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Le jeu du Gilbird
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Ludwig / Allemagne
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L'amour et la haine sont des parents consanguins
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Dans le pays de Goethe
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Save water. Drink beer.
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Roumanie
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L'Ouest et l'Est : opposition culturelle ?
{Japon
3.
Ah les crocrocro...
{Kemet
3.
Avoir peur d'un enfant
{Alsace
4.
Comme un homme
{ Prusse
5.
[1997] Faire revivre les mythes
| Hellas
Of blood and tears
Relations Internationales
:
▬ Kiku : Des fleurs de silence dans un jardin laissé à l’abandon. Pas de mots qui fâchent, juste les ombres des paroles jamais prononcées, la quiétude de la compréhension par l’absence. Deux êtres sérieux qui s’observent au-dessus d’une barrière, se rapprochent sans jamais se toucher. Nos chemins ne se croiseront plus comme auparavant, mais nous pouvons continuer à marcher côté à côte sur des routes parallèles. ▬ Feliciano : Même au sein des guerres, demeure toujours le sourire d’un homme qui croit encore à la beauté du monde. Ce sourire vous arrache le cœur et les yeux tant il est intense et vous semble faux. Toutefois les rires qui l’accompagnent vous empêchent de devenir fou, d’oublier ce que vous êtes. Mais tous les rires finissent par s’éteindre si on s’en éloigne. ▬ Roderich : Sans les maîtres, l’on ne saurait apprendre. Et toujours l’élève se révolte contre le tuteur, voulant marcher par lui-même, lui qui n’avait vécu que dans l’ombre. Déchirure qui n’est pas sans douleur, regards qui ne sont pas sans animosité. Le maître dit « Pars », l’élève répond « J’en avais l’intention », mais tous deux demeurent liés et gardent un œil sur l’autre. ▬ Germania : Il en est des pères comme du tonnerre ; on l’admire et on le craint tour à tour. On veut sa puissance, son charisme, ce qui fait qu’il est pour nous un pilier du monde. On ne veut pas le décevoir, on guette la moindre parole de fierté, on attend, assoiffé, un « bravo » même quand il n’est plus. On attend, on espère encore… et ne restent que les souvenirs. ▬ Gilbert : Il y a les frères qu’on espère avoir, ceux dont on n’est jamais satisfaits et ceux qu’on adore dont la séparation nous est un fardeau. Totale opposé de ce que je suis, il a absorbé le gris des larmes et le noir du deuil tandis que je prenais les couleurs de l’étendard du pays futur. Il a pris le chemin du tombeau pour que je puisse vivre : mais j’ai tenu sa main pour que son corps demeure avec moi. ▬ Francis : Je t’aime, moi non plus. La haine engendre l’amour, en aucun cas l’indifférence n’a sa place. La présence de l’autre attise toujours quelque chose, provoque le rire ou le dégoût, l’envie de serrer la main ou de cracher au visage. Les surnoms stupides, dignes d’enfants facétieux (Lulu, Louis, p’tit Lu… mais quelle idée) vous agace même si ce sont des preuves d’affection. Et puis il y a toujours la possibilité de se venger (Retourne dans ta forêt, Boucles d’Or). ▬ Elizaveta : Tout homme a une femme dans sa vie, et la première est sa mère. Elle est censée incarner la douceur, la patience, toutes ses qualités qui sont l’apanage des femmes. La Hongrie était cela, mais aussi la force et la liberté. Une femme qui réconfortait, et lance des médisances, se complaisant dans les ragots, y mêlant son « enfant » dès que celui-ci était assez grand. Toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de lui parler. ▬ Arthur : Il y aura toujours un jaloux pour médire sur ton compte, marcher sur tes plates-bandes, et fouiner chez toi pour trouver la faille où t’attaquer. Ne les écoutes pas, ne les regarde pas : passe fier devant eux. Si la tentation est trop forte… frappe-les. ▬ Alfred : Stalkeur qui laisse quantité de messages sur mon portable pour avoir des conseils en respect de l’environnement. Me surnomme Géant vert à ses heures perdues entre deux questions stupides, comme « Si je prends une viande, sans beurre, que je grille et arrose de sauce barbecue, c’est diététique ? ». Oui je suis aussi son coach minceur. ▬ Jolien : Syndrome de Stockholm inversé. Ici c’est le ravisseur qui tombe sous les charmes de sa victime. Et quels charmes : des rets d’ors qui vous enserrent plus fort que des cordes. Son plus grand problème réside dans ses communautés qui la rendent instable, prompte à vous mordre la main pour ensuite vous prendre dans ses bras. Une femme au sens fort du terme. Et les autres, ceux à découvrir, ceux à taire, ceux qu’on ne peut décrire.
