SI

*post vite fait pour dire que Cuba est un méchant garçon qui va se faire frapper et que de toute façon, c'est Viêt Nam la plus mignonne ! >__<*

Yao était resté silencieux, tout le long des votes, observant les différents élèves de la classe, caché derrière Liam. Il se concentra sur son livre d'exercice dont il feuilleta les pages, observant les différentes équations. Il n'y croyait pas. Il ne pouvait pas y avoir des phénomènes aussi ... invraisemblables que des morts, des esprits où il ne savait quoi. Lui, il ne croyait qu'en les chiffres. Parce que c'était clair, c'était terre à terre, rien de plus, rien de moins. Alors, certes, il y avait des disparitions et c'était un fait mais il était impossible que ce fut quelque chose de si abstrait qui en fut la cause.


Il passa une main dans ses cheveux, un peu las. Il aurait aimé être ailleurs qu'ici avant de sortir un cahier de son sac qu'il posa et ouvra. Il y griffonna une équation en murmurant.

"En supposant que x le nombre d'étudiants morts...combien....donc...en somme... ce qui nous donne...." murmura-t-il pour lui même

Au bout d'une ou deux minutes, sa page s'était noircit un peu plus de calcul obscur et il en vint à un résultat qu'il observa pensif avant d'écrire sous ligne de résultat, la personne pour qui il allait voter.

Vash.

Il leva la tête pour observer la personne en question. C'était le hasard et il ne savait pas forcément plus de chose sur lui que sur les autres mais il lui semblait que c'était quelqu'un de plutôt neutre, donc qui ne se mêlerait pas à un ou l'autre des différents conflits qui pourraient subvenir. Il était plutôt vif, mais avec un peu de chance, il serait garder son sang-froid. Il espérait...ils avaient besoin d'un arbitre. et ce n'était pas des gens comme Niels ou Joaquin qui en était capable. Les chiffres disaient toujours la vérité...non?

Spoiler:

Ti tu tu tudu ti tu tu ti ti ti tu tu (<= celui qui trouve l'origine, je sais pas ce que je lui paye xD)
Les lunettes ancrées sur son nez rendu graisseux par la concentration, ses yeux rougis fixaient l'écran d'un air maladif. Il aurait la peau de ce nain des montagnes, foi d'elfe de la ligue de la lune noire! Des morts? pfff fallait juste appuyer sur "reset", quelle bande de noobs! Il secoua la tête d'un air exaspéré -celui la même que les gens qui n'ont pas de vie prennent lorsqu'ils jugent que les autres n'y connaissent rien, à ladite vie-.
Faute de batterie, il retourna finalement son attention sur les choses qui l'entouraient,s'amusant distraitement à les diviser en pixels. Certains étaient plus optimisés que d'autres...

Voter pour quelqu'un? Il fallait donc quelqu'un qui avait la grâce d'un elfe, le charisme d'une fonction exponentielle et la radinerie du logarithme néperien *. En bon suiveur, mouton de nature, son regard se posa aussitôt sur les plus grands de la classe. Pas souvent les plus intelligents mais ceux qui, à défaut, savaient imposer leur point de vue. Et surtout leur poing dans sa vue. Mais qu'est ce qu'il les admirait! Après tout, s'ils le frappaient, c'est qu'ils avaient raison non? Même ce monument d'intelligence de Niels...Un vieux complexe de Stockholme. Oh Suède, en voilà un autre gros balourd vers qui son vote pourrait se porter <3! Quelle judicieuse idée. Mais non, il n'était surement pas la plus grosse menace.

Une autre chose, perfide était bien plus dangereuse. Un sourire digne de Palpatine, des yeux aussi perçants que les cougard de la pampa d'obsidiurne, mais surtout -ô surtout- c'était celui qui possédait les critériums les plus acérés et les compas les plus... incisif. Alfred Jones. Oui, c'était sans doute celui qui pouvait lui casser le plus de côtes s'il ne votait pas pour lui. Aussi, dans un grand élan de courage et inspiré par un sens de la survie surdéveloppé commun à toutes les vermines de son espèce, il griffonna en tremblotant, jetant des regards à droite et à gauche, le nom d'Alfred.

