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 [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]

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Feliciano Vargas/Italie N


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[Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Vide
MessageSujet: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeMar 14 Juin - 21:42

Aaah, bella Mortelliccio. Une plage bien connue de ses citoyens italiens pour la finesse de son sable. Une ample zone de plage libre avec pinède qui en faisait un coin fort désirable pour un vacancier en manque de soleil scintillant sur l’eau et du bruit des vagues douces… ou des cris des enfants qui courraient partout.
Pourtant, malgré cette atmosphère plutôt apaisante, Feliciano ne semblait pas être très détendu. Assis sur une serviette étalée sur le sable chaud, l’une de ses jambes ne cessait de trembler. Il l’attendait avec une impatience mal contenue… sa mère d’un temps, femme éternellement jeune et belle, la représentante d’une nation connue sous le nom de Hongrie. Une paire de Tod’s à 250 balles sur le nez, l’italien essaya de faire passer le temps en regardant les personnes autour de lui.

[Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Tods-t11

Des familles étaient principalement présentes, mais des lots de dragueurs et de groupes de jolies filles se trouvaient également à certains emplacements. Franchement, priant intérieurement de ne pas être devenu comme son chef actuel, le « fabuleux donjuan» Berlusconi, il lui devenait de plus en plus difficile de faire la différence entre une jeune fille de seize ans et d’une de vingt-cinq ans. Les enfants grandissaient-ils plus vite ou les adultes vieillissaient-ils moins vite ? Peut-être les deux en fait, ils se nourrissaient bien mieux depuis quelques années, cela devait forcément aider. Tout ça pour dire que cette situation le fit un peu hésiter à draguer, il ne tenait pas à se faire prendre par les parents d’une mineure et se faire passer pour un pédophile. Le jeune Vargas tenait à garder son image de gentil garçon, vraiment. Après, rien ne l’empêchait de faire certaines choses… discrètement.


"Helahela…"


Des sifflements insistants d’hommes, surement en quête d’une proie, le firent soudainement sortir de sa rêverie. Bien curieux de savoir à quoi pouvait ressembler la créature de rêve qu’ils avaient pu repérer, il tourna son regard doré caché derrière ses lunettes vers la silhouette pour laquelle les joyeux sifflements étaient adressés. Peine perdue… Se trouvant face au soleil, il lui était impossible de discerner son visage. La seule chose qu’il fut capable de voir était seulement la silhouette parfaite d’une jeune femme dans la fleur de l’âge.
Connaissant bien ses compatriotes masculins italiens, Feliciano savait que la personne maintenant à ses côtés devait être magnifique. Ils ne sifflaient pas n’importe qui et n’étaient pas adepte de ce genre de moquerie pour viser une personne peu gâtée par la nature… Dû moins, tant que des familles étaient présentes.

Et à présent, elle était là, à côté de lui, debout, ne soufflant aucun mot. La tête relevée, toujours aveuglé malgré ses lunettes de soleil, il tenta le tout pour le tout en lui faisant son sourire colgate le plus charmeur.


"Ciao Bella, je t’invite à prendre un verre ?"
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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeDim 3 Juil - 9:53

Le soleil, la mer, le sable fin sous ses pieds, les corps dénudés sur la plage, les cris et les rires des enfants... Et la foule, cette foule immense venue profiter du soleil et de la mer en cette chaude journée d'été. Dans cette foule, elle avait du mal à retrouver son cher petit Feliciano, qui lui avait donné rendez-vous. Le sachant grand amateur de jolies femmes, chaque fois qu'elle voyait un groupe de dragueurs, elle se retournait afin de regarder à travers sa paire de lunettes de soleil si l'un d'eux n'était pas ce pas-aussi-innocent-qu'on-voulait-bien-le-croire jeune homme.

Le souci, c'est qu'il y avait BEAUCOUP de dragueurs. Qui sifflaient à son passage, qui la complimentaient sur ses formes mises en valeurs par son bikini rouge sang, sur sa coiffure, sur ses lèvres boudeuses de ne pas avoir encore réussi à dénicher Feliciano. Elle allait se mettre en retard, à le chercher ainsi et chez elle, le retard est inexcusable. Espérons que dans la culture italienne, une jeune femme qui se fait attendre est plutôt accepté...

Se détournant d'un énième groupe de jeunes hommes en quête d'une jolie fille, elle tomba sur un jeune homme torse-nu à la peau légèrement dorée par le soleil, plissant ses yeux à travers ses lunettes de soleil, une étrange mèche rebelle flottant d'un côté de sa tête... Bingo.


- Ciao Bella, je t’invite à prendre un verre ?


Elle éclata de rire. Apparement, il ne l'avait pas reconnue, ayant le soleil en pleine face -ça aurait été une version féminine de Prusse, elle aurait pensé « c'est mon awesome présence qui l'éblouit comme ça ! »-.


- Szervusz Feliciano ! Hé bien... Si Roderich te voyait me saluer ainsi, je ne doute pas qu'il désapprouverait complétement... Mais je veux bien que tu m'invites, je meurs de soif !


Elle se laissa limite tomber assise dans le sable chaud à côté de l'Italien. Cela faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vus, enfin, hormis lors des meetings européens mais c'était autre chose, ça. Elle avait accepté de bon coeur ce rendez-vous, dès qu'il avait su qu'elle était de passage en Italie pour gagner quelque argent -oui, Hongrie n'était pas très riche et arrondissait ses fins de mois comme elle pouvait-. Et ici, sur cette plage, elle avait vu pas mal d'argent potentiel à gagner. Enfin... Après cette entrevue avec Feliciano. D'ailleurs elle était curieuse de voir le séducteur à l'oeuvre, lui qui semblait si innocent... Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences. Ludwig aussi paraît très innocent et pourtant, sa réputation d'amateur de choses « extrêmes » n'était plus à faire. Elle avait eu des preuves et avait du revoir son jugement. Comme quoi, peut-être ceux qui en parlent le moins en font le plus...


Et elle ne put s'empêcher de penser à « N'est-ce pas Gilbert ? »


- Alors comment ça va ? Toujours pas trouvé de petite femme ou de mari ?


Elle appuya ses paroles d'un clin d'oeil. Sans doute, Feli était tel qu'étaient de réputation les hommes de son pays : des collectionneurs qui ne s'attachaient point..
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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeDim 31 Juil - 22:31

Feliciano coupa sa respiration quelques secondes en reconnaissant la voix de la hongroise. Certes elle ne l’avait jamais pris pour cible pour faire atterrir sa poêle, mais il valait mieux rester tout de même sur la défensive… au cas où celle-ci changerait d’avis.
Ah vraiment ! Heureusement qu’elle prenait sa bourde plutôt bien, il allait donc pouvoir discuter autour d’un verre qu’il allait payer cinq euros dans un bar attrape touriste du bord de plage, mais qu’importe, elle allait maintenant s’asseoir près de lui et il allait pouvoir discerner autre chose qu’une ombre…


"Veveve, évidemment que n…"




Puttana...