Many Faces of A Nation
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Une carcasse qui se sent à l’étroit dans un monde qui n’ait pas fait à sa mesure, handicapé sur le plan émotionnel, ne sachant que grogner, hurler, ordonner pour s’adresser aux autres et se faire entendre. Grincheux, trop sérieux, pessimiste, à tendance alcoolique (le vin le rend grincheux, la bière éveille sa violence), militaire ne supportant pas la mise à la retraite (aurait aimé travailler jusqu’à 70 ans et des poussières, de préférence sur le terrain), aurait fait un bon membre de la SPA (les chiens sont son point faible, mais il ne dédaigne pas les chats). Se rend compte qu’il est un otomen depuis qu’il a lu le manga du même nom (aime la couture, dort avec un ours en peluche, sait aussi bien cuisiner qu’une mère de famille surtout les sucreries). Ne dédaigne pas la violence surtout s’il domine la situation (ce qui expliquerait certaines rumeurs sur un penchant SM). Et surtout. Le pire amant du monde.
Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Mer 10 Aoû - 19:06
Dans ce cas je fais des pioupiou.
Elizaveta / Hongrie
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2010 : Quand le chat n'est pas là les souris dansent (avec Feliciano)
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Contemporain : Dans les ombres des légendes (avec Vlad)
Of blood and tears
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Roderich : l’Homme. Le seul. L’unique. Gilbert : nous aurions pu nous aimer si tu ne t’étais pas cruellement moqué de moi, il y a si longtemps. ====== Feliciano : Fait aussi bien le ménage que moi et mieux à manger. Enfant, je t’habillais de mes vieilles robes. Mais maintenant, te voilà grand… Et tu m’as trahie lors des guerres… Ludwig : Tu étais un petit enfant trop sérieux, presque. Tu es devenu un homme, je me suis tenue à tes côtés, encore... Dorénavant, je fabrique tes grosses voitures. Mais si tu espères séduire Feliciano, ne t’inspire pas de ces stupides livres, je t’en prie… ====== Tino, Eduard : Lointains cousins… Lointains souvenirs du temps de Magyar. ====== Francis : Amateur de bon vin. Mais le Tokay reste et restera le « roi des vins », quoi que tu en dises ! Et ne t’approche pas trop de Roderich : je dis ça pour ta propre sécurité, Dieu m’a dit de te frapper… Kiku : J’aime son calme et son sourire discret. J’aime discuter avec lui, car nous avons pas mal de goûts communs. Et ses appareils photos sont géniaux. Une longue amitié, bien que discrète, nous unit et j’en suis très fière. Heracles : Un gentil garçon que j’ai connu du temps que j’étais chez Sadiq… Quelques siècles ont passé avant que nous nous revîmes mais l’amitié a franchi les décennies. Feliks : Un très vieil ami. « La Pologne et la Hongrie se battent et boivent ensemble. » Berwald : Il a sauvé une partie de ma population juive lors de la WWII, via le réseau d’ambassades. Merci. Alfred : Même si nous étions ennemis pendant les guerres, même si nous n’étions pas du même côté du rideau de fer, nous avons le même idéal de liberté et cela nous as rapproché. Merci d’avoir protégé les trésors royaux de mon pays. Yong Soo : C’est pas parce que l’on n’étaient pas du même camp que ça m’a empêché de bien m’entendre avec toi. Ivan a grogné mais qu’importe ! ====== Ivan : Même si je t’ai soutenue durant tes révolutions, je hais la façon dont tu t’es acharné sur mon peuple. Souviens-toi de 1956. Je ne te le pardonnerai pas. Sadiq : Je ne suis pas un trophée qu’on exhibe, je ne suis pas un moyen de pression sur Roderich, je ne suis pas ta poupée, fous-moi la paix. … …Même si je suis pour que tu entres dans l’UE. Roumanie : Je te hais, je te hais, depuis un millénaire. Ton nom est une insulte chez moi. Je ne te supporte pas, même si nous nous sommes entraidés pour entrer dans l’UE, mettant de côté certaines de nos discordes.
