Qu'es-tu exactement ?
Identité ;

Nom : Romulus Prénom : Aelius (Caïus) Nation Représentée : Rome/Empie Romain Age Humain :: 30 ans (Age Réel: 1207 ans) Sexe : Don Juan Homme Date de Naissance : 21 Avril (Fondation de Rome, dans la légende de Romulus) Rang Personnalisé : Séducteur de la Méditerranée

Au delà de la chair
Le Toi nation, le Toi humain ;

Caractère

Quatre mots pour le définir: Fantasque – Sûr de lui – Bon vivant – Séducteur

Rome peut changer rapidement d'attitude, de passer de Gentil Papa/Grand-Père à Empire Violent en moins de quelques minutes. Il fait parfois les choses à sa manière s'il trouve que ses dirigeants ont pris la mauvaises décisions. Il agira toujours pour le bien de sa ville et de son peuple, quelque soit ses actions.. Il est aussi peu excentrique et a tendance à agir comme il veut et quand il veut. Il a en lui un côté rebelle et indomptable. Personne ne lui donne de leçons, et il ne les tire que de sa propre expérience, de ses propres lectures. Enfant il faisait ce qu'on lui disait, adulte il faisait ce qu'il voulait et n'écoutait les généraux que s'il le tenait en haute estime (comme César par exemple).
Rome est aussi imprévisible. On ne sait jamais à quoi il pense. Il peut dire quelque chose pour dissimuler ce qu'il pense. Il peut aussi penser ou faire le contraire de ce qu'il dit. Il ne dit jamais à quelqu'un ce qu'il pense vraiment de lui, pas avant un long moment. Il a l'air gentil, papa gâteau, il a toujours le sourire aux lèvres et semble respirer la joie de vivre mais cache une grande force. Il a beau être très amical vis-à-vis de Ludwig, si celui-ci fait du mal à Feliciano, il va aller rejoindre son Vati plus vite que prévu! Il peut donner des raisons totalement étranges à ses actions, tout en ayant un autre but caché. Il n'y eut que trois personnes pour comprendre complétement comment il fonctionnait: Gaule Celtique, Grèce Antique...et Germania (quoique...).

Rome est un peu trop sûr de lui, trop de victoire lui donne trop d'assurance. Mais après tout c'est grâce à sa force militaire qu'il a conquis tant de territoire. Les rifles violentes qu'il a reçu dans sa vie comme la prise de Rome par les guerriers gaulois (menés par Brennus) ou les Guerres Puniques (Hannibal a été un cauchemar). A chaque coup brutal, il s'est relevé plus fort et plus rancunier que jamais. Il s'est construit ainsi, par la force, la domination, la romanisation des peuples conquis.
Par contre il a toujours des excuses pour ses échecs: Brennus a pris Rome? Mauvaises organisations des armées. Hannibal a écrasé l'armée romaine? La fautes aux mauvais généraux! Et au mauvais système dans l'armée! L'échec de Varus en Germanie? C'était attaque en traite, y avait rien de glorieux, c'était une tactique de lâche! Et lui n'était pas là en plus, sinon ça ne serait pas arrivé.
Mais l'Empire Romain est aussi fier. Fier d'avoir été le plus Empire de l'Antiquité, d'avoir été le maître de la méditerranée. Fier d'avoir été le père de pays qui sont aujourd'hui de grandes nations.
Il est capable d'avoir le dernier mot dans une discussion s'il le veut réellement. Si Germania décide de faire le malin en parlant d'Alfred, lié à lui depuis que celui-ci a été adopté par Angleterre, Rome se fait alors un plaisir de le remettre à sa place en lui rappelant l'influence d'Espagne et de France sur les territoires d'Amérique du nord., signalant ainsi que lui aussi est son grand-père adoptif. Rome se montre aussi parfois dans les rêves de ses enfants, même s'ils ne s'en souvienne pas la plupart du temps. Il a toujours été fier d'eux et le leur a dit sans doute plus que nécessaire. Même si, il faut l'avouer, il a quelque peu désapprouver l'attitude de Feliciano pendant cette guerre meurtrière (il s'en est pris à ses frères!) et s'est empressé de pousser Lovino, en apparaissant dans ses rêves, a soulever le peuple pour renverser le dictateur.

Rome aime la vie, il en a profité tout au long de son existence. Adepte de la cuisine et de l'art, passions qu'ils transmettra à ses descendants. L'amour du spectacle, de la musique, des fêtes, tout ce qu'il aimait sera aimer par ses enfants. Les descendants de Rome sont passionnés, sentimentaux et Don Juan, comme leur père. Il prend parfois les choses à la rigolade et s'enthousiasme pour un rien.. Il aime aussi les siestes dans la nature, au soleil ou sous un arbre. Il s'est occupé de façon égal de chacun de ses enfants et des territoires conquis (même des enfants de Germania quand certains d'entre eux étaient envahis par ses armées). Toute sa vie, depuis ses premiers pas maladroits contre le flancs de la célèbre Louve jusqu'au jour où la lame de Germania mit fin à ce qu'il était, il fut heureux et ne regretta rien, si ce n'est mourir sans savoir ce qu'allait devenir ses fils. Mais il n'avait pas peur...les romains ne craignaient pas la mort.

