Qu'es-tu exactement ?
Identité ;

Nom : Bonnefoy. Prénom : Francis. Nation Représentée : France. (République Française). Age Humain : 26 ans. Sexe : Masculin. Date de Naissance : 14 juillet (25 décembre avant la révolution). Rang Personnalisé : « Optimiste rêveur ♪ » ~

Au delà de la chair
Le Toi nation, le Toi humain ;

Caractère

France est quelqu’un de particulier. Son comportement n’a eu de cesse d’évoluer au cours des siècles d’existence de ce qu’est aujourd’hui la nation. Le Pays des Droits de l’Homme, l’un des plus importants du monde profite – subit – d’un caractère qui est en constante évolution. Chez Francis, quelques traits récurrents subsistent néanmoins, que ce soit dans la séduction ou l’orgueil. Le plus important est de savoir que Francis Bonnefoy est une nation très séductrice, et manipulatrice. Entendons par là qu’elle aime bien profiter à son compte de ses relations avec les autres nations. Oh bien sûr, ce n’est pas comme si elle ne savait pas faire preuve de franchise, mais tout cela est variable dans le temps. Le pays des lumières est aussi connu pour son orgueil. Ce qui exaspère en outre-Atlantique et choque chez ses voisins. Oui, sur le Vieux-Continent, les avis sont partagés quant à cette grande nation. Certains la trouvent trop prétentieuse pour ce qu’elle est, car il n’existe plus moralisateur que France. Et pour cause. Il ressort une certaine fierté légitime dans ce pays. Ce n’était donc pas elle qui inspira la déclaration d’indépendance des Etats-Unis ? Triompha contre son rival Angleterre plusieurs, la première guerre mondiale, les droits de l’Homme ? Beaucoup semblait l’oublier, et c’est ce qui l’exaspérait. Mais le passé était le passé, même s’il ne le reconnaissait pas. Qu’il fusse un grand pays tôt ou tard, aujourd’hui, il n’était plus prestigieux comme avant, qu’un bout de terre influent grâce à Arthur et son Chef de l’Etat dans ce concert des nations. Il vivait très mal la discrétion, son orgueil en prit un coup, et il ne reconnaissait pas ses échecs. Aujourd’hui, il ne conservait que sa gastronomie, la meilleure du monde (selon lui-même) mais aussi son patrimoine, dernière preuve de la grandeur française avec sa grande influence diplomatique. Malgré les apparences, la chute de Napoléon n’amputa que temporairement la crédibilité de France, car celui-ci qui possédait d’immense ressource s’attela immédiatement à d’autres occupations.

La vantarderie, la séduction. L’Hexagone utilisait son charme inné pour être une nation d’influence depuis la perte de son souverain. C’est ainsi qu’elle joua un poids d’influence auprès des autres nations durant le XIXe, XXe et XXIe siècle, autant pour arbitrer les litiges que pour montrer sa puissance. Et puis, France resta tout de même très intéressé pour sortir de son célibat, au point qu'il proposera un mariage à Angleterre (même si c'était aussi pour aller dans ses intérêts) pour parvenir à ses fins. Cela explique notamment qu'il soit très intéressé par ses voisins, voire même d'une façon un peu malsaine. Peu-à-peu, cela le fit sortir de l'isolement et malgré tout, France n’en resta pas moins la première puissance européenne du début du XXe siècle et n’hésita pas à prouver quand il le fallait de son sérieux et de sa capacité à gérer les guerres. Malgré la débâcle de juin 40 (qui n’est avouons-le qu’un détail banal de l’Histoire), la nation recouvra bien vite son prestige. Elle s’émancipa, s’affirma durant la guerre froide. À la fois hypocrite et franc, Francis n’en reste pas moins persuasif et très théâtral quand il le faut. Mais son comportement et ses phrases à double-sens le discréditèrent nombre de fois auprès des autres nations qui de fait se méfiaient de lui. Il n’en reste pas moins que cela fut un grand atout. Mais le temps a passé, et France prit en sagesse. Notamment lorsque ses anciens exploits décidèrent de prendre leur envol. Il se montra très compréhensif et ouvert pour leur départ, se faisant père et garant de celles-ci. La nation tint à conserver d’excellentes relations pour des partenariats stratégiques mais aussi par empathie avec elles. C’est ainsi qu’il est aujourd’hui très lié à des pays comme Canada et Seychelles.