Spoiler:

Les votes s'enchainaient. Et Ivan s'ennuyait de plus en plus. Le stress et le pessimisme lui faisaient de l'oeil, il décida néanmoins de se forcer à rester confiant: il ne s'agissait peut être que d'une farce de mauvais goût...peut être une idée de Gilbert, ou d'Elizaveta. Ces deux idiots étaient bien capable de ça.

Il décida de se changer les idées, et sans réellement s'en rendre compte, se dirigea tout droit aux cuisines. A qui il allait bien pouvoir offrir les pirogi empoisonnés ?

Spoiler:

Lever des yeux au ciel. Grognement intelligible n'ayant aucune signification autre que souligner l'aspect risible de la situation. Chacun allait de son petit vote, et à ce rythme, aucun chef ne serait élu. Le temps de cligner des paupières, deux personnes se détachèrent du tableau récapitulant les votes : Alfred et Vash. Ce dernier n'avait pas voté, il était même le seul à être demeuré dans son coin. (C'était déjà chose rare de le voir à l'école, préférant jouer les ermites dans sa montagne).

Peut-être allait-il décider, avec son vote, de l'identité du chef de troupe, ou mieux embrouiller la situation.

RECAPITULATIF DU VOTE :
Angleterre : x
Autriche : x x
Chine : x x
Danemark : x x
Finlande : x x
Hongrie : x x
Suisse : x x x
USA : x x x

Doivent voter : Suisse.

PERSONNE a voté pour Ivan huhu ~~

C'était une belle pagaille que ces élections. Les votes étaient encore plus dispersés que pour élire un délégué. La façon dont Alfred s'était présenté pour être le chef ne l'avait guerre convaincu et avait déterminé Tanoa a maintenir son vote plus que jamais. En tout cas il fallait vraiment un chef qui puisse aider à la résolution de cette situation.

Spoiler:

Académie du Monde, proche de 21h30, jour 1.

Les votes s'éternisent, et les tensions naissent. Alfred soutient qu'il doit être le chef de classe, tandis que Vash est plus occuppé à surveiller sa soeur qu'à se préoccuper du sort des autres élèves. Aucun d'eux ne prend la situation au sérieux. Je me détache de mon siège pour aller fouiner dans les bureaux - les surveillants sont doués pour cacher un véritable garde-manger dans leurs locaux - quand quelqu'un frappe à la porte. Ne pouvant l'ouvrir - sans quoi je ne serais plus là - je me contente d'élever le voix pour demander ce qu'on me veut.

- Quelqu'un doit trancher le vote et je penses que... tu es la meilleure personne pour cela.
- Logique je suis la seule.

Inspirant un grand coup, je lâche le nom qui gagnera le statut de chef de classe avec quatre voix.

- Va pour ce crétin d'américain.

Les pas décroissent. Je regarde l'heure affichée. Le couvre-feu approche. Les lumières vont bientot s'éteindre, laissant les esprits reprendre le contrôle.

DEROULEMENT:

Les possédés (/loups-garous) se concertent et m'envoient leur MP.
L'entremetteur(/Cupidon) m'envoie son MP. Fait
La commère(/voyante) m'envoie son MP. Fait
Le chimiste(/sorcière) m'envoie son MP après que je l'ai contacté.
Les élèves vont se coucher dans les dortoirs (ou ailleurs dans l'école).

Durée de la nuit : jusqu'à demain 21h (ou plus si besoin est).

Vivants :

Spoiler:

On avait tranché: Alfred serait le chef de classe. Réjouissant, effrayant ? Il ne savait qu'en penser. Partagé entre sa rivalité naturelle avec l'américain et la peur qu'il se fasse égorger dans un corridor obscur, Ivan y perdait le nord. Ses pensées refusant strictement de prendre un cours logique, il décida d'aller dormir, peut être la nuit lui porterait-elle conseil ? Rien n'était moins sûr que de se réveiller vivant, cependant, et cette angoisse lui tordait l'estomac comme on chiffonnerait un vieux vêtement.