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Qui suis-je ? • Une gamine qui s'est longtemps crue garçon, chevauchant à travers l'Europe avec son père, terrorisant les petits germaniques ? • Une jeune fille libre et batailleuse, hargneuse, au langage fleuri, qui aime se moquer, taquiner et surtout se battre pour sa liberté, pour n'être sous le joug d'aucun maître ? • Une épouse sauvage mais fidèle, extrêmement fière mais protectrice et dévouée ? Une sorte de mère de substitution pour des petits enfants-nations ? • Une femme qui aime les sciences et le sport, les autos, les chevaux, les enfants, les grands lacs et les plaines verdoyantes... Une femme. Et c'est déjà beaucoup, ça.
Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Mer 10 Aoû - 19:13
Gilbirdé !
Tiens voilà pour toi.
Ludwig / Allemagne
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4.
Comme un homme
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[1997] Faire revivre les mythes
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▬ Kiku : Des fleurs de silence dans un jardin laissé à l’abandon. Pas de mots qui fâchent, juste les ombres des paroles jamais prononcées, la quiétude de la compréhension par l’absence. Deux êtres sérieux qui s’observent au-dessus d’une barrière, se rapprochent sans jamais se toucher. Nos chemins ne se croiseront plus comme auparavant, mais nous pouvons continuer à marcher côté à côte sur des routes parallèles. ▬ Feliciano : Même au sein des guerres, demeure toujours le sourire d’un homme qui croit encore à la beauté du monde. Ce sourire vous arrache le cœur et les yeux tant il est intense et vous semble faux. Toutefois les rires qui l’accompagnent vous empêchent de devenir fou, d’oublier ce que vous êtes. Mais tous les rires finissent par s’éteindre si on s’en éloigne. ▬ Roderich : Sans les maîtres, l’on ne saurait apprendre. Et toujours l’élève se révolte contre le tuteur, voulant marcher par lui-même, lui qui n’avait vécu que dans l’ombre. Déchirure qui n’est pas sans douleur, regards qui ne sont pas sans animosité. Le maître dit « Pars », l’élève répond « J’en avais l’intention », mais tous deux demeurent liés et gardent un œil sur l’autre. ▬ Germania : Il en est des pères comme du tonnerre ; on l’admire et on le craint tour à tour. On veut sa puissance, son charisme, ce qui fait qu’il est pour nous un pilier du monde. On ne veut pas le décevoir, on guette la moindre parole de fierté, on attend, assoiffé, un « bravo » même quand il n’est plus. On attend, on espère encore… et ne restent que les souvenirs. ▬ Gilbert : Il y a les frères qu’on espère avoir, ceux dont on n’est jamais satisfaits et ceux qu’on adore dont la séparation nous est un fardeau. Totale opposé de ce que je suis, il a absorbé le gris des larmes et le noir du deuil tandis que je prenais les couleurs de l’étendard du pays futur. Il a pris le chemin du tombeau pour que je puisse vivre : mais j’ai tenu sa main pour que son corps demeure avec moi. ▬ Francis : Je t’aime, moi non plus. La haine engendre l’amour, en aucun cas l’indifférence n’a sa place. La présence de l’autre attise toujours quelque chose, provoque le rire ou le dégoût, l’envie de serrer la main ou de cracher au visage. Les surnoms stupides, dignes d’enfants facétieux (Lulu, Louis, p’tit Lu… mais quelle idée) vous agace même si ce sont des preuves d’affection. Et puis il y a toujours la possibilité de se venger (Retourne dans ta forêt, Boucles d’Or). ▬ Elizaveta : Tout homme a une femme dans sa vie, et la première est sa mère. Elle est censée incarner la douceur, la patience, toutes ses qualités qui sont l’apanage des femmes. La Hongrie était cela, mais aussi la force et la liberté. Une femme qui réconfortait, et lance des médisances, se complaisant dans les ragots, y mêlant son « enfant » dès que celui-ci était assez grand. Toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de lui parler. ▬ Arthur : Il y aura toujours un jaloux pour médire sur ton compte, marcher sur tes plates-bandes, et fouiner chez toi pour trouver la faille où t’attaquer. Ne les écoutes pas, ne les regarde pas : passe fier devant eux. Si la tentation est trop forte… frappe-les. ▬ Alfred : Stalkeur qui laisse quantité de messages sur mon portable pour avoir des conseils en respect de l’environnement. Me surnomme Géant vert à ses heures perdues entre deux questions stupides, comme « Si je prends une viande, sans beurre, que je grille et arrose de sauce barbecue, c’est diététique ? ». Oui je suis aussi son coach minceur. ▬ Jolien : Syndrome de Stockholm inversé. Ici c’est le ravisseur qui tombe sous les charmes de sa victime. Et quels charmes : des rets d’ors qui vous enserrent plus fort que des cordes. Son plus grand problème réside dans ses communautés qui la rendent instable, prompte à vous mordre la main pour ensuite vous prendre dans ses bras. Une femme au sens fort du terme. Et les autres, ceux à découvrir, ceux à taire, ceux qu’on ne peut décrire.