"Hela... Je vais chercher les boissons tout de suite!"


Et c’est au pas de course, bien que ralenti par le sable, que l’italien partit chercher les boissons. Mince! Dans la précipitation il avait oublié ce qu’elle voulait! Ah tant pis, il prendra quelque chose de basique. Sans grande délicatesse, la jeune nation s’étala les bras sur le bar sous le regard interrogateur du barman qui nettoyait ses verres nonchalamment avec une serviette.
Il l’avait parcouru entièrement du regard au moins de deux secondes, et sans mentir, elle était incroyablement sexy dans ce maillot de bain rouge, sa fuite avait été plus que necessaire, son visage avait tourné aussi rouge que les tomates de son grand-frère. Heureusement, il n’avait pas eu d’autre réaction encore plus gênante... Mais n’était-ce pas un peu malsain de penser ça de sa mère adoptive? Celle qui vous a vu grandir et s’était occupé de vous? Oui, surement pour un humain... Mais pour une nation alors? Les règles étaient-elles les mêmes?


"Merda, elle est beaucoup trop se... jolie, je devrai faire quoi moi... Ve…"

"Je sais pas, mais si vous voulez la garder pour vous, vous devriez être à ses côtés plutôt qu’ici. Sinon ça risque d’être dangereux pour elle."


Le barman montra par la même occasion la belle nation du doigt alors que le vénitien releva le regard et tourna la tête vers son invité. Des Italiens en chasse tournaient comme des loups autour de leur proie et s’en approchaient lentement. Et elle, pauvre brebis égarée, ne semblait pas s’inquiéter de ces italiens en pleine saison chaude. Effectivement, ça devenait dangereux... Et il connaissait bien ces bêtes-là puisqu’il était un loup lui-même.


“Hela... Deux chinotto per favore!"


Et ce fut en courant de nouveau qu’il revint auprès de la hongroise qui attirait tous les regards avec deux bouteilles de chinotto. Le chinotto était un soda fait avec un agrume oriental cultivé sur la côte Ligure. Son gout amer était particulièrement apprécié des Italiens.
Chassant par la même occasion les dragueurs en grognant, Feliciano reprit sa place sur sa serviette en lui donnant sa boisson. Se demandant comment elle allait pouvoir sortir saine et sauve du pays ; il se devait de lui demander comment elle allait pouvoir gérer la situation.


"Dis-moi, ça ne te fait pas peur de tous les attirer comme ça? Tu n’as pas eu de problème pour arriver jusqu’ici?"
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Elizaveta / Hongrie


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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeSam 6 Aoû - 19:32

Elle ne put s'empêcher de sourire une fois qu'il put la voir, le soleil ne l'aveuglant plus. Et la réaction de l'Italien ne se fit pas attendre : déglutissement, phrase coupée net puis changement brusque de sujet pour mieux fuir un instant cacher les teintes pourprées qui ornaient ses joues.

TOUS. Tous les mêmes.


Feliciano parti chercher de quoi se désaltérer, la Hongroise en profita pour étaler sa serviette à côté de celle de son homologue puis de s'allonger dessus. A plat ventre, face à la mer, battant nonchalamment des pieds dans l'air tout en regardant les torses dénudés et humides des beaux hommes les gens s'ébrouer joyeusement dans les vagues, elle l'attendait.


Oh, les mecs avaient bien vu qu'elle les matait. Et une jeune femme, seule, sur la plage, évidemment qu'ils allaient voir « si mademoiselle n'avait besoin de rien ». Elizaveta souriait de plus belle : si ils savaient ces pauvres innocents, qu'ils avaient devant eux une dame âgée de plus de mille ans ! Bon, cela la rassurait quand même pas mal quand à son potentiel de séduction -finalement peut-être n'aurait-elle même pas besoin de se faire tatouer un clavier de piano sur le corps pour reconquérir le litle coeur de Roderich ?-.


Peu après, Feliciano revint avec les rafraichissements et chassa avec véhémence les parasites qui avaient envahi leur espace vital. Elizaveta ne put s'empêcher de rire tout en le remerciant pour le soda. C'était presque comique de voir le jeune italien lancer des regards noirs et des insultes à l'égard des mecs qui partaient chasser d'autres proies. Qu'il avait changé depuis ce temps où il ressemblait tellement à une petite fille avec sa bouille angélique qu'elle l'habillait de ses vieilles robes au point que tout le monde dans le grand manoir germanique avait cru que le charmant bambin était une petite fille. Ce qui valait à Feliciano l'honneur de se baigner et de se faire laver par les dames de la maisons, dont elle vu qu'elle en avait la charge. Etait-ce de ce contact prolongé avec le beau sexe qu'est né l'instinct de séducteur de l'Italien ?


En tout cas, maintenant... C'était un homme qui se tenait à ses côtés. Oui... On pouvait même distinguer la naissance d'une barbe sur sa peau légèrement bronzée. Un homme qui semblait tout à coup bien jaloux qu'elle se fasse draguer par ces beaux mecs.

- Dis-moi, ça ne te fait pas peur de tous les attirer comme ça? Tu n’as pas eu de problème pour arriver jusqu’ici?

La Hongroise but une gorgée du soda avant de répondre. C'était délicieusement frais, pétillant, amer. Parfait, somme toute.

- Mon petit Feli... Il y a bien 250 ans j'ai explosé à mains nues l'armée prussienne. Je fous régulièrement des corrections à ce branleur de Gilbert et à cette sangsue de Roumanie. Alors, ce ne sont pas trois minets avec pas grand chose dans le slip de bain qui me font peur. Mais c'est gentil de t'inquiéter pour moi.


Elle n'avait pas pu s'empêcher de faire craquer les jointures de ses doigts à l'évocation de ces deux blaireaux qu'étaient Prusse et Roumanie. C'était plus fort qu'elle.
Ah ! Une question lui traversa soudainement l'esprit mais elle ne savait pas si elle devait ou oserait demander ça à Feliciano. Est-ce que le topless était autorisé sur cette plage ? C'est pas que mais les traces de bronzage sur la poitrine, c'était pas génial... Et puis surtout merde ! Les mecs se baladaient bien sans haut alors pourquoi pas elle, hein !?
Mais c'était Feliciano quand même, c'était pas n'importe qui, c'était comme son petit frère... Même si c'est vrai que gamin, il l'avait déjà vue complétement nues mais là c'était différent, c'était un homme maintenant.