Demain il irait parler à Alfred. Si il en avait encore la possibilité.

Ludwig était devenu complètement fou, choisir Alfred ! Roderich sentit son cœur rater plusieurs battements. Mais ce garçon était tout bonnement incapable de prendre les choses au sérieux ! Pour lui, cela ne devait être qu’un jeu tout au plus.
Le brun alla chercher la main d’Elizaveta, la jeune femme restait derrière lui. Certes il ne tournait pas la tête, certes il restait impassible, mais ses doigts serraient ceux de la Hongroise comme si sa vie en dépendait.
Peu importe les époques, peu importe les pays, peu importe les gens, il n’y avait qu’une seule peur commune à chaque homme : la peur du noir.
Et là, la nuit tombait…
Les ténèbres…
Brusquement, Roderich comprit qu’il n’avait envie que d’une seule chose : voir le lever du petit jour, avec Elizaveta à ses côtés.
Bien sûr que c’était idiot, bien sûr qu’il était le premier à s’en rendre compte. Oh Dieu, comme il le souhaitait pourtant !

Il fallait partir, aller se coucher. Espérer que le lendemain, on serait encore en était d’ouvrir les yeux. Roderich allait escorter Elizaveta jusqu’à son dortoir, c’était là la moindre des choses. Lorsque l’homme passa devant Vash et Liechtenstein, il adressa un léger regard au blond.

- Vous serez encore là demain, n’est-ce pas ? Tous les deux…

Pour la petite Lili, il fit l’effort de sourire. Quant à Elizaveta, au fond, il n’osait pas la regarder. Même devant la porte. Là où ils devaient se séparer.
Non, il ne posa pas les yeux sur elle. Ses lèvres se posèrent sur son front, avant d’aller chercher son oreille.
Ce qu’il y murmurait ?
Un secret pour eux deux, rien de plus, voilà tout.

Alfred... Alfred avait été élu, mais finalement, Lili ne ressentait qu'un très léger pincement au cœur. Elle aurai bien sûr préféré que ce soit son grand frère, qu'elle connaissait bien mieux et dont elle avait la confiance absolue. Cependant, le jeune homme était réputé pour sa qualité de meneur. Il avait du charisme, et c'était plutôt important dans une telle situation. Il fallait que la classe reste soudée dans cette crise.

Lili se rapprocha de son frère, comme pour se rassurer, comme pour se dire qu'il était bien là, à coté d'elle même. Elle ne le quitterait pas. Elle ne voulait pas le perdre. Que ferait-elle sans lui?
Puis, elle embrassa du regard la salle. Elle avait beau être intimidée par certain, comme le danois ou le cubain, mais elle ne voulait voir personne mourir. Mais déjà, le jour se couchait et les élèves étaient priés de rejoindre le dortoir.
Elle blêmit et ses mains tremblantes serrèrent ses affaires contre elle même.
Tout allait bien se passer.
Elle n'y croyait absolument pas, mais peut-être pourrait elle s'aveugler le temps d'un instant? Peut-être que cette illusion pourrait la faire tenir jusqu'au lendemain?
Non... Bien sûr que non..

Aussi, quand Roderich et Elizaveta s'approchèrent du groupe qu'elle formait avec son frère, elle resta immobile, les yeux écarquillés. Elle jeta un regard désespéré à Vash, puis retourna son attention sur l'Autrichien. Finalement, elle souffla ces quelques mots, dérisoires dans la situation :
"Il n'y a plus qu'à espérer..."

Alfred avait été élu. Elizaveta ne le portait pas spécialement dans son cœur, en réalité, elle n'avait jamais trop eu affaire avec lui. Personnellement, elle aurait préféré Vash mais c’était ainsi, elle allait devoir faire confiance au mangeur de hamburgers.
Mais la nuit tombait. Tout le monde devait rejoindre le dortoir respectif de son sexe. Elle voyait le regard fuyant de Roderich. Il devait penser pareil qu’elle : souffrir de cette séparation nocturne, avoir une peur immense de ne plus retrouver l’autre en vie au petit matin… Elle sentait la main de Roderich serrait la sienne de toute sa force, inconsciemment, comme s’il ne voulait pas qu’on l’arrache à lui. Elle ne voulait pas lui dire qu’il lui faisait mal, tellement elle aussi, même si elle ne voulait pas l’avouer, avait une peur bleue de retrouver un cadavre le lendemain à la place de l’Autrichien.