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Une carcasse qui se sent à l’étroit dans un monde qui n’ait pas fait à sa mesure, handicapé sur le plan émotionnel, ne sachant que grogner, hurler, ordonner pour s’adresser aux autres et se faire entendre. Grincheux, trop sérieux, pessimiste, à tendance alcoolique (le vin le rend grincheux, la bière éveille sa violence), militaire ne supportant pas la mise à la retraite (aurait aimé travailler jusqu’à 70 ans et des poussières, de préférence sur le terrain), aurait fait un bon membre de la SPA (les chiens sont son point faible, mais il ne dédaigne pas les chats). Se rend compte qu’il est un otomen depuis qu’il a lu le manga du même nom (aime la couture, dort avec un ours en peluche, sait aussi bien cuisiner qu’une mère de famille surtout les sucreries). Ne dédaigne pas la violence surtout s’il domine la situation (ce qui expliquerait certaines rumeurs sur un penchant SM). Et surtout. Le pire amant du monde.
Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Mer 10 Aoû - 20:57
Je te gilbirde à mon tour.
Emil Steilsson / Islande
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[2011, aux alentours du mois de mars.] On est tous frères, c'est entendu. Mais on n'est pas jumeaux. | Jodis / Féroé.
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[ NORDIC'S FAMILY ] Noregur: Mon grand-frère. C'est lui qui m'a découvert sur mes terres envoûtantes et donné un nom. Quelqu'un de très placide et de sage. La maison de mon coeur. Je l'aime beaucoup. J'aimerais juste qu'il cesse de me prendre encore pour un enfant... Et qu'il affiche un sourire plus souvent. Danmörk: Un viking... se baladant toujours avec une hache. Très bruyant, me consacre une affection particulière, même en m'ayant ignoré pendant des années, lorsque le royaume du Danemark et de Norvège existait encore. Est très proche de mon frère. Il m'a aussi élevé avec lui, dans le temps. Finnland: Un jeune homme qui a toujours le sourire aux lèvres. Bavard. Son comportement face aux autres nordiques (surtout auprès de Peter.) fait penser à... une mère. Je n'ose pas lui parler à cause du colosse de glace au regard tranchant qui me fixe derrière son épaule... Mais il demeure quelqu'un d'adorable, qui m'accorde malgré moi, un peu d'attention... Svíþjóð (Suède): Se bat sans cesse avec Dan'. Un regard qui... intimide. A déjà fréquenté mon frère. Færeyjar (Féroés): Ma petite-soeur. Qui l'eut crut? Dans un sens, elle me permet de prendre mes responsabilités. Jeune fille adorable et qui demande de l'affection. Embête souvent Danemark. Lorsqu'on était enfant, il arrivait qu'on fasse quelques bêtises ensemble. My little viking ~ ... Comment ça, on a le même âge ? Oui, on se dispute souvent à ce sujet. Mais n'oublie pas, Jo'... Je suis une république et toi une province. Ce qui fait toute notre différence. Grænland: Tu es peut-être loin des nordiques, mais pour moi, tu restes quelqu'un de la famille. Jeune garçon chaleureux, sur qui je peux compter. Grand ami. Notre amitié s'est surtout agrandie lorsqu'on était sous le joug danois... Peter: "Non, n'insiste pas, je ne t'achèterais pas. De plus, je ne savais même pas que tu existais... " C'est ce que je disais avant que Berwald et sa... "femme" ne s'en occupe. J'ai la curieuse impression qu'il veut qu'on soit ami... Je ne voit vraiment pas ce qu'il me trouve... [ THE OTHER . . . ] England: Un confident qui, à l'époque où j'étais sous le joug danois, m'a beaucoup aidé. Mais depuis cette histoire de "morue", nos relations diplomatiques se sont un peu refroidie... C'est depuis ce jour que j'ai considéré mon esprit de conquête comme un défaut. Parce que oui, dans un sens, c'est un peu de ma faute... Merci tout de même. Tu restes une personne chère à mes yeux. Bandaríkin (États-Unis d’Amérique): A pris le relais durant la guerre lorsque Arthur est partit. Un soi-disant "héros". Je me demande si c'est depuis qu'il m'a occupé que je bois autant de coca-cola. N'insiste pas, je ne veux pas de tes hamburgers ! Rússland: Un grand homme qui possède une aura... étrange. Heu... Merci pour cet immense prêt de 4 milliards d'euros pour stabiliser ma monnaie... Même si je trouve ce geste un peu...aberrant... Comment je vais faire pour rembourser tout ça ?! Kanada: Une relation qui dure depuis mille ans... Tu ne seras jamais invisible à mes yeux. Sache-le. Tyrkland (Turquie): ...Projets sur la géothermie? Coopération pour lutter contre la crise? Collègue voulant aussi adhérer à l'UE? Pourquoi pas. Mais pitié, évitez de vous coller à moi lorsque vous êtes soul... Israël: ...Relations trop tendues pour que j'en parle calmement. Et beaucoup d'autres nation et leurs relations diplomatiques...