C'est un séducteur, et tous ses fils le seront également. Contrairement à quelqu'un qui est capable d'exiger "tout" dès le soir de la rencontre (il ne citera pas de nom, cette nation antique se reconnaîtra toute seule). Rome est patient, il peut attendre un siècle entier qu'une nation féminine cède à ses avances (Par exemple, pour Gaule, ça mettra 20 ans). Il est également respectueux. Quand il conquiert une nation féminine, il se montre doux et compréhensif, il la soigne, la couvre de cadeaux et est presque aux petits soin pour elle. Il a sans doute un cœur trop tendre quand il est réellement amoureux, même s'il ne se laisse pas diriger (après tout c'est lui l'Empire) Si c'est une humaine, il se montre un peu plus entreprenant. Fleurs, belles toges, bijoux, il aime offrir des cadeaux et est capable de ne rien demander en retour. Il eut quelque femmes dans sa vie. Grèce Antique, son premier amour. Et il a été un père pour Héraclès, le protégeant des attaques venus de l'Asie et le laissant sous la protection de Empire Byzantin quand il sentit sa fin proche. C'est Grèce qui l'a aidé a construire sa culture (et il lui a demandé, il n'a pas copié sans permission) et c'est sans doute l'une des personnes a qui il a fait toute sa vie confiance. Il y eut Gaule aussi, mais elle c'est compliqué. Et Germania, n'en parlons pas...(c'est pas faute d'avoir tout essayé pourtant)

Physique

Il a des cheveux châtain foncés avec deux petites boucles (une de chaque côté), et un début de barbe de même couleur sur le menton. Ses yeux sont dorés. Il est généralement habillé d'une tunique blanche sous une armure dorée et une cape rouge mais porte parfois une tunique blanche ou jaune et bleu. Il est assez grand et musclé tout en restant relativement fin et délicat. Ses traits sont assez doux. Cependant son dos est zébré de cicatrices, dues à sa chute, parce qu'il était trop grand, trop étendu et qu'il a tout perdu presque d'un coup: par conséquent sa chute fut violente.

car tu as toi-même tracé le chemin
C'est ton Histoire ;

Un coup d'épée qui s'abat...
Une vie qui pouvait prendre fin si rapidement pour une raison futile, un simple dispute fraternelle de deux être qui n'auraient pas du s'entretuer.
L'enfant éternua, sa peau humide de rosée. Vêtu d'un simple petit pagne blanc, il se tenait assez maladroitement sur ses jambes, vacillant et peu sûr de lui. Ca faisait pourtant plusieurs jours qu'il était là et qu'ils les observaient ces jumeaux. Il attendait, attendait il ne savait pas réellement quoi.
Quand avait-il ouvert les yeux pour la première fois?
Il ne le savait pas vraiment, juste qu'il savait qu'il attendait, qu'il savait ne pas être un humain, car un enfant de deux ans n'aurait pas survécu plusieurs jours sans aucune aide, colline sacrée ou pas.
Il ne se souvenait pas de grand chose, juste d'une silhouette qui l'avait posé ici avant de partir en courant, ignorant ses pleurs de se retrouver tout seul.
Un enfant normal aurait d'ailleurs de nouveau pleuré, cette fois de peur, en entendant le fracas des armes si proche, devant le vacarme, l'odeur du sang et du feu. Mais pas lui, il observait calmement et attendait.
Comme s'il savait ce qui se passait.
Il vacilla sur ses jambes mal assurée et serrait tombé s'il ne s'était pas rattrapé à la louve noire assis près de lui. L'animal posa sur l'enfant aux yeux sans âge les siens qui brillaient d'une lueur trop intelligente pour qu'il soit une simple louve. Puisqu'il s'agissait de celle qui avait allaité les deux êtres s'entretuant à quelques mètres, il y a des années maintenant. Et qu'un loup normal ne pouvait vivre si longtemps.
L'enfant plissa les yeux. Une question horripilante tournait dans son jeune esprit de nation.
Qui était-il? Qui? Quel était son nom?
Il avait son nom sur le bout de la langue, mais il n'arrivait pas à le dire, comme si quelque chose l'empêchait de parler. Parce que son fondateur ne l'avait pas encore nommé, personne n'avait encore prononcé son nom. Son existence de nation était si précaire qu'un rien aurait pu le faire disparaître.
Soudain une clameur s'élève, un corps s'effondre. La louve baissa la tête, oreilles basses et l'enfant eut brusquement envie de pleurer, mais aussi celle d'appeler le vainqueur...d'appeler celui avait l'avait fondé en traçant ce sillon dans la terre, délimitant le territoire qu'il allait représenter.
Il fit un pas, puis un autre plus assuré, ses yeux devenait de plus en plus sérieux tandis qu'il s'approchait lentement des partisans de Romulus qui se retournèrent brusquement vers cet enfant, de deux ans physique, qui marchait à côté d'une louve aux poils noirs, droit vers le premier roi de la première nation. L'enfant se planta net devant lui, et planta son regard d'or dans celui de l'humain qui fit malgré lui un pas en arrière devant cet enfant qui n'en était clairement pas un.
Des voix parlèrent autour d'eux d'enfant envoyé par les dieux...
Ou même d'un jeune dieu venu sur terre pour bénir cette nouvelle terre, ce nouveau peuple.
Un nom vint aux oreilles de l'enfant, un seul et cela lui suffit.
Frappant sa poitrine de sa paume droite il dit «Rome!» montrant ainsi que tel était son nom.
Ses yeux se posèrent sur Romulus...comme pour le juger, l'estimer...
Un long silence s'écoula avant que le petit ne s'incline lentement devant son fondateur.

