie. Alors que faire ?

« Pile, je gagne, face, tu perds. » Maintenant, on pariait l’affection des nations.

Sealand + Arthur & première fois

Citation :

La première approche du sexe de Sealand avait été brutale et plutôt déstabilisante. Ce gosse turbulent qu’il était s’amusait toujours à courir partout dans le grand manoir anglais. Et, forcément, ses grands yeux s’attardaient toujours sur des choses qu’ils n’auraient jamais dû voir. C’est ainsi que la première fois que Peter comprit le fonctionnement de deux corps qui s’unissent, c’était en ayant surpris Francis sur le corps cambré d’Arthur. Et outre le fait qu’il venait d’apprendre que son mentor était homosexuel, il se posa une autre question. Qui fatalement entraîna la discussion suivante :

« Arthur. Comment on fait les bébés ? »

OMG les deux sont magnifiques
J'adore ce style épuré, la façon dont tu choisis tes mots, la finesse...

Je suis fan *0*

Très beau style d'écriture, souple, simple, sans fioriture qui sait trouver les mots justes à chaque fois, avec une grande finesse dans la description des sentiments, qui touche juste à chaque fois...

rien d'autre à dire de plus <3

Pauvre Sealand! xD
Tu es cruelle Natalia ^^

Sinon, j'aime particulièrement le premier.
(De toute façon, j'aime toujours quand Francis est en mode Angst ou protecteur x) )

Lili > Moi je dis pauvre Arthur ! Fais nous rire Arthur, explique à bébé Sealand comment on fait les bébés xD
Encore, je suis sûre que Sealand, trop naïf, n'a pas tout compris xD

Merci beaucoup Ca me fait plaisir que vous appréciez ! *ça m'amuse bien d'écrire ça, aussi xD*

Mon coeur a bondi lorsque j'ai vu le Arthur + Sealand, j'ai eu peur.

Et c'était awesome. Un style d'écriture très agréable et raaaah juste ça

Citation :

C’est ainsi que la première fois que Peter comprit le fonctionnement de deux corps qui s’unissent, c’était en ayant surpris Francis sur le corps cambré d’Arthur.

Oui, Germania va encore m'accuser de "dépravation de mineurs", j'assume.

Bref, excellents

J'aime ton style, qui ne s'alourdit pas d'images métaphoriques, et qui décrit précisement la situation et les sentiments. çà coule tout seul et c'est rafraichissant.

Arthur > Enfin, jamais je n'oserais écrire pareille chose !
Je suis ravie que mes drabbles te plaisent~ Merci.

Ludwig > Oh mon dieu *_______* Merci ! En même temps je trouve que dans de tels drabbles, on a pas l'occasion de se porter réellement sur les métaphores...


Ukraine + Russie and terreur

Citation :

Si on demandait à Katioucha ce qu’elle aimait, dans la grande URSS, elle répondrait probablement le sentiment de famille qui y régnait. C’était un mensonge. Cette famille n’existait plus depuis longtemps. Elle était déchue et Ukraine n’était pas naïve au point de ne pas s’en rendre compte. Cependant, ce qui la poussait encore à répondre ce genre de chose candide, c’était la peur, l’angoisse, la crainte. La crainte qu’Ivan ne lui pardonne jamais de ne plus croire en leur famille déchue. La terreur qu’elle perde à tout jamais le peu de lien qu’il restait à son frère. Elle en mourrait.

Lituanie + Russie and sentiment d'abandon

Citation :

Ivan refusait de le voir partir. Pas lui. Lui si faible, rampant à ses pieds pour le supplier de lui pardonner ses erreurs. Il ne pouvait pas tolérer à nouveau cette perte. Pourquoi fuyait-il? Inspirait-il autant de révulsion à ses pairs ? Ivan, dans toute sa puissance et sa fierté, ne dit rien. Il regarda la Lituanie prendre son indépendance, comme les autres états Baltes. Un abandon, encore. Pourtant, ce départ laissait dans son cœur un trou béant. Cet abandon semblait signifier la fin de son puissant règne. Et s’il tombait en poussière, que lui resterait-il, pour faire face à Alfred ?

France + Belgique and tendresse

Citation :

Francis avait du mal à considérer les femmes autrement que comme des amantes, des vierges à dépuceler, des jolies proies… Cependant, il admirait certaines nations, comme Hongrie, fière, puissante, orgueilleuse. D’autre lui inspirait un peu de crainte, comme l’insane Natalia, qui malgré sa beauté, ne l’attirait nullement. Mais une seule arrivait à déclencher ce sentiment protecteur inexpliqué. La Belgique, ainsi séparée et laissée pour compte, vacillant entre deux camps extrémistes. Et Francis ne pouvait qu’être fier de sa demi-sœur. Il ne pouvait que l’admirer et pour la soutenir, il ne pouvait que passer tendrement sa main dans ses cheveux blonds.