Allez, la fuite c'est pour les lâches, affronte le problème en face comme une guerrière, ma fille !!!

- Hmmm... Dis... Oui, dis-moi mon petit Feli... Tu sais si c'est autorisé par tes contrées chaudes, de bronzer sans le haut ?
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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 21:26

Feliciano se gratta l’arrière de la tête, visiblement gêné, son accueil n’avait pas été très chaleureux et amical. Mais il fallait le comprendre aussi, il n’avait pas vu la belle hongroise aussi dénudée depuis longtemps. La dernière fois remontait à quelle époque d’ailleurs ? Il ne savait plus si la situation s’était répétée, mais il se souvenait d’un épisode bien particulier.

Encore un très jeune enfant, Feliciano avait emménagé dans la maison des Habsbourg pour être au service de Roderich. Les bains médiévaux de l’époque étaient encore mixte, mais l’enfant vénitien ne l’avait jamais partagé avec une femme… jusqu’à ce jour. Alors qu’il se baignait un matin avant de prendre son service, la hongroise s’était introduit dans la pièce. Il lui avait proposé de partir pour la laisser tranquille, mais celle-ci insista pour qu’ils prennent leur bain ensemble. Gêné, il se posa dans un coin, loin d’elle. Cependant, Elizaveta vint vers lui et le prit dans ses bras, prétextant qu’elle le trouvait adorable. Le vénitien n’oublia pas cette sensation étrange de sa poitrine appuyée contre son dos, ce touché si agréable qu’une vague de chaleur indescriptible lui avait parcouru tout le corps.

Cet épisode l’avait marqué à jamais et avait changé ses relations avec les femmes. Cette sensation nouvelle, il avait cherché à la retrouver, toujours, encore et encore… Le quiproquo concernant son sexe aidant, il prit par la suite de nombreux bains avec d’autres femmes, une curiosité encore innocente jusqu’à l’arrivée de son adolescence. Il découvrit alors bien plus sur ces descendantes d’Eve et ne se lassait jamais de poser les mains sur elle et en apprendre chaque jour un peu plus ; jusqu’à ce que Venise devienne « Le bordel de l’Europe » au cours du XVIIIe siècle. Une ville où le plaisir de la luxure se trouvait à chaque coin de rue, toutes classes confondues.

Le rire cristallin de la hongroise sonna comme les touches de piano de l’autrichien, si mélodieuses à ses oreilles. Qu’importe si elle se moquait de lui à ce moment, la voir si radieuse ne lui faisait que trop plaisir. L’italien à la peau dorée par le soleil, à la barbe tout juste naissante et au short de bain arrivant au-dessus du genou tourna le regard sur les formes gracieuses de la hongroise, passant plusieurs fois d’ailleurs sur ses cuisses et ses fesses… Grand Dieu, pourquoi des pensées pas vraiment catholiques tournaient ainsi dans sa tête ?


"Helahela… Des minets avec pas grand-chose dans le slip ? Tu sais que tu parles des Italiens que je représente là ? Tu me considères comme ça ?"


Non pas qu’il prenait vraiment l’insulte pour lui, mais il était bien curieux de savoir si elle avait la même opinion pour Feliciano. Il savait très bien qu’elle le comptait pour un jeunot par rapport à elle, mais le considérait-elle comme un gringalet à peine sorti de l’adolescence ? Car pour lui, il y avait quand même une différence…


"T… T… Topless ?"


Le mot magique avait été prononcé, retournant toutes les personnes qui avaient pu entendre la conversation. Les hommes avaient des étoiles dans les yeux, les jeunes filles ne donnaient aucune réaction, les enfants semblaient bien curieux d’en savoir plus et les mères de familles auraient vendu leurs âmes au Diable pour envoyer la hongroise en enfer. Feliciano faisait bien entendu partie de la première catégorie, mais étant particulièrement proche de la personne qui lui demandait, ses joues reprirent une couleur tomate.


"Ah… Oui oui, bien sûr, tu peux… Ve…"


Le jeune Vargas ne quitta pas ses yeux ambrés de la poitrine d’Elizaveta, ne voulant pas perdre une miette du spectacle qui allait lui être offert. Pourvu qu’il puisse se contrôler jusqu’au bout… Et les loups autour d’eux également, c'est pourquoi il se préparait également mentalement pour fuir avec cette belle femme dans ses bras.

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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeLun 12 Sep - 8:29

Lorsque l'Italien lâcha un « Topless ? » très sonore, visiblement étonné mais à la fois alléché, vu le regard brillant de ce dernier, Elizaveta ne put s'empêcher de rire une nouvelle fois. On lui présenterait la Coupe du Monde de football elle-même devant lui, il ne la regarderait pas avec autant de convoitise qu'il ne le faisait à l'instant même avec sa poitrine.

Tous les mêmes, les hommes, devant une paire de seins qui étaient prêts à quitter leur enveloppe. Tous les mêmes, avec leur regard sombre de désir et leur respiration qui s'accélérait. Même le plus distingué des gentlemen ne pouvait pas contrôler la dilatation de ses pupilles ni le rythme effréné de son coeur. Après tout, si on lui présentait une chose extrêmement désirable, comme ce qui se trouve sous la ceinture d'un bel homme, elle réagirait pareil. Mais Elizaveta trouvait ça tellement amusant de mener par le bout du nez n'importe quel mâle en dévoilant de ci de là un morceau de peau blanche. C'était bien le seul avantage à être une femme et elle comptait en jouer autant qu'elle pouvait pour dominer le sexe qu'on disait « fort ».


- Ah… Oui oui, bien sûr, tu peux… Ve…


C'était si amusant de voir l'air et le temps comme se figer autour d'elle, de nombreux regards masculins braqués sur ce morceau de tissu noir qui recouvrait encore sa poitrine, alors qu'elle déliait les ficelles qui retenaient encore un temps prisonniers certains atouts de sa féminité.


- Dans les yeux, mon petit Feli, dans les yeux...


A croire que la bande de mecs stagnant sur cette plage, Feliciano y compris, n'avaient jamais vu une paire de nibards de leur vie. Quel injustice pour ces dames de ne pas avoir le droit de se balader torse nu sur les plages ou ailleurs alors que les mecs eux, pouvaient. Quoique qu'Elizaveta ne savait pas si ça faciliterait le commerce vu que le désir nait de ce qui est caché... Enfin, la Hongroise pestait quand même intérieurement contre cette inégalité abjecte dans l'exposition du corps. On n'avait qu'à faire tous comme Ludwig, tiens. Tous entièrement à poil. Tous égaux. Sur cette profonde réflexion, elle se laissa retomber sur le dos sur sa serviette, tendant sa main vers l'Italien.