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...Ah, vous voulez en savoir plus sur moi? Hé bien... Je n'ai pas l'habitude de parler de mon cas, vous savez. Mais si vous insistez. Île autrefois éprise de liberté, j'ai aujourd'hui inscrit mon empreinte sur le monde... En devenant une République, bien évidemment. Et aussi en me faisant remarquer à cause de la crise de 2008... hum... Certains se demandent si je ne suis pas une île perdue avec un temps complètement détraqué à cause des volcans... C'est un peu le cas, en fait. Mais n'hésitez pas à venir. Surtout en hiver, il y a de magnifiques aurores boréales le soir, vous voyez? J'aime bien voir venir des touristes chez moi. Par contre, il serait mieux pour vous de parler islandais. P-Pourquoi? Et bien... mon accent laisse à désirer... *introverti mode* Oui, oui, oui, je sais aussi que ma bouffe laisse aussi à désirer, merci bien. Mais vous savez, le mouton, ce n'est pas si mauvais que ça finalement... Non, je ne mange pas de macareux. Puffin risque de me tuer, sinon.
Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Mer 10 Aoû - 21:23
Piou piou.
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[60] Les révoltes sont les aléas d'un Empire
- Rome Antique
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[Début du Ier siècle] Réunion à l'Antique
- Anciennes nations
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Gingers in the rain
- Hibernia
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Mes relations: Hibernia: Ami d'enfance et premier mari. Père d'Irlande, Pays de Galles et Ecosse. Abruti fini, pas vraiment à l'aise avec son rôle de père. Mais on ne s'ennuie jamais avec lui. Germania: Deuxième mari à la libido parfois difficile à suivre. Père d'Angleterre. Des débuts compliqués, je l'ai détesté... Mais très peu de temps. Et au final, il m'aura presque fait oublier Rome et Hibernia. Il utilise bien plus les gestes que les mots et je ne m'en plaint vraiment pas. Au moins, il m'écoute... Enfin je crois. Rome: Mon ami, mon ennemi, ma passion de jeunesse, mon amant peut-être. Dire que je n'ai pas eu un coup de cœur pour lui il y a longtemps serait mentir. Mais je n'étais peut-être pas à son gout. Ses amantes étaient si sophistiquées, j'avais l'air d'une sauvage à côté d'elles. Parfois (voir souvent) énervant, je n'arrivais jamais à en placer une avec lui. Puis les choses se sont envenimer jusqu'à ce que mes sentiments s'effritent. Mes fils: Kenneth/Irlande: Mon fils ainé auquel j'ai donné le moins d'affection par rapport à ses frères. Mais je l'aime autant que mes autres fils, le problème était juste que je devais toujours m'occuper des plus jeunes, moins débrouillard que lui. Parmi tous ses frères, il est celui qui tient le mieux l'alcool. Mon fils, je n'ai pas eu le temps de te voir, tu as grandi trop vite. Pays de Galles: Le plus sage de mes fils, peu bavard, il préfère converser avec les moutons. Mais quand il parle, sa douce voix charme tout le monde. Pays de Galles est sans doute celui qui m'a fait le moins tourner en bourrique. Ecosse: Comment? Encore un garçon? Mais je voulais une fille... Oh tiens, une jupe! Un kilt? Oui, c'est pareil. Arthur/Angleterre: Celui qui a le mieux réussi parmi ses frères. Aussi conquérant que son père Germania, je suis vraiment fier de lui. Et même si c'est un combattant redoutable, il reste le fils à sa maman, le petit dernier. Ah mon enfant, tu as su donner la gloire à ce qui était mon pays et maintenant le tiens. Merci.