Il la raccompagna jusqu’à son dortoir, suivant Vash qui raccompagnait sa petite sœur.

- Vous serez encore là demain, n’est-ce pas ? Tous les deux…

Il sourit doucement à la jeune fille blonde. Mais il n’osait pas regarder la Hongroise qui s’était appuyée contre lui. Encore un moment, ça pouvait être le dernier, alors qu’on lui laisse Roderich encore quelques secondes… Mais elle sentit des lèvres sur son front, cherchant sa peau à travers sa frange, elle entendit quelques mots murmurés au creux de son oreille d’une voix légèrement tremblante. Et déjà, à regrets, il s’éloignait, courant presque dans le couloir, sans qu’Elizaveta puisse le retenir.

Pourvu qu’elle puisse le revoir demain, en vie…

Alfred avait été élu. Ce constat dramatique se passait de tout commentaire excédant les deux phrases.
Enfin... Il irait le féliciter demain... il avait pour l'instant d'autres chats à fouetter, et plus précisément d'autres cercles. Il ne laisserait pas ces espèces de mabouls possédés lui arracher qui que ce soit. Hors de question.
Soupirant, il se mit au travail.

Au moins, Roderich avait, comme qui dirait, les boules.

Bon, eh bien maintenant que son Superman était devenu en prime chef de la classe, il n'y avait plus qu'à espérer que cela augmente ses propres chances de survie... Mais elle aurait vraiment aimé qu'il vienne la voir, plus tôt. Enfin... Maintenant il avait d'autres préoccupations, disons, plus vitales, comme celles de sauvegarder la classe.

Bien, il fallait dormir maintenant. Pourtant, elle ne voulait pas bouger. Lý était tellement plongée dans sa lecture qu'elle oubliait qu'elle était en danger. Tant mieux.

Elle ne remarqua pas qu'elle s'était endormie, son livre ouvert reposant sur sa poitrine qui se soulevait à un rythme régulier alors qu'elle dormait, la tête légèrement penchée en avant. La lune éclairait ses cheveux sombres à travers la fenêtre et on aurait pu croire qu'un léger halo entourait sa tête.

AHAHAHAH ALFRED !!!

LOL.

Kikoo. Machin, truc. MSN manquait à la vie de Lysander. Ce petit programme si pratique qui lui permettait de faire la comère à souhaits avec ses amies les plus perfides. ALFRED ? Ce gros? ? Cet espèce de sac à Hamburger ambulant. Quelle idée. Il était presque moche. Presque. Lysander en conclut qu'il serait autrement plus beau sans ses lunettes, avec les cheveux un plus travaillés. Un chef de classe devait être un peu plus cool et moins rustique. Retraversant la salle en talons haut, il dandina son adorable postérieur savamment musclé jusqu'au nouveau chef.

" Wahouuu. Bravo " Ronronna le roux en passant sa main sur son torse, commençant une nouvelle bulle fushia en lui faisant un clin d'oeil.

" T'es sexy toi .."

La nuit. C'était le moment préféré de Lukas. Les ténèbres étaient propices pour une inspiration digne de sa sombre poésie. L'astre lunaire était comme une larme brillante dans le ciel ce soir là, brillant d'un halo rougeâtre témoin de la future boucherie qui aurait lieu.

Que le sang se répande sur le sol,
Que comme les indous, on s’immole
Que les corps s’immolent

Non. L’inspiration fatidique ne semblait pas lui venir ce soir. Des larmes virent dissoudre l’encre noire de son journal. Le crayon glissa de la main du blond, roulant sur le sol. L’écho du bruit résonna dans la salle de classe, comme pour souligner la solitude du nordique. Il était un raté. Même pas capable de mettre ses émotions en prose. Lukas serra les poings, tremblant. Il devait écrire quelque chose. S’il mourrait… Tout le monde s’enficherait sans doute… mais il devait…Reprenant son stylo, le norvégien griffonna furieusement.


