Nom : Zwingli
Prénom : Vash
Âge : 18 ans

Rang personnalisé : Loin des vains bruits de la plaine


Quatre traits de caractères :

« Farine fraîche et pain chaud font la ruine de la maison. »

Vash est quelqu’un de sérieux, globalement silencieux, qui prend tout ce qu’il entreprend très à cœur. Quelque part maniaque, il aime l’ordre, que ce soit dans les documents les comptes (lui donnant une tendance bien autrichienne à ne pas gaspiller l’argent) ou les relations humaines, et met un point d’honneur à être d’une ponctualité irréprochable; ce qui fait de lui un très bon banquier, et plus généralement un bon organisateur: nombre de réunions internationales ont lieu en Suisse…
Il ne s’autorise que très rarement l’oisiveté, et rit peu, pour ne pas dire jamais. Blaguer est pour lui une perte de temps; alors, pour ne pas avoir de scrupules, tout son temps libre est consacré à sa sœur ou ses chèvres, de temps en temps à des balades en montagne…

« On ne gagne pas beaucoup à courir le monde. »

D’une façon générale, Vash abhorre les étrangers et n’adresse la parole à aucun être qu’il ne connait pas, restant même méfiant avec toutes les personnes qui sont étrangères à son pays - il est toujours sur la défensive quand on lui adresse la parole, et sa réputation de n’avoir aucun sens de l’humour est bien fondée. Il prend au sérieux toutes les remarques que l’on peut lui faire, et s’en vexe très rapidement, n’hésitant pas à appeler son sig-sauer en renfort.
D’ailleurs, il compte beaucoup sur les armes, dont il est l’un des plus grands producteurs; mais c’est seulement pour dissuader ses voisins. Il ne prend part à aucun conflit, et même si la destruction et la mort est à sa porte, il reste courageusement neutre au milieu de l’animosité. Malgré sa petite taille, les aryens de trois mètres ne lui ont jamais fait peur, et il défend farouchement son territoire. Gare à celui qui à le malheur de traverser son territoire, que ce soit soit avec un char ou simplement nu au beau milieu de la nuit - Vash est redoutable avec un fusil à la main. Guillaume Tell était son disciple.

« Tiens toi à distance de celui qui n’aime pas le pain ou la voix d’un enfant. »

Vash, malgré toutes ses réticences à s’ouvrir à autrui, est quelqu’un de très attentionné quand on arrive à percer sa carapace. Autrefois, Roderich y était parvenu; aujourd’hui, c’est sa sœur Liechtenstein qui fait les frais de sa tendance à être une sorte de frère poule refoulé. Ce qu’elle veut, il le fait; heureusement pour lui, elle est raisonnable. Même s’il reste quelque peu distant avec elle, toujours gêné par leur proximité, c’est la personne qui compte le plus au monde pour lui. Il accepte même de porter un pyjama rose pour elle.
Et tirera entre les deux yeux de celui qui osera s’en moquer.

« Le diable se cache dans les détails. »

Parce que même s’il est plutôt calme lorsqu’on le laisse tranquille, il devient une vraie plaie quand on le dérange. Acide, voire violent et bruyant, il ne fait pas de cadeau à quiconque les dérange, lui et son fusil. Il n’a pas la conversation agréable, et pas le visage non plus, celui-ci étant toujours tordu dans une rage qu’il essaye de contenir au mieux avant qu’elle n’explose, généralement sur Feliciano, moins souvent sur Roderich, avec qui la haine se manifeste plus par le mépris.

Signes particuliers :
Sur le champ de bataille ou en soirée, Vash ne quitte jamais son revolver. Et dès que c'est possible, c'est même le fusil sur l'épaule qu'il se promène : l'histoire lui a prouvé qu'on n'est jamais moins à l'abri des Adam italiens que chez soi. Et pour la série des détails insignifiants, on peut mentionner aussi le fait qu'il s'occupe de trois chèvres, nommées comme trois de ses monts alpins: Eider, Jungfrau et Mönch.

Ce qu'il aime et déteste :
Il aime la montagne, le fromage, les paysages escarpés, les chèvres qui vont dessus et les fusils pour abattre les loups qui s’en prennent à elle. Il aime Liechtenstein, profondément. Il aime être seul, mais aime aussi sortir de temps en temps pour évacuer la rage qui bout en lui.
Et il n’aime pas les étrangers, le chahut. Et Roderich, pour tout ce qui s’est passé entre eux. Et Feliciano, ce crétin inconscient capable de traverser la Suisse, en oubliant de surcroit de mettre un pantalon. Il n’aime pas non plus ceux qui suivent sans réfléchir les opinions de cinglés mégalomanes.

Petit test RP

Un jour tout à fait normal, Vash vaquait à des occupations tout à fait normales, dans son sous-sol tout à fait normal. Il s’était levé du même pied que d’habitude, avait passé les mêmes vêtements qu’à l’accoutumée.

Mais voyez vous, pour dans ses jours normaux, Vash n’était pas un être humain tout à fait banal. Grommelant après son réveil, car celui-ci avait eu la malheureuse idée de se décaler d’une minute pendant la nuit, il avait sans réfléchi revêtu son uniforme militaire, sans oublier de le charger au passage de son couteau - suisse lui aussi - son revolver et son fusil, on n’était jamais assez prudent. Et après le petit déjeuner, sa principale activité était l’entrainement au tir, comme s’il n’était pas déjà assez bon - après tout, on avait beaucoup félicité Guillaume Tell, mais pas son maître… Il allait pour cela dans son sous sol spécialement aménagé pour ses occupations…

Il caressait tendrement son sig-sauer en guise de préliminaire quand son téléphone portable sonna.

