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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 11 Fév - 11:54 | |
| Je ne sais pas quoi dire pour décrire ce que je ressens... C'est juste... Woua ! Je ne peux que approuver les commentaires de Elizaveta et Berwald ne sachant pas quoi dire moi. |
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| Sujet: Re: Mes Textes Dim 14 Fév - 21:35 | |
| Des siècles plus tard, j'arrive et je lis.
Je voulais commenter et tout et tout mais je me rend compte qu'à part "j'aime, c'est beau". Je ne sais pas quoi dire.
Je vais donc juste revenir sur les passages qui m'ont le plus marqué.
Déjà, celui avec Natalia. Je l'ai trouvé vraiment triste, presque difficile à lire. Avoir choisit de la représenter, je pense que tu as bien fait. Et le renvoi au silence, c'était génial, tout simplement. Franchement, j'ai vraiment aimé la manière de décrire dans ce passage.
Sophie, j'ai trouvé qu'on ne pouvait pas s'empêcher de l'aimer. Enfin bon, comment dire? Mais sa mort puis celle de son petit frère m'a vraiment peiné. Peut-être qu'en connaissant un peu de quoi il en retourne avant de lire la fic, on comprend bien mieux l'ensemble et donc l'ampleur de leur morts.
Puis y'a Gilbert dans toute la dernière partie. Je sais qu'on en a déjà pas mal parlé. Mais j'ai commencé à aimer Gilbert surtout à cause du fandom. Personnellement, dans le manga, il m'indiffère assez mais il me fait énormément de peine dans pas mal d'œuvre de fan et c'est là où je le préfère. Et t'as juste touché le point sensible le concernant et qui me rend toute sensible à chaque fois. Sa solitude! (et ensuite sa "faiblesse".) Enfin, tu le sais que c'est un sujet qui me touche très facilement et du sérieusement, le long paragraphe qui commence par "J'ai jamais été doué par les mots..." m'a sincèrement émue. On a l'impression de tellement le sentir dire ça qu'on s'y croit vraiment. Et Roderich en figure quasi-paternelle et le sort de Gilbert, aaaah...sérieusement, c'était vraiment un très triste passage mais peut-être un des plus beaux.
Mais bon, tu peux être content de toi, tu as vraiment écrit une très jolie fic. |
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| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 16:56 | |
| Merci aux quelques personnes qui ont eu la gentillesse de me lire et de me commenter, merci beaucoup. Cette fic m’a détruite littéralement, mais j’ai aimé cette expérience quitte à ce que cela n’amène que de la tristesse. Berwald, la seul vérité que je voulais transmettre, c’était l’humanité quoi que l’on fasse, quoi que l’on soit. Cela a été mon leitmotiv notamment dans les parties avec Gilbert et Ludwig. Je ne voulais blâmer personne. Peut-être qu’un jour je réécrirais sur cette période, non en fait c’est même certain. Encore un gros merci à vous, lorsqu’il n’y a qu’une seule et unique chose que l’on sache faire, on aime être apprécié et non condamné Je retourne aux One Shot à présent, en voici un pour Mieg qui me le réclamait depuis longtemps, je sais que je t’en dois un autre aussi tout comme j’en dois un à Chine, c’est promis je m’y mets Le texte suivant s’inspire du film Inglorious Basterds pour deux des personnages : Hans Landa, capitaine SS et roi du Bingo ainsi que Hugo Stiglitz, assassin amateur passé pro grâce au système d’études américain *sort* Par contre, les propos tenus sont matures et ne doivent surtout pas être pris pour ma manière à moi de penser, je classe donc ce texte en NC 17 pour plus de sécurité, j’espère que malgré tout vous l’apprécierez Nations et Soldats - Spoiler:
Comme à son habitude, Landa écrasa son mégot dans le reste d’Apfel Strudel, l’odeur de la cigarette effaça celle de la pomme. Gilbert s’imaginait bien la même chose avec la tête de Roderich à la place de la pâtisserie. Le SS lui avait remit un rapport sur ses derniers meurtres. En effet, le blond oubliait assez souvent qu’on lui demandait des arrestations plutôt que des massacres et vu que l’albinos avait la méga flemme de lui expliquer la différence… « - L’Autrichien va arriver, il doit m’remettre sa paperasse aussi, donc reprenez du café »