Aelius ouvrit les yeux sur le plafond de sa chambre, passant son avant bras sur son front.
Pourquoi avait-il fait ce rêve, qui n'(était autre que le souvenir de sa naissance? Ou plutôt de la réalisation de ce qu'il était.
Pourquoi maintenant?
Il faisait ce rêve quand quelque chose arrivait dans ses terres, quelque chose de rave, d'important, comme pour lui rappeler que cela ne changera rien à ce qu'il était au fond. Il l'avait fait quand les rois étrusque avait été chassés, quand la république avait été abolie pour la tyrannie.
Il se sentait mal depuis quelques jours.
Un mauvais pressentiment. Comme s'il avait peur. Mais c'était ridicule n'est-ce pas?
Il n'y avait aucune raison. Les Gaulois étaient mâtés, Gaule prisonnière chez lui, l'Égypte était désormais sous la protection de Rome, était son alliée. Mêmes les troubles en Hispania s'étaient apaisés. Tout allait bien non? Alors pourquoi se sentait-il si mal?
Inquiet, il se dirigea vers la chambre des enfants, ouvrant la porte, mais tout quatre étaient plongé dans un profond sommeil, niché les un contre les autres comme des chatons. Tous dormaient paisiblement.
Rien...rien de ce côté là.
Ce n'était sans doute qu'un mauvais pressentiment

Il sortit, rejoignant la Curie, inquiet, terriblement inquiet. Quelque chose allait arriver, quelque chose qui allait bouleverser Rome. Une nouvelle guerre civile menaçait-elle? Il sortait à peine de la précédente, César avait à peine ramener le calme.
Arrivé devant le bâtiment de la Curie, et remarqua Cassius et Brutus qui détournèrent étrangement le regard en le voyant, peut-être parce qu'ils étaient avec Pompée précédemment? Mais c'était pourtant de l'histoire ancienne non et il n'en leur en voulait pas? Son malaise augmenta brutalement. Il n'y avait plus aucun doute désormais. Il allait vraiment se passer quelque chose. Et pourtant il ne croyait pas que quelque chose pouvait se produire, César était trop puissant. Il y avait des contestataires c'est vrai mais rien de grave jusqu'à maintenant. Il pensa qu'il devait être fatigué, il s'était passé tant de choses récemment après tout.
César n'arrivait pas, et les heures s'écoulaient, de plus en plus.
Fatigué, Rome décida de rentrer chez lui, prenant ce prétexte pour échapper à cette réunion qui serait sans doute comme les autres.

Qu'est-ce qui serait différent cette fois?
Peut-être était-il juste paranoïaque?
Ou fatigué?

C'était sans doute ça. Il s'éloigna donc, laissant un parchemin avec ses avis à Marc-Antoine. Et il rentra chez lui, sans savoir qu'il venait d'abandonner César à une bande de conspirateurs. Que l'imperator, privé de sa présence et de celle de son général Antonius (retenu à l'extérieur) serait sans défense face aux conjurés. Il ne le sut que quand une atroce douleur lui déchira la poitrine, signe que son dirigeant venait d'être assassiné.

C'était la fin de la tyrannie...
Et le début d'une nouvelle guerre civile..

Avatar : Rome (avatar provisoire, en attendant d'en trouver un autre)
Comment avez vous connu le forum ? Par hasard, en cherchant justement un site sur Hétalia, j'ai suivit le forum plusieurs mois avant d'oser m'inscrire. (Timide moi? Heu oui un peu)
Suggestions pour celui-ci ? Aucun il est très bien.