Je n'ai pas réussi à m'arrêter,
Je n'ai pas su te garder.
Je savais que je n'arriverais pas
A tenir cette promesse-là
Et pourtant ... je ne sais pas,
Tu croyais en moi.
Je t'ai perdu...
Cette vie me tue.

Oui. Et il espérait presque qu’elle se terminerait bientôt… Sur ces pensées sombres Lukas s’endormit…

Citation :

Retraversant la salle en talons haut, il dandina son adorable postérieur savamment musclé jusqu'au nouveau chef.

HE IS NOT MY BROTHER I SWEAR.

(Oh j'adore XD )

Nan mais c'était une BLAGUE ?

Sérieux, Joaquin avait toujours eu le plus grand des respects pour Ludwig. Ou du moins il l'avait jamais prit pour un con, ce qui revenait au même mais là, semblerait qu'il l'avait carrément surestimé !

Alfred ! Non mais ALFRED quoi ! C'était du grand n'importe quoi ! Il était foutu... si les possédés lui faisaient pas la peau, il était sûr de se jeter par une fenêtre avant.

Alfred en chef de classe... et puis quoi encore ?

Il se leva, nota au passage Roderich qui avait la bonne idée d'emmener sa donzelle loin de ce merdier et Vash qui montait la garde prêt de la Querida, leva brièvement les yeux au ciel en voyant Scotty aller faire du gringue à Alfred et surtout... surtout... retourna dans sa chambre.

Alfred chef de classe.

Cualquier cosa !

Queda fatal...

Machinalement, il se signa d'un geste exaspéré, reste d'une grande période catholique qu'il ne reniait pas.

Académie du Monde, 8h45, jour 2

Un poing s'abat sur le bureau. Les esprits ont encore frappé cette nuit. Le corps épais de Danemark git dans le couloir menant au refectoire, bloquant tout le passage. Les élèves affamés allaient vite perdre toute envie de se restaurer quand il verrait ce spectacle.

DANEMARK ETAIT UN ELEVE.

***

DEROULEMENT :
Chacun vote pour une personne à tuer afin d'exorciser les esprits.
Vous pouvez bouger tant que vous voulez.
Vous pouvez voter contre vous-même, et revenir sur vos votes (mais pas plus de deux fois, et avant que tout le monde ait voté).
Durée du jour : jusqu'à demain 21h.

NUIT 1 : RECAPITULATIF
Les possédés ont tués Niels.
La commère a vu l'identité d'un personnage.
La chimiste n'a pas utilisé de fiole.

JOUR 2: RECAPITULATIF

Morts
Danemark => Elève

Vivants

Spoiler:

[/quote]

La veille avait vu Alfred monter au poste de chef de classe. L'élection c'était joué entre lui et Vash, et finalement c'était ce premier qui avait la tache de nous mener à la résolution de cette sombre affaire. Tanoa souhaitait vivement qu'il fasse le poids face à ces possédés. Au moment où elle réfléchissait à cela, elle fut arrêté net par un attroupement dans les couloirs...

Un attroupement qui n'est pas fait pour rassurer, surtout en ces temps obscure. Ah si seulement cette atmosphère écolière qu'elle aimait tant pouvait revenir, c'est tout ce qu'elle souhaitait, apprendre dans la sérénité et non dans une telle horreur. Mais il n'était pas le temps à de telles pensées. L'annonce avait été faite, Niels était mort...Cette annonce souleva le coeur de Tanoa, elle le connaissait si peu mais sa disparition était un choc. Il avait rejoint Francis...Francis qui lui manquait tellement...

La journée allait apparemment s'annoncer sous le signe d'un premier vote. Il fallait à tout prix exorciser les possédés pour rétablir le calme dans l'école. Tanoa commença alors à réfléchir à la situation. Prenant de ci et là quelques notes pour poser ses pensées et finalement faire le meilleur choix en espérant ne pas faire passer quelqu'un à l'exorcisme alors qu'il n'était pas possédé.