- Tu me passes le tube de crème, kérem ?


Si elle se mettait à brûler la peau fragile de cet endroit peu habitué à voir la lumière du jour, c'en était fini de son commerce. D'ailleurs, Elizaveta espérait que les nombreuses étudiantes hongroises qui venaient en vacances en Italie prenaient bien soin de leur peau par ce soleil de plomb. Elle savait que les étudiantes ne venaient pas ici que pour passer des vacances à pas trop cher. Mais aussi pour gagner de l'argent en vendant leur corps afin de payer leurs études. Habituellement, les jeunes femmes se prostituant en Italie étaient très cultivées et avaient déjà pas mal d'années d'études dans leurs bagages. Mais étudier ça coûte cher, alors autant gagner sa croûte comme on pouvait. Chez elle, ça n'avait rien de très choquant : son pays était pauvre, miné par la corruption et les hommes envoient sans scrupules leurs femmes « ramener de l'argent » quand certaines ne sont pas confinées au foyer. D'un côté, pour ces jeunes femmes, vendre d'elles-même leur corps pour faire de hautes études et ensuite, s'arracher à la misère du pays étaient un moindre mal.

Après tout... Elizaveta commençait à faire pareil. Elle n'avait pas d'argent alors autant aller le chercher où il se trouvait. Et puis, d'une certaine façon... Elizaveta aimait l'emprise qu'elle avait sur le genre masculin. N'est-ce pas mon petit Feli ?
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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeVen 23 Sep - 21:05

Dans les yeux ? Sérieusement, comment était-il censé faire ça hein ?! Une déesse s’apprêtait à dévoiler l’une des plus belles choses de l’univers et il devait se forcer à la regarder dans les yeux ? Pas question ! Après, les réactions qui pouvaient se manifester sous son short, il était capable de les contrôler un minimum, Feliciano n’était pas homme du genre à suivre son instinct animal à moins qu’on lui en donne le droit. A cela, l’italien lui fit un sourire chaleureux.


"Dans les yeux ? Mais je suis bien trop faible pour ne pas céder à la tentation, ve."


En clair, soit elle se cachait, soit le vénitien n’allait pas lâcher sa poitrine du regard. Les ficelles glissaient bien trop lentement pour lui, mais il se délectait du spectacle de ses mains fines en passant discrètement sa langue sur ses lèvres tel un loup affamé devant le spectacle d’un agneau s’égarant de son troupeau.
Finalement, les chœurs chantèrent alléluia dans sa tête. Oh oui, le bonheur ne tenait pas à grand-chose, un petit plaisir de la vie que mère nature avait offert aux femmes en partie pour le regard des hommes. Quelle réaction aurait-il eu si le bain qu’ils avaient pris ensemble dans le passé se serait déroulé à présent ? Le dénouement n’aurait certainement pas été le même.

Aller mon petit Feli, tu en as vu d’autres, jamais aussi bien foutu certes, mais ce n’était quand même pas des seins magiques qui exauçaient vos vœux lorsque vous les preniez dans vos mains !
… Quoique…
Secouant la tête pour chasser ces idées farfelues, le jeune Vargas attrapa le tube de crème et le donna à celle qui fut à une époque sa mère de cœur.


"… Tu veux que je t’aide à en mettre dans le dos ?"


La question était sortie toute seule, sans qu’il ait eu le temps de réfléchir à sa formule. Un réflexe de dragueur sans doute, mais il ne revint pas pour autant sur sa parole. Pas de mine faussement choquée, pas d’excuse, l’italien n’avait qu’une envie, poser ses mains sur sa peau de satin.
Oh elle n’avait pas à s’inquiéter du commerce de ses étudiantes dans son pays, les Italiens appréciaient grandement les Hongroises, peut-être un peu trop d’ailleurs car elles devaient déclencher un bon nombre de jalousies dans la gente féminine italienne. Était-il d’ailleurs déjà arrivé qu’une hongroise épouse un italien ? Ah oui, un couple de stars, lui italien et elle hongroise, c’était marié en 1991. Rocco Siffredi et Rosa Caracciolo née Rozsa Tassi, ancienne miss Hongrie. Le mariage était superbe d’ailleurs… De quoi ? Ils étaient tous les deux acteurs pornos ? Et alors ? Cela prouvait au moins qu’Elizaveta et Feliciano pouvaient s’affronter dans une activité bien plaisante.
Les yeux ambres de l’italien revinrent enfin croiser ceux émeraudes de la belle nation sans détacher son sourire de séducteur.


"Enfin c’est comme tu veux, ve."

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Le regard brillant de l'Italien sur son corps était franchement amusant. Jamais elle ne l'avait vu les yeux si ouverts ! Lui qui a passé des siècles les yeux constamment plissés au point que l'on aurait pu en oublier leur couleur noisette dévoilait soudainement ses deux prunelles brillantes, avides et brillant d'un sombre désir. Ah, les hommes, ces faibles créatures... Petit Feli, sauras-tu te contrôler et contrôler ton corps, ce serait tellement drôle de voir ton short de plage déformé au vu de tous...

Enfin, déjà, elle ne regardait plus que le ciel bleu, sans aucun nuage, allongé sur sa serviette, devinant plus qu'autre chose les yeux des mâles braqués sur son opulente poitrine. Ces latins, des bons vivants toujours partant pour de la bonne chère -et de la bonne chair aussi-, pas comme ses germaniques rigides mais tellement passionnants à dégivrer, tellement leurs pulsions sont enfouies sous des couches de blindage...


- … Tu veux que je t’aide à en mettre dans le dos ? Enfin c’est comme tu veux, ve.


Paresseusement, comme si le soleil et la chaleur l'endormait alors qu'elle sirotait la boisson citronnée, elle se retourna lentement et offra son dos à l'Italien en guise de réponse. D'un geste de la main, elle écarta sa chevelure pour laisser son dos libre. Pourquoi refuser un petit massage si gentiment offert ? Enfin offert... Mentalement Eli faisait le compte entre la valeur de l'offert pour mieux juger de ce qu'elle devra sans doute rembourser. Et pas au dernier des kékés, non, il s'agissait de l'Italie qui d'ailleurs était très bien placé dans le classement des meilleurs amants du monde et cela pourrait sans doute être intéressant. Oh, pas qu'elle veuille ou ne veuille pas vérifier la réputation de Feliciano, ce n'était pas la question. Quoique... Chacun aurait sa réputation à défendre mais il fallait rester dans l'équitable, hors de question de donner plus que ce qu'on lui offrirait, business is business, même et surtout dans ce domaine.