« - Ach…der Jude, nicht ? » Gilbert sentit ses mains se crisper sur le papier. C’est vrai, il avait faillit l’oublier : Landa était l’homme ayant agressé Roderich sur les origines de son nom. Le soldat le regardait, son éternel sourire aux lèvres, buvant la moindre de ses réactions. Il prit le temps de compter jusque trois dans sa tête et posa les feuilles. Le restaurant français ne comptait plus qu’eux comme clients, il était trois heure de l’après midi et il n’y avait bien que les officiers pour avoir le temps de boire du café. Du vrai café. « - C’est juste un con d’Autrichien… » Le Prussien se saisit de la cigarette glissée derrière son oreille et quémanda le briquet de l’autre homme. Ah, la saveur du vrai tabac… Encore une fois, une vague de silence s’abattit. Gilbert ne savait même plus ce qui l’effrayait le plus : les mots de Landa ou bien son mutisme ? « - Colonel, vous ne ressentez jamais rien lorsqu’on vous donne des ordres ? »Landa émit un ricanement doucereux, tendre comme une caresse. L’homme dégageait un érotisme certain et savait l’utiliser. Parce que nul ne pouvait comprendre Hans Landa, il répondit à sa question dans un français teinté d’accent. « - Mon cher, je ne suis qu’un humain. Evidemment que je ressens des choses, parfois c’est : oh non, encore du travail, mais j’ai envie d’aller me coucher moi ! Je me demande aussi quand sera ma prochaine permission, j’aime beaucoup avoir des vacances, pas vous ? »
« - Est-ce cela, l’humanité ? »
« - Gilbert, Gilbert, Gilbert… vous permettez que je vous appelle ainsi n’est-ce pas ? Voyez-vous mon jeune ami, je trouve cela bien plus humain que les pensées d’un chef de guerre sur le champ de bataille. Vous avez connu cela avec le sublime roi Fritz, richtig ? »
« - Fritz ne recevait pas d’ordres… »
« - Il en donnait, les deux se confondent. Etait-ce humain de penser à donner des ordres pour vous permettre de mieux massacrer les troupes du Juif ? »Les quelques serveurs encore présents pour leur obéir s’étaient réfugiés dans un coin de la pièce. On était en France, Landa utilisait la langue de ce pays tout comme Gilbert dans ses réponses. Les pauvres hommes avaient donc tout entendu. L’albinos frémit, par de pareilles combines le SS terrifiait absolument tout sur son passage, impossible de lui résister. Et toute cette affection dans ses paroles… « - Bordel Landa… c’est juste un Autrichien, juste ça ! »Il n’eut qu’un sourire en retour. L’homme se servit un verre d’eau, la gorge sèche. Il tremblait, fiévreux. Et Landa s’amusait comme un enfant, on le croirait presque prêt à battre des mains pour communiquer son enthousiasme. « - Ordonner ou obéir, être victime ou bourreau… c’est là la même chose, Gilbert. On ne pense pas massacre : on pense chiffres et nombres, et on pense à nous, rien de plus. Sinon on perd, comme Fritz… ses victoires se basaient principalement sur des coups de chance … »Le verre fut reposé sur la table dans un bruit sec. Respirer calmement, l’autre cherchait à l’humilier, ne pas rentrer dans son jeu… A nouveau, Gilbert compta mentalement jusqu’à trois avant de relever la tête. Landa souriait toujours, il ne s’arrêtait jamais. Ludwig devrait l’envoyer en URSS tiens, il ferait un concours contre Ivan… « - Je peux aussi m’interroger sur les ordres du Führer, mon ami. Comme tout le monde, je doute... Mais pourquoi ne pas poursuivre cette conversation à mon bureau ? Je vais laisser un mot pour le Juif, il nous y rejoindra… »Il l’avait saisit par les épaules pour le lever de force. Gilbert comprit qu’il ne pouvait rien faire d’autre qu’obéir… ***
L’homme heurta de plein fouet Roderich. Ce dernier laissa échapper un chapelet de blasphèmes tandis que l’homme retrouvait son équilibre, légèrement sonné. Les jurons de l’Autrichien avaient couvert le bruit du couteau tombant sur les pavés, il se baissa pour le ramasser. « -Soldats Stiglitz ? »Calmement, l’interpellé ramassa l’arme et claqua les talons pour saluer son aîné. « - Que faites-vous avec une arme tachée de sang dans les mains ? »
« - Je reviens d’un meurtre, Mein Herr, et je vais m’en commettre d’autres. Excusez-moi à présent, la folie n’attend pas… »La maison devant eux avait été réquisitionnée par un haut gradé SS. Il y avait du sang sur les pierres du trottoir à l’endroit où avait chuté le couteau. Roderich acquiesça et lui fit signe de partir. L’homme ne se le fit pas dire deux fois. Seul dans la ruelle, l’Autrichien se pencha pour effleurer les tâches sombres du bout des doigts. Ce sang, c’était aussi celui de Ludwig. Le blond était dans chacun des hommes de son pays, y comprit les SS. Alors d’une certaine manière, Roderich s’était barbouillé la main avec le sang de son fils adoptif. Sans même comprendre pourquoi, il se mit à rire, heureux. Il était perdu dans ce Paris hostile et terrorisé, mais qu’importe ? « -Stiglitz, tuez-en un à ma santé et venez donc boire un coup chez moi, ce soir ! »L’homme au loin leva les bras pour accepter l’invitation. Roderich sourit et sortit quelques feuilles de son sac. Il aurait du les apporter à Gilbert mais bon. Dans un