Nom : pas de noms de famille en ce temps-là !
Prénom : Hermann ("l’homme dur" en germanique) mais appelez-le Germania, il préfère et en plus, ça fait peur à Rome.
Âge : Inconnu mais très vieux.

Rang personnalisé :
Un mental de nain dans un corps d’elfe.

Quatre traits de caractère :

• Froid :
Germania est froid. Il n’est absolument pas un adepte des longs discours. De ce fait, il ne parlera jamais pour ne rien dire, parler de la pluie et du beau temps n’est absolument pas envisageable avec lui. S’il s’exprime, c’est concisément, sur des choses sérieuses, importantes, bref, s’il y a un énorme enjeu derrière. Sinon, il ne gaspillera pas sa salive pour vous. Tout au plus, il vous écoutera. Et c’est déjà pas mal. Aussi, vous ne le verrai jamais sourire. Ou extrêmement rarement, il faut bien qu’il ait avalé un tonneau entier de cervoise si vous voulez entrapercevoir les commissures de ses lèvres se relever. Et encore. Il fallait qu’il soit d’excellente humeur avant. Et que Rome ne l’ait pas ennuyé dans le mois. Au moins.

• Brutal :
Germania n’est pas du genre tendre et mièvre. S’il veut quelque chose ou quelqu’un, c’est tout de suite, sans cérémonie. Au pire, il se lève et va chercher ce dont il a besoin. Plus ou moins brutalement, cela dépend du degré d’obéissance de ce qu’il voulait.
Germania est un (grand ?) père sévère et inflexible. La discipline et la rigueur sont essentielles pour lui. Et tout manquement est puni corporellement. En plus, ça stimule la circulation. Ce n’est pas pour autant qu’il n’aime pas la horde de gamin qu’il a engendré, non, loin de là. Juste qu’il veut être fier des ces futures nations, qu’il veut que ses gamins deviennent grands et forts, aptes à la vie semée de guerres qu’est la vie de nations, où seuls les forts subsistent.
Et à la guerre, c’est pareil. Même s’il aime travailler le métal et orner ses épées de magnifiques dessins, au combat, il est du genre plutôt barbare. Toujours en première ligne, toujours prêt à pourfendre ses ennemis. Oh, cela ne veut pas dire qu’il n’est pas raffiné dans l’art de tuer ses ennemis, non ! Il peut très bien les découper en morceaux et les pendre aux arbres pour effrayer Rome, les empaler, les décapiter proprement ou bien faire une vraie boucherie où il frappe n’importe où chez son ennemi, tant que ça le tue. Germania est un homme charmant, n’est-ce pas ?

• Travailleur :
Germania est plus quelqu’un de manuel qui aime travailler de ses mains, qu’un intellectuel toujours fourré dans les textes. D’ailleurs, ses traditions sont orales. Il utilise un alphabet issu du latin, mais c’est que pour la religion, et encore. Non, Germania préfère s’occuper de son bétail, forger des armes, s’exercer au combat, faire de la cervoise, bref des choses plus intéressantes et surtout, concrètes. Oh, mais il sait être raffiné dans son art, il suffit de regarder les armes et les bijoux qu’il forge, de regarder comme ils sont finement ciselés, ouvragés, polis, ornés de pierreries.
Bon, il est vrai que Germania passe le plus clair de son temps à la chasse et aux exercices militaires, seul ou avec sa marmaille. Dès leur plus jeune âge, le grand blond leur inculqua le goût du travail et de l’effort. Germania déteste l’oisiveté et tous les vices qui vont avec (sauf boire de la cervoise, mais ça, ce n’est pas un vice, pour lui). Même ses filles étaient astreintes à des exercices réguliers. Pour Germania, avec du travail, on arrive à tout. Même à mettre à genoux Rome.

• Pragmatique :
Comme dit précédemment, Germania est quelqu’un qui aime les choses concrètes. C’est absolument pas son genre de s’encombrer de notions abstraites et compliquées. L’action détermine tout, chez lui. Ce que tu fais exprime ta pensée. Point. Mais ce n’est pas pour ça qu’il faut croire que c’est un crétin, loin de là. Non, c’est même relativement intelligent de penser en termes pratiques, concrets, palpables. Il menace de se faire envahir ? Il va faire un petit tour chez Rome, il sait que le brun s’en prendra plein la tronche lui aussi, comme ça. Elaborer des tactiques compliquées ? On fonce dans le tas, où sinon, on s’inspire de ce que les autres ont fait et qui ont fait leur preuves, ce qu’ils ont même employé contre sa personne pour retourner ça contre l’adversaire. Si ça a marché contre lui, pas de raison que ça marche pas sur les autres. Non ? D’ailleurs vous ne verrez jamais le grand blond s’allier à quelqu’un ou faire quelque chose s’il n’y a pas d’enjeu précis, concret, matériel en jeu. Chacune de ses actions est pesée et réglée comme du papier à musique.