Enfin, elle n'avait plus tellement la tête à calculer les pours et contres, la valeur des choses et tout ce qui avait trait au commerce alors que deux mains larges et très légèrement calleuses allaient la masser, faire pénétrer le crème dans sa peau, que le soleil lui réchauffait le corps et que la brise marine lui chatouillait la plante des pieds. Juste se laisser aller, au moins un instant. Et si Feliciano voulait tenter quelque chose, elle lui présenterait la facture, au pire. Non, le pire c'est qu'elle doive employer la force mais Feli n'était pas du genre à être un prédateur sans scrupules, non ? Même si elle était loin son innocence ou il était une petite fille, d'ailleurs il était tellement chou dans ses petites robes et il ressemblait tellement à une gamine qu'elle et lui réussirent à tromper Roderich jusqu'à l'adolescence de l'Italien... Ah belle époque. En un sens, elle pouvait considérer qu'ils étaient un peu pareils : elle une fille élevée comme un garçon et lui, un garçon élevée comme une fille. Jusqu'à que l'adolescence arrive...


Elle soupira longuement. Cela remontait déjà à si loin...


- Tu te rappelles Feli, quand tu étais... Petite ? Je me demande comment ça se fait que tu ne te sois jamais trahi toi même dans tes comportements et autres... Tu jouais vraiment la parfaite petite fille ! Tu étais tellement mignonne dans ta petite robe. Je suis certaine qu'une robe comme ça t'irait très bien encore !
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Il ne lui fallut pas plus que ce geste qui était simplement de se coucher sur le ventre et de retirer sa longue chevelure d’une seule main pour lui faire comprendre qu’elle acceptait sa proposition. Dans ce genre d’affaires, Feliciano paraissait beaucoup plus intelligent qu’à l’accoutumé, à croire qu’il réfléchissait plus avec ce qu’il avait en dessous de la ceinture qu’avec sa tête. Mais c’était comme ça pour la plupart des hommes… Non ? Certes il y avait des exceptions, Roderich n’avait certainement pas l’air de ne penser qu’à ça. Peut-être était-ce d’ailleurs la raison pour laquelle Elizaveta en était amoureuse.

Mais que les choses soient claires, Feliciano n’était pas né de la dernière pluie. Étant une nation, il avait vécu assez longtemps pour savoir contrôler son corps ! Quoiqu’en la déshabillant du regard (… du peu de vêtements qui lui restait), il était certain qu’il n’avait pas proposé de lui étaler de la crème dans le dos dans une autre optique que de la tripoter. Mais il ne cherchait rien d’autre en retour, quelle générosité n’est-ce pas ? Non, sérieusement, poser ses mains sur elle était déjà une chose qui lui faisait extrêmement plaisir, mais il ne refuserait évidemment aucun geste hm… affectueux de sa part en retour.

Feliciano passa finalement une jambe par-dessus les cuisses de la hongroise pour se retrouver à quatre pattes au-dessus d’elle. Et hors de question de s’asseoir sur la moindre parcelle du corps de cette belle nation au risque de se faire prendre pour un être un peu trop efféminé… ou trop collant. Aussi prit-il appui sur la pointe de ses pieds et s’assit sur ses jambes pour se retrouver au-dessus de son dos tout en ayant crée un vide de quelques centimètres entre elle et lui. Là, il étala de la crème sur ses mains et commença à masser délicatement sa peau. Elle était douce, chaude et un peu plus blanche que la sienne. Descendant de ses épaules au creux de ses reins dans des allers-retours lents et soignés ; l’envie de faire parcourir ses mains dans des endroits plus reculés et plus attirants se faisait de plus en plus forte. Ses mains devenaient plus brulantes que le dos de la hongroise, son esprit imaginait des choses vraiment peu convenables et son corps le suppliait de suivre son instinct animal.


- Tu te rappelles Feli, quand tu étais... Petite ? Je me demande comment ça se fait que tu ne te sois jamais trahi toi même dans tes comportements et autres... Tu jouais vraiment la parfaite petite fille ! Tu étais tellement mignonne dans ta petite robe. Je suis certaine qu'une robe comme ça t'irait très bien encore !


Et paf ! Tout était redescendu comme si on lui avait balancé un sceau d’eau froide sur la tête. Son regard se referma à nouveau pour cacher la couleur de ses yeux dans une mine complètement dépitée. Et bien qu’elle ne puisse pas le voir dans sa position, Elizaveta devait sentir cependant ses mains s’arrêter soudainement dans leur mouvement.


"Je ne suis plus une petite fille… Hela, non, je n’ai jamais été… Enfin… Ve… Au début, je ne connaissais pas vraiment la différence entre un homme et une femme. Après, lorsque je me suis rendu compte de cette distinction, j’ai pu remarquer que les femmes étaient traitées avec plus de délicatesse et n’était pas mêlées aux combats qu’apportaient les guerres. Peut-être est-ce pour ça que j’ai continué à me faire passer pour une petite fille, pour éviter ça… Ve… Enfin de là à avoir encore l’idée de me faire porter des robes ! Je n’ai pas les formes ni l’allure d’une femme quand même… N’est-ce pas ?"


… D’autant plus qu’il ne l’avait pas attendu pour retenter l’expérience. Il avait mis une robe et s’était fait passer pour une femme devant Kiku pour le premier avril. Et il l’avait cru en plus, à cette nature cachée. Trop naïf ou Feliciano ressemblait vraiment à une femme ? Il espérait de tout cœur que la première solution était la bonne.
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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeLun 24 Oct - 8:09

Elle appréciait le massage, les pression des doigts italiens sur son dos, sentir la crème glisser et pénétrer sa peau, chauffée par le soleil. Elle sentait le poids de l'Italien via ses doigts, sa force féline, tout en patte de velours, en souplesse et force. C'était agréable, très agréable même si elle sentait sur elle le regard enflammé du Vénitien, et tous ses efforts pour ne pas à avoir à frôler de ses régions vitales l'arrière pays hongrois...


C'était peut-être, même sans doute, la seule chose qu'elle appréciait depuis qu'elle était devenue une femme, cette emprise qu'elle pouvait avoir sur la gente masculine... Puisqu'elle n'était définitivement plus admise dans la catégorie des hommes, qu'elle ne pouvait dominer les autres dans le temps par la force et l'effroi, que son corps n'avait pas connu le même développement que ses nombreux voisins, rivaux, amis d'enfance, elle avait trouvé sur la tard cette arme féminine, fourbe certes, mais terriblement efficace. Mais il fallait refroidir un peu les ardeurs qu'elle sentait à travers les doigts qui pétrissaient sa peau et sa petite réplique à propos d'un passé peu glorieux pour l'Italien eut son petit effet. Pauvre petit...