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Mer 10 Aoû - 22:08
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 9:48
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☆ Matthew ☆ Brother. Même si tout nous sépare, que j'ai jamais été très tendre avec toi, et même si tu as un paquet de choses à me reprocher, sache que tu es vraiment cher à mes yeux, n'en doute pas. I love you so much, Brother. Never forget that. ☆ Arthur ☆ Je sais que mon indépendance t'a affectée (nie en bloc, ça m'est égal), et je sais que ça t'a fait de la peine. A moi aussi. Merci pour cette enfance à tes côtés. ☆ Roosevelt ☆ T'es plus petit que moi, nananaiiiireuuuuuh ! Beuuuuh. N'aie plus peur, Roose. Ton cauchemar est terminé et je veillerai à ce qu'il ne t'arrive plus rien.
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 11:52
Cuicui. Pour changer des pioupiou.
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La dictature c'est ferme ta gueule, la démocratie c'est cause toujours.
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 11:53
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Dieu existe pour que je puisse te haïr
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▬ Arthur - UK : Une présence est souvent plus indispensable que toutes les merveilles du monde. ▬ Alfred - USA : Le Soleil tentant de toucher la Lune. L'ennemi pardonné. Mon meilleur ami. ▬ Hollande : Le seigneur venu d'Occident, le conteur de tant de récits, celui qu'il a été difficile de trahir, celui qu'il est difficile d'oublier. ▬ Ludwig - Allemagne : L'amitié apparait parfois là où l'on si attend le moins, malgré les erreurs, malgré les horreurs, malgré les chemins opposés. ▬ Feliciano - Italie N : Le temps de l'Axe est déjà trop loin et souvent regretté. (Et si tu pouvais arrêter de te déshabiller devant moi, j’apprécierai) ▬ Héraklès & Sadiq - Gréce & Turquie : Les obstacles sont plus faciles à franchir avec des amis à ses cotés. ▬ Yao - Chine : Un père, un ami, un maitre, un rival, un ennemi. Un frère. ▬ Taiwan : Plus qu'une sœur, plus qu'une femme, plus qu'une épouse. La chaleur de l'été en plein hiver. ▬ Hong-Kong & Corée : L'un parle trop, l'autre pas assez. Qu'importe, on ne choisit pas ses frères, on ne peut qu'essayer de les aimer. ▬ Ivan - Russie : Le temps des tournesols est loin. Celui de la haine ne veut pas s'en aller. ▬ Osaka, Mito, Aizu, Sendai & Co : Loyaux, fidèles, honnêtes, indispensables. Ils m'appartiennent. C'est aussi simple que ça. ▬ Elizaveta - Hongrie : ELIIIIIII ! J'ai réussie à prendre une photo de Roderich et Antonio en train de se fricoter dans la salle de b... Tiens, bonjour Monsieur Edelstein.
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Omikami, Tomoe Gozen, Oda Nobunaga, Minamoto no Yoshitsune, Hanzo Attori, Soji Okita, Hirohito, Kûkai, Nasu no Yoichi, Osamu Tezuka, Mitsuhide Akechi, Kanno Naoshi, Taira no Atsumori, Shimazu Toyohisa, Hijikata Toshizo, Hayao Miyazaki, Ise, Teimei, Sen no Rikyū, Ieyasu Tokugawa, Miyamoto Musashi... Parce qu'une nation ne serait rien sans de grands hommes pour la construire.
Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 12:23
Gilbirdé. x)
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 12:28
... gru. D: Ce sera le cas, ouais !
Cui cui.