Signes particuliers :
Germania porte des longs cheveux blonds, avec une petite tresse dans sa chevelure qui passe juste derrière son oreille gauche. Il s’habille généralement dans des tons verts et bruns, des couleurs très discrètes dans la nature, comparées surtout au rouge et or arborés par Rome…
Son visage arbore toujours une expression neutre –ou presque mais personne n’est revenu pour témoigner-.

Ce qu’il aime et déteste :

: Il aime la cervoise, travailler le métal, se battre, les femmes mais il reste discret là-dessus, sa nombreuse marmaille même s’il ne le montre pas. Il aime parler affaires et politique, ennuyer Rome même s’il a été son garde du corps à plusieurs reprises, les animaux, la forêt, travailler.

: Il déteste le poisson et tout ce qui a trait à la mer, d’ailleurs il a le mal de mer. Il déteste l’impudeur même s’il lui est arrivé de se battre nu pour faire peur à Rome. Il déteste l’oisiveté, la désobéissance, les concepts abstraits qui ne servent à rien selon lui. Il déteste aussi la couardise.

Petit test RP :

Rome était-il devenu fou ? Ou bien l’avait-il déjà trop frappé à la tête pour que cet idiot mette à sa tête un gamin de onze ans ? Un petit pantin entre les mains de son père, Oreste, que Germania et ses hommes venaient de tuer.

Que restait-il de Rome, le puissant et fier Rome, son rival de toujours ? Il ne voyait que devant lui un homme courbé, dont le corps était zébré de cicatrices qui ne semblaient pas vouloir se refermer. Les cicatrices des coups que le blond germanique lui avait portés. Et Rome ployait le dos, n’arrivait même plus à se défendre. L’idiot !

Pourtant le blond s’était déjà maintes fois introduit chez l’Empire Romain. Il l’avait déjà battu et pillé. Il l’avait prévenu qu’il reviendrait, qu’il devait se préparer. Mais non, Germania voyait avec dégoût Rome avec les épaules fléchies, le dos voûté, comme un vieil homme. Un vieil homme qui sent sa fin arriver et dont les bambins gazouillant autour de lui ne le faisaient même pas esquisser un sourire. Germania soupira de mépris. Rome, le fier Rome, baissait la tête devant lui. Il avait bien un glaive au bout de son bras, mais ce dernier pendait pitoyablement vers le sol. Où était le Rome qu’il avait connu ? Le Rome qui essayait autant de l’égorger au combat que de l’emmener dans sa couche ? Le Rome qui se battait avec gloire chaque jour, qui peignait et sculptait, qui séduisait les filles et les garçons, qui lui racontait sa vie avec une pointe d’orgueil à chaque fois qu’ils se rencontraient ?

Non. Ce n’était pas Rome devant lui. Cet homme aux yeux cernés, couvert de cicatrices et de plaies, essoufflé, à bout de forces. Prêt à s’écrouler.

Germania lui donna un coup de pied dans le ventre. Rome s’écroula assis dans la poussière.

- Tu es pathétique.

Le blond tira son épée de son fourreau. En ce quatre septembre 476, le temps était frais et venteux. La longue cape brune que portait Germania volait derrière lui. Les quelques rayons de soleil qui traversaient les nuages se reflétaient sur la lame affutée de son épée. Le blond fit deux pas et redonna un coup de pieds à l’Empire Romain à terre.

- Relève-toi. Fais honneur à ton nom. Je n’ai pas envie de t’égorger comme j’égorgerais un porc.

Et le saisir par la broche en or qui retenait la cape pourpre qui enveloppait le Romain. Le secouer, le forcer à se relever. Croiser ses yeux bruns, ses yeux vides. Et puis sentir une lame entrer dans sa chair.

Oui, Rome avait un sursaut d’orgueil. Tant mieux, il préférait ça. Qu’importe la douleur, il avait eu de l’estime pour l’être qui se tenait devant lui. Un être résigné à mourir mais qui semblait vouloir partir avec panache. Oui, Germania préférait ce comportement au précédent. Même si cela lui vaudrait des pertes. On n’avait rien sans rien.