- Enfin de là à avoir encore l’idée de me faire porter des robes ! Je n’ai pas les formes ni l’allure d’une femme quand même… N’est-ce pas ?


Elizaveta ne put s'empêcher d'avoir un petit éclat de rire à l'écoute des paroles de Feliciano. Non pas un rire moqueur mais une sorte de petit rire joyeux. Il se cachait derrière des robes de fille pour ne pas faire la guerre, elle se prenait pour un garçon quand elle avait le même âge pour l'amour des batailles. Elle avait vu en avril dernier des photos de Feliciano traversti en jeune femme pour faire mousser Kiku, et elle devait avouer que c'était assez réussi. Feliciano n'était pas extrêmement grand -bien que bien plus grand qu'elle quand même, cela la faisait toujours enrager un peu ces hommes qui grandissent plus que les femmes- et malgré les épaules bien trop carrées pour la robe blanche et rouge, elle devait avouer que, de loin, il était très crédible en femme.


- Je t'assure, de loin ça passe plutôt bien, j'ai eu quelques clichés de toi assez récents et j'avoue que c'était relativement réussi. Je t'envie, je crois. C'est tellement plus facile pour toi de redevenir l'espace d'un instant une fille que moi un mec ! Regarde ma poitrine et mes fesses, comment tu veux faire avec ça ?


Elle aurait tant aimer rester dans le passé, dans son identité de mec, où son prénom n'était jamais révélé et d'ailleurs elle n'en avait jamais jusque là jugé la portée féminine de ce dernier. C'était une belle époque, où elle était crainte et respectée pour sa force, ses conseils militaires étaient écoutés, elle allait à cheval de bataille en bataille, comme toute nation autour d'elle, tous des garçons... C'était une sorte d'âge d'or pour elle, avant que ce connard de Sadiq s'en mêle et ne lui mette la vérité en face. D'une façon assez brutale autant physiquement que psychologiquement, elle ne se reconnaissait plus, ce n'était plus « lui », « il » était devenu « elle ». Depuis, elle compensait pour ce qu'elle n'avait pas dans son pantalon en désirant posséder ceux des hommes forts, ceux capables de maîtriser sa furie et de lui donner symboliquement la force avec leur bâton de pouvoir.


- Feli... On est pas si différents, en fait. Sauf que peut-être qu'enfant tu avais plus conscience que moi de ton genre réel ? Je sais pas. J'aurais aimé rester dans la peau d'un mec.

La Hongroise soupira longuement, pleine de regrets de cette époque passée. Elle enfouit son visage dans ses bras, laissant sa longue chevelure brune s'éparpiller sur la serviette de plage.
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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeMer 26 Oct - 21:55

L’italien n’apprécia pas vraiment l’éclat de rire que fit résonner Elizaveta. Non pas qu’il pensait qu’elle le trouvait encore bien féminin, cependant en grandissant le jeune Vargas avait développé un trait de caractère bien propre à la gente masculine : la fierté mal placée. Autant à l’époque il se fichait bien de ce que les autres pouvaient imaginer de lui, autant aujourd’hui il apprenait plus vite de ses erreurs et essayait d’éviter les quiproquos ; se contentant par exemple de faire une blague à un japonais sans continuer à se travestir par la suite. Feliciano aimait les pantalons, les chemises, les cravates, les cheveux plutôt courts et ne s’amusait pas comme le polonais à mettre des jupes à tout va !


"De loin hein, ve… Tant que ce n’est que ça. Mais je n’ai pas à être envié, je ne veux pas me faire passer pour une femme en tout temps. Pour toi par contre, à part demander à l’anglais d’utiliser ses pouvoirs bizarres, j’ai bien une autre solution bien qu’un peu moins efficace."


Feliciano afficha un grand sourire jusqu’aux oreilles, le genre de visage joyeux qui donnait envie de lui foutre un pain dans la figure tant il paraissait stupide. Mais qu’importe, se retenant bien de faire sa folle en s’écriant « Ma ché’li tou vas êt’le magnifique ! » pour imiter cette femme dans cette étrange émission française qui transformait les gens pour qu’ils ne se fassent plus insulter dans la rue s’intégrer dans les critères de beauté, le vénitien avait sa petite idée en tête.


"Tu veux que je tente de cacher tout ça ? Ve ? Personnellement ça ne me plairait pas de faire ça, tu comprends bien pourquoi. Hela… Cacher des aussi belles courbes me ferait mal au cœur, mais si c’est ce que tu souhaites…"


Transformer Elizaveta, c’était une solution pour tripoter ses formes, faire son voyeur. Là on ne pouvait vraiment pas mentir, bien sûr qu’il en profiterait un peu tant qu’elle le laisserait faire à son bon vouloir. Enfin… A condition qu’elle accepte de jouer en partant en ville avec lui. Etaient-ils si semblables au final ? Son sourire se réduit pour devenir plus énigmatique, peut-être même plus inquiétant. Laissant les paumes de ses mains plaquées sur ses omoplates, le vénitien se baissa pour se retrouver le visage près de son oreille. Là, sa voix se transforma, utilisant un ton bien plus bas et plus grave.


"J’ai pleinement vécu ma vie de « petite fille » mais je suis plutôt satisfait d’être devenu un homme maintenant. Je ne regrette rien."


Peut-être qu’il allait l’effrayer à agir comme ça. Peut-être allait-elle se retourner et le frapper assez fort pour lui faire perdre connaissance. Non, la hongroise n’était du genre à s’effrayer pour si peu, si ? Et puis, elle connaissait bien l’italien, il n’était pas du genre à tenter ce qui pouvait lui être nuisible… Quoiqu’il était en proie à des hormones lui aussi, comme tout autre homme adulte. Alors entre son manque de courage et ses pulsions ; qui l’emportera ? Chez un italien, c’était toujours difficile à deviner.

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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeLun 31 Oct - 18:27

Comment ? Il osait proposer une réponse à son problème de virilité mal placée ? Sans doute un travestissement, elle en était sûre. Mais même avec ça, comment ignorer sa poitrine et ses hanches ? Et c'est pas comme si elle n'avait jamais essayé de mettre des fringues de mec. Même les soutifs minimiseurs et tout, ça n'aidait pas. Elle avait trop de formes, symbole de la fertilité de ses terres. Elle s'en serait bien passée, tiens, elle aurait préféré être un petit pays montagnard sans rien d'attrayant comme Lili, dont elle enviait le physique androgyne. D'ailleurs, elle dormait avec des fringues de mecs, avec un caleçon et une chemise piqués à Roderich. Certes, son imposant arrière pays se retrouvait moulé dans le sous vêtement masculin et elle ne pouvait fermer en entier la chemise mais... C'était si sympa à porter ces fringues, et pas seulement parce qu'elles étaient à son bien aimé. Certes, dans l'idéal, question taille, il faudrait qu'elle pique des trucs à Ludwig, Berwald ou Ivan qui seuls pouvaient avoir un poitrail aussi imposant que sa masse mammaire mais elle doutaient qu'ils apprécieraient. Enfin bref...