On apprend avec le temps. France n’est pas une nation parfaite, voire même un peu rêveuse. Elle a pu commettre des erreurs par le passé. Mais qui est parfait ? Que ce soit par un sentiment puéril de rivalité avec Arthur subsistant encore aujourd’hui (mais beaucoup plus nuancé), le pays des lumières acquit énormément en maturité au XXe siècle. Depuis, la Nation est devenue bien plus altruiste et ouverte aux autres, pour se sortir de l’isolement et faire de ce monde un monde meilleur. Après des humiliations, des peines, des efforts contre elle-même pour s’améliorer, le pays se voulait tolérant et volontaire pour aider les autres Nations, tempérer les litiges. Malgré cela, un grand défaut subsiste chez France : il ne reconnaît pas ses défauts et ne s’améliore que lentement (pour être sûr de ne pas nuire à sa grandeur qui finit par être obsolète). Cependant, son optimisme est un grand atout dans les mauvaises situations, il ne désespère jamais. Francis est aussi membre du "bad trio", même si depuis le XXIe siècle, il y est moins attaché, mais toujours fidèle.

Toutefois, il faut relativiser les défauts et nuancer les qualités. Si France peut paraître faible, pervers et irresponsable, il n’en est pas moins un grand stratège de guerre, de qualité, et de responsable justement lorsqu’il le faut. Il prouva depuis sa naissance sa valeur auprès des autres, autant en philosophie qu’en droits de l’Homme. Alors bien sûr, ce n’est pas une nation parfaite, il a ses défauts, ses erreurs, son passé, mais l’Hexagone est pleine de ressource et de grands hommes qui l’ont aidés à se construire. C’est le futur qui écrit l’Histoire. Personne ne pourra prédire ce que deviendra ce grand pays. Il doit être aussi judicieux de noter qu'il est parfois illogique et plus timide qu'on ne le pense sur la sexualité. Il aime juste paraître ce qu'il n'est pas pour impressionner, hors ça finit par être plus agaçant qu'autre chose. Aujourd’hui, il est un peu en retrait, plus timide, mais plus sage et philosophe. Il se fait l’armateur d’une paix durable dans le monde, d’une raison pour la survie de tous. Oui car la nation est un pays très sentimental, qui pardonne vite. Si nous devions récapituler France en quelque mot, ce serait quelqu’un d’empathique, séducteur, orgueilleux, prétentieux, jaloux, fier, possessif, rival, mais aussi altruiste, sentimental, responsable, cultivé, sérieux (quand il le faut) et courageux. Il tente d’affirmer son indépendance et à obtenir la place qu’il mérite dans le concert des nations, qui ne cessent d’augmenter. Le monde évolue rapidement, il faut se mettre à jour tout aussi rapidement, tirer les enseignements du passé et se tourner vers le futur.

Physique

Je suis bien trop connu pour devoir m'abaisser à ça.

car tu as toi-même tracé le chemin
C'est ton Histoire ;

20 novembre 1945.

Aujourd’hui était un grand jour pour toutes les nations du monde. Alors que beaucoup n’arrivaient toujours pas à croire la fin du conflit mondial qui durait depuis presque six ans, la phase final de cette tâche noire de l’Histoire, s’ouvra. Motivés par des désirs de vengeances et de justices, les Alliés (Francis, Arthur, Ivan & Alfred) se réunirent déjà en août 1945, peu avant la capitulation du Japon. France s’en souvenait très bien. Ce jour-là, il fut décidé avec ses alliés de créer un grand tribunal militaire international, pour condamner les nations perdantes. Pour sa part, Francis n’en revenait toujours pas des crimes perpétrés par Allemagne et Japon, parfois même contre sa propre population. Il avait toujours eu cependant un sentiment empathique pour Italie du Nord, qu’il considérait trop faible pour prendre des décisions par lui-même. Ce qui semblait impensable il y a encore quelques mois allait devenir réalité. Les délégations se réunirent très tôt à l’aurore du 20 novembre 1945 et le procès ne tarda à s’ouvrir. Beaucoup semblaient présents, la plupart des nations assistaient au procès dans le plus grand silence sur les bancs des spectateurs. Au premier rang, les Alliés qui interviendraient régulièrement. À l’origine, la Nation française ne devait pas être représentée comme un pays victorieux, mais l’obstination du pays finit par être récompensée bien qu’elle attisa quelques reproches négatifs, notamment de l’exaspération de la part d’Amérique. Il pouvait se féliciter de son amitié d’un jour avec Angleterre qui lui permit d’accéder à ce statut, et lui étant très reconnaissant, il décida de ne plus trop se disputer avec lui. Oh bien sûr, il fallait toujours le taquiner, c’était une grande passion, tout un art pour Francis, mais il fallait le conserver comme un allié et non comme un ennemi. De toute façon, celui-ci pensait impossible une nouvelle guerre européenne, les temps changeaient et les mentalités évoluaient. Le pays se voulait désormais un représentant de la paix, une nation influente pour empêcher les guerres. C’est comme ça qu’il abandonnera peu-à-peu ses colonies. Le monde d’hier n’était plus celui de demain, c’était triste mais ainsi. Et puis beaucoup mieux en fait. Il n’y aurait ainsi plus de guerre inutile qui déchirerait l’Europe en deux et la plongerait dans le malheur et la crise économique, tout comme les myriades de problèmes que ça provoquait.