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▬ Kiku : Des fleurs de silence dans un jardin laissé à l’abandon. Pas de mots qui fâchent, juste les ombres des paroles jamais prononcées, la quiétude de la compréhension par l’absence. Deux êtres sérieux qui s’observent au-dessus d’une barrière, se rapprochent sans jamais se toucher. Nos chemins ne se croiseront plus comme auparavant, mais nous pouvons continuer à marcher côté à côte sur des routes parallèles. ▬ Feliciano : Même au sein des guerres, demeure toujours le sourire d’un homme qui croit encore à la beauté du monde. Ce sourire vous arrache le cœur et les yeux tant il est intense et vous semble faux. Toutefois les rires qui l’accompagnent vous empêchent de devenir fou, d’oublier ce que vous êtes. Mais tous les rires finissent par s’éteindre si on s’en éloigne. ▬ Roderich : Sans les maîtres, l’on ne saurait apprendre. Et toujours l’élève se révolte contre le tuteur, voulant marcher par lui-même, lui qui n’avait vécu que dans l’ombre. Déchirure qui n’est pas sans douleur, regards qui ne sont pas sans animosité. Le maître dit « Pars », l’élève répond « J’en avais l’intention », mais tous deux demeurent liés et gardent un œil sur l’autre. ▬ Germania : Il en est des pères comme du tonnerre ; on l’admire et on le craint tour à tour. On veut sa puissance, son charisme, ce qui fait qu’il est pour nous un pilier du monde. On ne veut pas le décevoir, on guette la moindre parole de fierté, on attend, assoiffé, un « bravo » même quand il n’est plus. On attend, on espère encore… et ne restent que les souvenirs. ▬ Gilbert : Il y a les frères qu’on espère avoir, ceux dont on n’est jamais satisfaits et ceux qu’on adore dont la séparation nous est un fardeau. Totale opposé de ce que je suis, il a absorbé le gris des larmes et le noir du deuil tandis que je prenais les couleurs de l’étendard du pays futur. Il a pris le chemin du tombeau pour que je puisse vivre : mais j’ai tenu sa main pour que son corps demeure avec moi. ▬ Francis : Je t’aime, moi non plus. La haine engendre l’amour, en aucun cas l’indifférence n’a sa place. La présence de l’autre attise toujours quelque chose, provoque le rire ou le dégoût, l’envie de serrer la main ou de cracher au visage. Les surnoms stupides, dignes d’enfants facétieux (Lulu, Louis, p’tit Lu… mais quelle idée) vous agace même si ce sont des preuves d’affection. Et puis il y a toujours la possibilité de se venger (Retourne dans ta forêt, Boucles d’Or). ▬ Elizaveta : Tout homme a une femme dans sa vie, et la première est sa mère. Elle est censée incarner la douceur, la patience, toutes ses qualités qui sont l’apanage des femmes. La Hongrie était cela, mais aussi la force et la liberté. Une femme qui réconfortait, et lance des médisances, se complaisant dans les ragots, y mêlant son « enfant » dès que celui-ci était assez grand. Toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de lui parler. ▬ Arthur : Il y aura toujours un jaloux pour médire sur ton compte, marcher sur tes plates-bandes, et fouiner chez toi pour trouver la faille où t’attaquer. Ne les écoutes pas, ne les regarde pas : passe fier devant eux. Si la tentation est trop forte… frappe-les. ▬ Alfred : Stalkeur qui laisse quantité de messages sur mon portable pour avoir des conseils en respect de l’environnement. Me surnomme Géant vert à ses heures perdues entre deux questions stupides, comme « Si je prends une viande, sans beurre, que je grille et arrose de sauce barbecue, c’est diététique ? ». Oui je suis aussi son coach minceur. ▬ Jolien : Syndrome de Stockholm inversé. Ici c’est le ravisseur qui tombe sous les charmes de sa victime. Et quels charmes : des rets d’ors qui vous enserrent plus fort que des cordes. Son plus grand problème réside dans ses communautés qui la rendent instable, prompte à vous mordre la main pour ensuite vous prendre dans ses bras. Une femme au sens fort du terme. Et les autres, ceux à découvrir, ceux à taire, ceux qu’on ne peut décrire.
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Une carcasse qui se sent à l’étroit dans un monde qui n’ait pas fait à sa mesure, handicapé sur le plan émotionnel, ne sachant que grogner, hurler, ordonner pour s’adresser aux autres et se faire entendre. Grincheux, trop sérieux, pessimiste, à tendance alcoolique (le vin le rend grincheux, la bière éveille sa violence), militaire ne supportant pas la mise à la retraite (aurait aimé travailler jusqu’à 70 ans et des poussières, de préférence sur le terrain), aurait fait un bon membre de la SPA (les chiens sont son point faible, mais il ne dédaigne pas les chats). Se rend compte qu’il est un otomen depuis qu’il a lu le manga du même nom (aime la couture, dort avec un ours en peluche, sait aussi bien cuisiner qu’une mère de famille surtout les sucreries). Ne dédaigne pas la violence surtout s’il domine la situation (ce qui expliquerait certaines rumeurs sur un penchant SM). Et surtout. Le pire amant du monde.
Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 13:00
C'est trop chuuu. ♥
Piou Piou.
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 13:08
Cui cui.
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 13:22
.... piou...... piou ~
ಠ_ಠ
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Le Début de la fin | Seychelles | 1930
Aujourd'hui, je deviens une Nation | Nouvelle Zélande | 1840
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Francis • Quoi qu'il en dise, c'est grâce à moi qu'il a été du côté des vainqueurs lors de la WWII. Ce n'est pas vraiment de ma faute si Jeanne est morte. Alfred • J'essaie de l'ignorer depuis son Indépendance mais tout nous rapproche. C'était mon frère, mon fils, mais maintenant je ne sais plus comment me comporter avec lui. Je l'ai quand même éduqué ! Johan • M'a beaucoup maltraité durant notre jeunesse. Keneth • Je le déteste, il me déteste. L'amour fraternel... Lysander • On peut tuer un écossais entre les murs de l'ancienne ville de York si il porte un arc et des flèches. J'arrive pas à imaginer le roux armé, étrangement. Kiku • J'aime beaucoup sa compagnie et je suis lié avec lui depuis 1902, même si il fut mon ennemi durant la deuxième guerre mondiale...
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• Un pirate libre qui a soif de conquêtes et d'aventures, en tête d'un empire puissant. •
Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 14:23
Piou piou .....
PIOUUUUU
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 15:32
Piou piou
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 15:43
Piou piouuuuu ~
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 17:02
Piou piou =)
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Jeu 11 Aoû - 22:45
Piou pi~ou again ♥
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Ven 12 Aoû - 7:56
Gilbirdé !
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Ven 12 Aoû - 9:26
Je pioupioute à nouveau.
Trop chou cette signature !
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Ven 12 Aoû - 9:29
Pioupioupiou.
Ahah j'aime 8DD *va aller tirer la joue d'Arthur pour le faire monter au niveau 2*
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Ven 12 Aoû - 10:58
Pas de commentaire.
Cuicui
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Ven 12 Aoû - 13:30
Piou piou *regard mignon*
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Mes relations: Hibernia: Ami d'enfance et premier mari. Père d'Irlande, Pays de Galles et Ecosse. Abruti fini, pas vraiment à l'aise avec son rôle de père. Mais on ne s'ennuie jamais avec lui. Germania: Deuxième mari à la libido parfois difficile à suivre. Père d'Angleterre. Des débuts compliqués, je l'ai détesté... Mais très peu de temps. Et au final, il m'aura presque fait oublier Rome et Hibernia. Il utilise bien plus les gestes que les mots et je ne m'en plaint vraiment pas. Au moins, il m'écoute... Enfin je crois. Rome: Mon ami, mon ennemi, ma passion de jeunesse, mon amant peut-être. Dire que je n'ai pas eu un coup de cœur pour lui il y a longtemps serait mentir. Mais je n'étais peut-être pas à son gout. Ses amantes étaient si sophistiquées, j'avais l'air d'une sauvage à côté d'elles. Parfois (voir souvent) énervant, je n'arrivais jamais à en placer une avec lui. Puis les choses se sont envenimer jusqu'à ce que mes sentiments s'effritent. Mes fils: Kenneth/Irlande: Mon fils ainé auquel j'ai donné le moins d'affection par rapport à ses frères. Mais je l'aime autant que mes autres fils, le problème était juste que je devais toujours m'occuper des plus jeunes, moins débrouillard que lui. Parmi tous ses frères, il est celui qui tient le mieux l'alcool. Mon fils, je n'ai pas eu le temps de te voir, tu as grandi trop vite. Pays de Galles: Le plus sage de mes fils, peu bavard, il préfère converser avec les moutons. Mais quand il parle, sa douce voix charme tout le monde. Pays de Galles est sans doute celui qui m'a fait le moins tourner en bourrique. Ecosse: Comment? Encore un garçon? Mais je voulais une fille... Oh tiens, une jupe! Un kilt? Oui, c'est pareil. Arthur/Angleterre: Celui qui a le mieux réussi parmi ses frères. Aussi conquérant que son père Germania, je suis vraiment fier de lui. Et même si c'est un combattant redoutable, il reste le fils à sa maman, le petit dernier. Ah mon enfant, tu as su donner la gloire à ce qui était mon pays et maintenant le tiens. Merci.
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Ven 12 Aoû - 16:38
Piou piou
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
Ven 12 Aoû - 16:54
Pioupiou =)
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Sujet: Re: Le jeu du Gilbird
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