Pour la peine, le blond accorderait au cadavre de Rome un micro-sourire, quand il l’aurait massacré. Il mériterait bien ça, pour leur longue histoire commune. Mais place au combat, pas le temps de réfléchir que l’homme à la cuirasse dorée se jetait sur lui. Par réflexe, Germania lui sauta dessus, et, à deux mains, lui planta l’épée dans la poitrine verticalement. Alors qu’il sentait une violente douleur s’insinuer dans son flanc. L’épée de Rome.

Ils churent au sol, dans la poussière. Mais le visage de Rome semblait serein, il s’y attendait tellement, à mourir de la main du grand blond. Et déjà, il était parti, Germania voyait les yeux du brun se révulser. La blond se releva en grimaçant, retirant la lame de son corps et la sienne du corps de l’Empire Romain. Avec un lambeau de sa cape, Germania se fit un bandage de fortune, avant de déposer l’épée qui l’avait blessé auprès de son propriétaire.

Il le regarda quelques instants, afin de graver les traits de son rival pour l’éternité dans sa mémoire. Un petit sourire navré naquit sur les lèvres germaniques, sourire qui disparut aussi rapidement lorsque deux bambins vêtus de blancs accoururent auprès du cadavre.

- Idiot…

Germania partit sans se retourner. Il devait faire de ses descendants des nations puissantes. Capable de rivaliser avec les descendants de Rome. Capable de régner en maître sur l’Europe. Et lui, pourrait finir ses jours dans sa forêt, regardant les gamins grandir et en dégustant une bonne cervoise. Tranquille et oublié de tous.

Comment avez-vous connu le forum ?
Double-compte.

zdizeofoziefnezf.

QUELLE FICHE.

C'est le double compte de qui ?
(c'était une bonne idée, j'veux un Rome maintenant ;_;)

Wilkommen, Vati !

Francis: tu me payes, je te le dis

Tu peux toujours rêver, imbécile radin

De toute façon, je valide pas si je sais paaaas

.....

FATHER ? (quite.)

Je veux pas que tu voies.... tout ce que j'ai fait.....

Oh, well.

/me sort thé

(Pardon, Lys... )

Y a que ça qui me souhaite la bienvenue ? J'vous ai pas assez fouettés quand vous étiez des morveux, pff !

J'men fiche t'es pas mon père <__<

non, c'est ta mère

Hermann/Germania a écrit:

Y a que ça qui me souhaite la bienvenue ? J'vous ai pas assez fouettés quand vous étiez des morveux, pff !

Euuuuh.... Moi j'étais loin, mais je suis pas sûr que Ludwig approuve...

vieux con!


RODERICH WINWINWIN

........................;_;

(promis, au nouvel an, j'arrête le flood)

Bienvenue, heu... Monsieur. Vous êtes mort, il me semble.

Et alors, on s'en fout!!!!!

Rebienvenue, je-sais-qui-tu-es <3

Je valide Germania san parce que je sais qui c'est, mais le mystère reste entier pour ceux qui savent pas (cherchez xD)

Validé(e) ! <3

Germania n'est pas mort, il a sombré dans l'oubli !

-en fait il cuve son tonneau de cervoise au fond d'un bois perdu mais chut-

hihi un vieux~

Oh ! C'est beau ! *Essuie une 'tite larme*

Bienvenue, bienvenue !

Bienvenue !!!

*Je suis nulle pour les devinettes, alors j'vais devoir soudoyer quelqu'un pour connaître ton nom... Snif mes beaux billets ><*

Chine > Tu peux parler, on est de la même génération...

Niels > Un homme comme toi qui pleure ? Fils, comporte-toi en homme et ne me fais pas honte !


[merci pour les bienvenue ^^/]

Germania > Oui Papa ! Tu veux voir mes nouveaux jouets ? Regarde regarde !

Spoiler:

Spoiler:

Niels > Ca me plait plus, ça, fils.

Une grande personne qui fait peuuuuuuuuuuuuuur






Rebienvenue

Ah, une doublette ?

Excusez-moi mais... Pourriez-vous me décliner votre identité ? Je vous en conjure !

Eh là qui voilà...


Le père de tout un monde : D


Je souhaiterais la rebienvenue quand je saurais qui c'est, na ><

Vash > Quelqu'un que tu vois ce WE.

Vash Zwingli / Suisse a écrit:

Eh là qui voilà...

Inspecteur Gadget !