« Bien, faisons ça vite. J’ai « Amour, Gloire & Beauté » qui m’attend ! » à regarder. » Soupira-t-il. Cela provoquait une toute petite tension avec Angleterre bien vite résolut.

Francis disait plutôt ça pour détendre l’atmosphère qui devenait malsaine. Enfin, comment une atmosphère ne pouvait pas devenir malsaine quand on était assis à côté de Russie ? Très personnellement, il trouvait ce type malsain et sadique. Tout-au-long du procès qui s’éternisait, France lançait des regards timides à Ivan, pour décortiquer ses réactions. Son teint devint pâlichon lorsque celui-ci le remarquant le dévisagea le quart d’heure durant. Il tenta de se concentrer sur le procès jusqu’à devoir intervenir, mais ne pouvait pas s’empêcher de faire un étrange jeu de séduction à Arthur, ou encore de le taquiner. Il tenta de limiter ce comportement puéril à la vue du sérieux de la situation mais ne pouvait pas s’empêcher d’être distrait. Peut-être parce qu’après tout, il voulait se détendre un petit peu dans ces problèmes qui s’accumulaient dans son propre pays. Qu’il soit de nature sanitaire ou économique. Embarrassé (notamment car il n’écouta qu’une partie du procès-verbal), celui-ci prit quelques instants avant de dire quoi que ce soit. Oui car il devait dire quelque chose, mais il ne savait pas quoi. Enfin, la Nation ne devait pas écouter tout pour répondre dans le juste-milieu, chez Francis, ce talent était inné. Du moins, il pensait.

« Il faut qu’Allemagne paie et s'excuse ! » Dit-il avec une relative assurance dans sa voix, et un charisme notable.

On lui fit remarquer l’inutilité de sa réponse, mais aussi les litiges que ça soulèverait comme à la fin de la Première Guerre Mondiale. Devant le blanc laissé par sa réponse, il poursuivit.

« Je suis un grand pays, très grand même. Dieu était aux toilettes quand j’ai perdu, ce n’est pas de ma faute. C’est pour ça que je peux être prêt à pardonner Allemagne, étant un pays puissant, je ne dis pas maintenant, mais dans une décennie par exemple. » S’exclama le pays tout en constatant qu’Arthur lui lançait un regard assassin.

Deuxième blanc. Cette fois-ci, non pas parce que France eut un énième excès de confiance, à la rigueur, tous les pays le connaissaient maintenant, mais parce qu’il était la première Nation à envisager un éventuel pardon de Ludwig. Même si au final, celui-ci voulut que le vaincu fasse preuve de contrition envers l’Europe et notamment l’Hexagone. Cependant, c’était la moindre des choses. Malgré le froid lancé, les jours qui se succédaient, la fin du procès marqué également la fin de quelque chose, et le début d’autre chose. Il savait que les nations qui s’illustreraient demain ne seraient pas forcément celles d’hier, qu’une époque de changement arrivait, autant au niveau des mœurs que de la religion (qu’il s’engagea à abandonner, étant désormais laïc). Le monde parfait n’existerait pas, les guerres continueraient, les disputes aussi, mais plus jamais, surtout depuis l’arme de dissuasion nucléaire, une guerre quelconque déchirerait les occidentaux. À terme, France espérait un jour passer à autre, restaurer sa gloire passée. Il se donnerait énormément pour redevenir une nation incontournable, qui aura évidemment du mal à s’imposer dans ce nouveau concert des nations. Mais l’Histoire évolue vite, et un grand pays comme le sien se relèverait et s’affirmerait bien vite, sortant d’une passe bien difficile. Aujourd’hui, la Nation était instable, demain elle serait forte, parce qu’il ferait en sorte qu’elle le redevienne. Le procès s’acheva sans grande avancée, mais pour une première journée, ce fut assez mouvementé. Son attitude positive surprenait et exaspérait les autres. Mais Francis n’était pas quelqu’un qui vivait dans le malheur et la tristesse, il n’y a que l’optimisme qui peut vaincre les problèmes, et c’est cette volonté qui sauvera sa nation et son peuple. Il n’en était pas moins sérieux et ne voulait que remonter le moral des autres nations en berne… Il était en fait ressorti plus mûr et plus sage de cette aventure.

derrière l'écran, un humain
Et toi ? Qui es-tu ? ;

Pseudo : Mr. S.
Avatar : Francis Bonnefoy ? ^o^.
Comment avez vous connu le forum ? Oh bah par Google hein, c'est très simple xD.
Suggestions pour celui-ci ? Je trouve le forum très bien fait et vraiment très sérieux. Puisse-t-il continuer ainsi, et je trouve le Staff très chaleureux, pour mon arrivée du moins, mais je ne vois pas pourquoi il ne le serait pas avec les autres !
Remarques ? Validé par Feli
Je note aussi que je ne connais pas, presque pas Hétalia.