 « Oui j’écoute.
- …
- Ah, c’est toi. J’ai cru que c’était encore le travail. Qu’est ce qu’il se passe?
- …
- …
- Ahem. Si c’est vraiment ce que tu veux.
- …
- Non, c’est bon. Tout va bien.
- …
- Oui m-moi aussi. A plus tard. »

« Tout va bien. ». Ben voyons. Vash faillit arracher le clapet de son téléphone en le refermant, et dut se retenir avec toute la force mentale dont il disposait pour ne pas s’en servir comme projectile, plutôt que d’utiliser son arme à feu.

La crise que subissait l’économie mondiale commençait à lui peser. Les autres nations se reposaient trop souvent sur ses qualités de banquier et d’organisateur; et cela lui faisait beaucoup de travail, pour peu de résultats.

BANG. Sous l’effet de sa frustration montante, sa cible perdit un œil.

Le pire, c’était que tout le monde croyait qu’il suffisait de venir toquer à sa porte pour lui demander service; parfois sans même se donner la peine d’utiliser un langage compréhensible. Alors qu’il avait horreur de tous ces étrangers qui écrasaient de leur grosse bottes d’hommes pseudo-civilisés l’herbe tendre qu’il réservait à Mönch, Eider et Jungfrau.

reBANG. Cette fois ci, la cible se prit la balle dans les dents.

Et d’ailleurs, Jungfrau, elle avait eu une bonne idée de tomber malade. On avait pas idée de se baigner en pleine hiver, non mais. A cause de cela, il perdait une quantité de lait fa-ra-mi-neuse, et Dieu sait que le lait ça coûtait ex-ce-ssi-vement cher. En parlant de lait d’ailleurs, maintenant il se souvenait pourquoi il avait hésité en achetant son paquet de raclette, la veille. Ils avaient enore augmenté le prix de deux centimes, non d’un chien.

rereBANG. La cible se prit une balle entre les deux yeux. Enfin, entre un œil et un trou.
Et puis, rien qu’à la pensée de ce qu’il allait penser par la suite, ce fut magique, son doigt se déchaîna et tira coup sur coup jusqu’à ce que le chargeur fut vide; et que la où il y avait auparavant une tête ne reste plus rien.

Et oui, sa sœur, qu’elle était mignonne et gentille, venait de lui annoncer encore une terrible nouvelle. Non contente d’être autorisée à sortir seule, il fallait qu’en plus, elle lui fasse ça. Un dîner chez Roderich, on avait pas idée, enfin! Il aurait préféré voir n’importe qui à la place de cet aristo-machin-chouette; à part peut-être Francis. Et Alfred. Et Yong Soo. Et Feliks. Et Feliciano. Et Antonio. Et Sadiq. Et Cuba. Et toute une tripotée d’autre finalement.
Mais Roderich, quand même!
Il croisa les bras, comme un enfant boudeur, l’air plus que contrit. Il soupira, et c’était comme si tout l’air qu’il expirait sortait en emportant un petit bout de colère à chaque fois.

Vash alla ramasser la tête de la cible, la regarda dans tous les sens. Rien à dire, il n’avait pas perdu la main. Les cibles, cependant, étaient un peu trop molles à son goût. Il aurait bien aimé pouvoir continuer à voir ce visage totalement défiguré depuis l’endroit d’où il tirait. Et puis, ça lui ferait faire des économies, parce que celle là était bonne pour la poubelle.

Il allait falloir qu’il en parle à Feliciano.
Ca l’embêtait beaucoup de devoir ne serait-ce que lui dire bonjour, ce qui prenait des heures avec l’Italien - tant qu’il ne le menaçait pas.

Mais bon, il n’avait trouvé personne d’autre qui sache faire d’aussi belles reproductions de la silhouette de Roderich que lui.

Oyé, double post pour dire que c'est fini.

: )

Merci à Roderich et Ludwig pour leur cohabitation je sais plus quoi, désolée, qui m'a redonné un peu d'inspiration xD

Eh bien...
VAAAAAAAAASH !!! :dance:
...Hem.

Vous étiez si adorablement mignons Roderich et toi, enfants, quand j'étripais gaiement mon petit Autrichien et que tu le soignais

Je nie absolument tous les faits évoqués ci-dessus.

Parfait, mon ami, c'est validé

Au moins une chose que tu fais sans déborder.



Merci x)

Kyah, la Suisse *3*

J'ai oublié de mettre la Chine dans les personne que je ne voulais pas voir, dammit.


M-merci de l'accueil.

Bienvenu Vash (et t'as pas oublié les chèvres ! )

Jungfrau, Mönch et Eider ont une plus grande place que toi dans mon coeur.



: D


Enfin bref, merci. Encore une fois xD

Salut Mello Suisse! t'ouvres les stations de ski cet hiver? =D (baisse des prix?)

Un prix d'ami.

Pour 300 forfaits achetés, le 301e est offert.


Non mais quoi, oh, est ce que j'ai une tête à...


Enfin bref, j'épilogue pas, on m'aura comprise.

....

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Hé bien, la politesse m'indique de vous souhaitez la bienvenue....