Prusse + Allemagne and amour

Citation :

Ludwig en avait parfois assez, des bêtises de son frère à rattraper. Il en avait marre d’avoir à ses côtés ce caractère exubérant d’empire décadent et oublié. Gilbert lui tapait juste les nerfs, de temps à autres. Mais parfois, il existait des moments hors du temps, hors de tout, que l’Allemagne chérissait plus que tout au monde et qui le rassurait : son frère n’était pas si désespéré que cela. Parfois, ils se retrouvaient seuls, au coin du feu, dans un silence réconfortant et apaisant. Parfois, Gilbert lui disait qu’il l’aimait. De cet amour puissant que seuls les frères se portent.

Ukraine X Hongrie and Désespoir

Citation :

Il n’y avait plus personne pour la sauver. Dans la grande maison Russe elle était seule, en proie au plus puissant désespoir. Et jamais on ne l’avait vu si faible. Jamais on ne l’avait ainsi vue tomber. Non pas qu’elle ait perdue toute sa volonté. Bien au contraire. Dans ce monde de fou, il ne lui restait que ça et sa fierté. Fierté qu’elle n’aurait lâchée pour rien au monde. Mais ici, elle se sentait si seule et si désemparée… Pourtant, parfois, elle trouvait un peu de réconfort, un peu d’espoir. Quand Ukraine prenait la fière Hongrie dans ses bras.

OMG

Déja tu sais que je suis fan du drabble UkraineHongrie. Il est magnifique *0*
Et les autres, particulièrement le Russie + Lituanie, sont superbes aussi

Je suis émerveillée /o\

Le UkraineRussie est magnifique avec ce désespoir familial qui relie les nations baltes.

Le FranceBelgique est adorableeeeuh. <3

Les deux frères germaniques.... -fooooond-

Et le UkraineHongrie est magnifique, il prend aux tripes et j'adore ce duo totalement opposée.

... Mon commentaire est insipide à côté de telles perles. D':

Je suis vraiment heureuse qu'ils vous plaisent à vous deux
Surtout que... des auteurs que j'admire qui complimentent, ça fait plaisir.

Allez. Je préviens même plus du paring et du prompt 8D

Citation :

On avait dit à la Hongrie qu’on panserait ses blessures. On lui avait dit que ce serait la plus la jolie infirmière de tout le royaume qui s’occuperait de ses plaies. Et le cœur d’Elizaveta se noua soudainement d’angoisse. Panser ses blessures ? La meurtrir un peu plus, oui ! Que de foutaises ! Comme si quelqu’un allait s’occuper d’elle, ici.
Et lorsqu’elle entendit les talons résonner dans le couloir. Lorsqu’elle vit la porte s’ouvrir sur la froide meurtrière, elle ne put s’empêcher de frissonner. Mais… était-ce vraiment de la peur qui l’avait animé, en voyant Natalia ainsi moulée dans la sensuelle tenue blanche ?

Citation :

Gilbert se sentait peu à peu sombrer dans l’oubli. Et il n’y avait pas pire sentiment pour une personne aussi brillante que lui. Comment, lui puissant et ancien empire, pouvait-il sombrer en une telle décadence? Ne valait-il donc pas plus que Rome ? Pourquoi, pourquoi ne restait-il plus d’actualité ? Pourquoi sa voix avait-elle soudainement moins d’importance ? Pourquoi son frère prenait donc toute cette importance qui avant lui était octroyé ?
Il tombait dans le vide. Et personne n’était là pour le rattraper.
Pour le sauver de sa chute.
Sauf cette main puissante et masculine, qui ne l’abandonnerai jamais. Espérait-il, du moins.

Comment je suis fan du premier ! XD
C'est super bien trouvé, j'avoue que je m'y attendais même pas, quand tu m'as dit que c'était "drôle". Mais je dois avouer que j'ai rigolé, donc c'est gagné~

...Celui avec Gilbert...il est beau !
J'adore la fin, c'est vraiment superbe.

(t'as juste fait une petite faute de frappe, "sa voix avait-il" :3)

C'est sublime. J'adore tes drabbles, surtout que c'est pas facile à écrire !

J'aime beaucoup aussi, le style est fluide, très agréable à lire. Ce n'est pas pompeux, franchement, c'est génial.