Et lui qui le narguait encore par dessus le marché qu'il était plus que satisfait de sa vie d'homme ! Elle voulait bien le croire ! Être un homme, c'était le pouvoir, la force, la constitution robuste, le respect naturel, l'absence « naturelle » de corvées , ces foutus règles en moins, et le droit de faire bien plus de choses que les femmes parce que « c'est pas beau une femme qui jure/crache/bois/parle de cul/etc. ». Mais pourquoi était-elle née su mauvais sexe ! En plus un mec peut enculer et se faire enculer et elle, elle pouvait même pas prendre un mec, sauf avec des artifices. Bref, la vie était vraiment injuste.


- T'as une idée derrière la tête toi... Tu veux t'amuser à me travestir comme tu l'avais fait une fois avec Francis ? J'ai eu quelques échos...


Elle savait que les deux latins étaient plus ou moins rivaux en matière de mode et elle avait entendu quelques ragots sur Francis qui avait été obligé de porter des talons hauts par Feliciano... Oh qu'elle aurait aimé voir ça ! Sauf qu'elle était une femme, qu'elle savait porter ce genre de trucs pour paraître plus grande -et pour aguicher le mâle, c'est vrai, c'est vrai elle avouait- et donc elle se demandait quand même quelle plan saugrenu se tramait dans l'esprit du jeune Italien.


Se retournant sur sa serviette puis se redressant pour lui faire face, elle ne put manquer de remarquer le sourire jusqu'au oreilles que le brun arborait. Certes, Feliciano était quelqu'un de beaucoup plus souriant que la moyenne mais son intuition lui disait que ce sourire-là n'était pas un des nombreux sourires innocents qui étaient accrochés à son visage à longueur de journée. Non, on aurait dit le sourire qu'il arborait devant une énorme platée de pastas, le sourire d'un homme qui a faim. Et Elizaveta pouvait aisément deviner le genre de faim qui tenait au ventre de l'Italien à cet instant. Surtout quand il avait une paire de seins à hauteur des yeux.


- Expose ton plan. Mais pas de bêtises, tu sais comment je suis avec ceux qui outrepassent mes limites...


La Hongroise eut aussi un petit sourire, un de ceux qui évoquent un souvenir particulièrement plaisant, comme le brisage d'os en règles d'un certain Prussien à coup de poêle ou encore le cassage de dents d'un certain Roumain. Très plaisant, vraiment, comme souvenirs.
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MessageSujet: Re: [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta]   [Vers 2010, plage de Mortelliccio, Italie N] Quand le chat n’est pas là, les souris dansent [PV Elizaveta] Icon_minitimeMer 2 Nov - 14:43

Bien sûr qu’il savait que la jeune femme avait déjà tenté de cacher ses formes pour se travestir. Mais l’avait-elle fait correctement au moins ? L’art du travestissement n’était pas quelque chose à prendre à la légère si on voulait un résultat convainquant. Certes, Elizaveta avait des courbes oh combien attirantes qui ne facilitaient pas la tâche, mais Feliciano relevait le défi. Allait-elle s’en plaindre ? Il n’y avait pas d’intérêt à cela, si l’italien proposait de dépenser son énergie, son talent (et peut-être son argent) dans le rêve de la hongroise, il serait bien stupide de refuser.

L’italien n’avait pas vraiment conscience que la hongroise en faisait carrément une fixette. Pour lui, le travestissement était un amusement, un passe-temps pour tromper son entourage. Bien qu’à une certaine époque il s’était servi de cela pour ne pas être mêlé aux guerres, être réellement une femme n’avait jamais vraiment fait partie de ses désirs.
Cherchant dans sa petite tête ce qu’il serait le plus adapté aux formes de son ainée, celle-ci cita en exemple Francis qui, il y a très peu de temps, avait subi le bon gout du travestissement de Feliciano. Face à cela, l’italien laissa échapper un rire cristallin.


"Helahela… Pour Francis, c’était une punition. Je ne l’ai pas ménagé, c’est vrai, j’ai dû m’excuser par la suite, ve. Mais pour toi, c’est une proposition, je comprendrai si tu refuses."


Oui il avait fait son petit mafieux avec le français et avait même réussi à le faire pleurer (Quoi ? Venant de lui ça n’avait rien de surprenant ?). Quoiqu’il en soit, celui qui avait dominé cette journée était le jeune vénitien ici présent qui n’avait plus à craindre les guerres et qui en profitait à outrance pour faire aujourd’hui ce qu’il n’osait pas faire avant la seconde guerre mondiale. La paix, ça n’apportait que du bon et de la liberté d’action.

La hongroise se retournant, il était inutile de vous dire que Feliciano était tout bonnement incapable de la regarder dans les yeux. Cette paire de seins était plus qu’hypnotique, elle provoquait des désirs qu’il savait avaient que trop peu de chance d’être assouvi. Pauvre de lui quand même, ce n’était vraiment pas du jeu de le narguer avec ces douces montagnes qui ne lui laissaient plus qu’une question en tête : quelle serait la sensation s’il pouvait les toucher.
Face à cela, le sourire chaleureux du jeune Vargas était devenu celui des loups devant une brebis égarée.


"Hm ? Mon plan ? Ve… Il faut… Il faut…"


Dans son petit monde, Feliciano avançait et reculait ses mains sans la toucher. Il voulait le faire, il voulait lui montrer ce qu’il souhaitait transformer et de quelle manière en la touchant aux endroits décisifs. Un italien, ça parlait avec les mains bon sang ! Elizaveta l’avait mis en garde, il savait ce qu’il risquait, il avait vu les pays victimes de ses coups, bien plus courageux que lui, revenir en pleurant comme des femmelettes (excusez du terme). Mais voilà, temps qu’il était dans l’impossibilité d’utiliser ses mains, il ne parvenait pas à s’expliquer, ni même à faire une phrase complète d’ailleurs.


"... Je peux ?"


Feliciano mima un petit sourire innocent, essayant de faire passer cela comme une intention strictement professionnel. Mais bon, Elizaveta ne devait pas être dupe et se doutait bien qu’il y cherchait aussi un profit personnel. Le marchant vénitien aimait faire marcher son commerce, quel que soit la forme qu’il puisse avoir.
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Oh le pauvre petit brun semblait tout troublé depuis qu'elle était de nouveau face à lui, exposant sa volumineuse poitrine à son regard, ses seins retombant comme deux énormes poires qui semblaient allécher l'Italien. Les gestes des mains de son hôte se firent plus saccadés, son regard semblait hypnotisé et il n'arrivait même plus à terminer ses phrases. Pourtant, elle, n'arrivait pas à voir ce qu'il y avait de troublant devant une paire de seins, dans sa tête, c'était presque plus un symbole de maternité que de sexualité... Est-ce que les femmes faisaient une syncope à chaque fois qu'un mec se mettait torse-nu ?


- ...Je peux ?


Il l'implorait presque du regard pour toucher sa poitrine, soi-disant sûrement pour lui montrer comment il voulait s'y prendre pour effacer momentanément son genre féminin. Mais elle ne lui accorda pas ce plaisir, plaçant elle-même ses propres mains sur sa poitrine, remontant légèrement ses seins et les aplatissant.


Il y eu quelques murmures outrés sur la plage venant de pieuses mères de familles qui voilaient la face à leurs gamins : le topless était toléré parce qu'immobile, un sein peut être beau. Mais ! Qu'est-ce qu'un sein qui se mettait en mouvement pouvait leur sembler obscène !! Alors qu'il n'y avait pas tant de différence que ça, mais au diable les convenance, Elizaveta s'en fichait bien !


- Comme ça tu voulais voir?


La Hongroise plaqua autant qu'elle pouvait son imposante poitrine. Et parce qu'elle avait une forte poitrine, même avec des bandeaux spéciaux, ce n'était pas tout à fait convaincant, elle avait pourtant essayé ! Mais bon, sous des chemises amples ça passait... Mais un autre problème se posait et aucun artifice ne semblait pouvoir masculiniser cette partie de son corps.


- Bon, certes, en aplatissant à mort mes seins, ça peut le faire si je décède pas d'asphyxie. Mais toi qui semble tout savoir, mon cher petit Feli... Je fais comment pour mes hanches ?


Elle relâcha sa poitrine pour pouvoir se mettre à genoux, lui faisant admirer les larges courbes que formaient son bassin et ses cuisses. Certes, elle avait moins de poitrine que sa voisine ukrainienne mais elle avait un arrière-pays bien plus développé. Et la pratique intensive de l'équitation et de la natation, en plus de sa gastronomie qui n'était pas réputée pour sa légèreté, n'avaient pas arrangé la situation. Rarement elle s'en plaignait pourtant, ses cuisses musclées lui permettaient puissance et endurance et son fessier rebondi lui assurait un bon « fond de commerce » mais... Ce n'était définitivement PAS masculin du tout. Et même si des choses existaient pour minimiser les poitrines, il n'y avait rien pour réduire la taille de son bassin, et elle n'irait quand même pas jusqu'à tailler dans l'os pour modifier sa silhouette !


Qu'est-ce que Feliciano pouvait donc bien trouver pour remédier à ce problème ? Elle était curieuse d'entendre et de voir ça !
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Feliciano Vargas/Italie N


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Pourquoi donc Dieu dans sa grande puissance avait-il fait en sorte que les courbes des femmes pouvaient ainsi rendre aussi fou l’esprit des hommes ? Ce n’était pourtant que des vagues, pareilles à celles qui se déposaient sur cette plage, délicates, régulières, douces… Et vos mains, tout votre corps même, se sentaient irrémédiablement attirées par elles. Pas étonnant qu’à une certaine époque, de nombreuses femmes furent traitées comme des sorcières.
Mais ce pouvoir qu’il enviait, Elizaveta n’en voulait pas, pas plus qu’elle ne comprenait l’effet qu’elle provoquait. A vrai dire, Feliciano ignorait aussi pourquoi cela avait un tel effet sur la gente masculine, c’était inexplicable, magique peut-être, toujours est-il qu’il ne pouvait pas lutter contre ça.

Pour compléter sa torture, la hongroise mit ses propres mains sur sa poitrine, lui faisant bien comprendre qu’il ne pourra alors que se contenter de son imagination toujours débordante soit dit en passant. Face à cela, l’italien soupira de dépit, alors que des mères de familles outragées faisant des petites messes basses sur le comportement de la belle femme qu’il avait en face de lui.


"Helahela… Oui c’est ça, mais la poitrine ne fait évidemment pas tout, ve."


Considérant que ce qu’il s’apprêtait à faire n’avait rien qui pouvait ressembler à du harcèlement sexuel, Feliciano posa ses mains d’artiste sur ses épaules pour les glisser délicatement de tout leur long. Quittant sans mouvement brusque ces parcelles de peau délicate, il replaça ses doigts sur son cou, les glissant jusqu’à ses joues où il posa les paumes de ses mains plus halées que le visage de la jeune femme.


"Il faut… ajouter des épaulettes qui ne dépassent pas tes épaules… Cacher ton cou trop fin avec un col de chemise légèrement haussé… étaler un fond de teint un peu plus clair que ta peau sur tes joues… il faudra redessiner tes sourcils au crayon brun aussi… Sì…"


Le vénitien semblait hypnotisé, un visage sérieux, charmeur malgré lui, complètement pris dans son devoir d’artiste. A la manière d’un sculpteur traçant des traits fins dans l’argile, il imaginait déjà son travail achevé que la hongroise le fit quitter précipitamment son rêve. Obligé de lâcher son visage, elle lui demanda d’admirer ses hanches très soulignées qu’elle lui plaça sous le nez. Le jeune Vargas se mordit la lèvre inférieure, qu’avait-il donc fait pour mériter un tel supplice ? Une petite voix lui demander de bien confirmer ce qu’il avait devant lui et pourquoi il ne se jetait pas sur elle, là, maintenant, tout de suite. Foutu instinct masculin, que n’aurait-il pas donné pour assouvir ses désirs à ce moment précis. Aller, peut-être avec un minimum de courage, il pourrait… il pourrait…


"… Pantalon regular fit, ve."


Bien sûr que non il ne pouvait pas faire ça, pour trois raisons principalement. De un, c’était une nation et il ne souhaitait pas un conflit diplomatique. De deux, elle s’était occupée de lui étant petit, cela aurait pu paraître malsain. Et de trois, il n’aimait vraiment pas se faire frapper, d’autant plus avec une poêle à frire.
Pour ce qui était de sa proposition, la forme regular fit était basé sur des pantalons dont la coupe était droite, cachant plutôt bien les fessiers et les cuisses trop saillants, à condition d’en choisir bien sûr un avec un minimum de largeur.


"Qu’en dis-tu ?"
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