grand mouvement de bras, il éparpilla les papiers dans le vent et la boue. La saleté effaça bientôt les nombres marqués. Morts, argent, effectifs ? Non, juste rien à présent. Les mains dans les poches, l’Autrichien s’éloigna dans le sens inverse de l’assassin. Heureux. *** Le bureau de Landa sentait le whisky, sans un mot le colonel prit la veste de Gilbert et la déposa avec la sienne sur un fauteuil posé dans un coin, sans doute à l’usage de quelques officiels comme Himmler lorsqu’ils venaient à passer par ici. « -De quoi parlions-nous ? Ah oui, de mes questionnements… Voyez-vous Gilbert, je suis tout à fait d’accord avec les idées d’annexions et de génocide. Ce n’est que comme ça que l’on peut dominer les autres et la domination, c’est là le but que je me suis fixé. Je ne parle pas de pouvoir mais d’invulnérabilité, voilà pourquoi j’estime que lorsqu’il sera temps de perdre la bataille, Hitler devra être tué par un SS et non par un Résistant. Les Résistants sont sournois et idiots, ils ne pensent qu’à travers un idéal. Je n’ai rien contre leur déportation, cela nous fait de la main d’œuvre en plus, non ? »L’albinos sentait ses oreilles siffler, pourtant chaque mot de Landa arrivait à s’y glisser de manière plus qu’audible. Sans même une invitation, il se laissa tomber sur une des chaises en bois. Le SS s’était assit nonchalamment sur le bureau, le dominant ainsi alors qu’ils étaient dans la même position. « - Les Tziganes sont comme les juifs, les malades ne servent à rien mais j’admets être chagriné de devoir arrêter les homosexuels. Coucher avec un homme, c’est merveilleux, n’êtes vous pas d’accord ? On le domine, notre poids écrase son corps, on le fait crier… Il y a toujours de la douleur, c’est un moyen de s’affronter soi-même. On ne peut retrouver pareille chose avec une femme. Oh, bien sûr, les demoiselles sont belles et jolies et peuvent nous donner de bons gros enfants mais justement, elles ont une utilité. »Pourquoi le regardait-il de cette manière ? Comme un enfant prit en faute, Gilbert se rapetissa dans son siège, dégoûté et hypnotisé. Sans même savoir pourquoi, il acquiesça. « - Les hommes eux, n’ont aucune utilité à s’aimer. C’est cela qui est magnifique, on peut les détruire… Voilà mes états d’âmes, Gilbert. Je pleure en arrêtant ces gens, je pleure en déportant mes amants. Parce que ce ne sera pas moi qui les aura détruit, mais une machine universelle et sans sexe. Enfin… »Deux doigts vinrent caresser son menton. L’albinos ferma les yeux, au bord de la nausée. « -Lève-toi… »Il n’avait aucune raison d’obéir à ce simple colonel, alors pourquoi le faisait-il ? Contaminé, lobotomisé, le Prussien se retrouva prit dans l’étau de bras qu’il haïssait. Tout ce qu’avait décrit Landa, il le ressentit alors qu’on le plaquait contre le bureau : le poids du colonel sur lui, la chaleur presque insupportable de sa peau. La douleur aussi, évidemment. Il était dominé, complètement dominé, incapable de bouger ses mains, incapable de faire autre chose que subir. Et ses cris désordonnés alors que Landa restait maître du moindre souffle rauque s’échappant de sa gorge. C’était cela, se briser ? Un souffle chaud vint se perdre dans son oreille… « - L’avantage de coucher avec d’autres bons nazis, c’est qu’ils se taisent pour éviter le scandale. Ainsi je n’ai pas à les déporter et je n’ai pas le cœur brisé, n’est-ce pas magnifique, Gilbert ? » Non, bien sûr que non. C’était ignoble même, mais Gilbert n’en avait que faire, à crier et gémir, à pleurer et embrasser, à devenir fou et mourir. En fait, ce qui était magnifique, c’était que la seule personne depuis bien des années à lui avoir offert de la « chaleur humaine », c’était un monstre et rien d’autre. Il cria une dernière fois, dévasté. Que Dieu ne lui pardonne pas, que Dieu l’oublie comme lui oubliait l’humanité. « -Bon garçon… »Et le Diable s’amusait à lui susurrer de faux mots d’amour à l’oreille. Le Diable au masque d’Homme ou bien l’Homme au masque de Diable ? Les yeux vides, Gilbert balaya toutes pensées de sa tête embrumée. Qu’importe la vie, qu’importe la mort ? L’Histoire il s’en foutait, il l’oubliait, bien trop empoisonné par l’histoire personnelle d’un seul homme. Gloire à celui capable de tuer Hans Landa, lui il ne pourrait pas, comme tant d’autres il allait se retrouver victime obéissant à ses ordres. C’est bien d’autre victime, on se pose pas de questions à part les plus triviales… Oui, c’est bien…
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| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 17:09 | |
| Réaction #1:" AAAAAARRRRRGH NOOOOOOOOON!!!!!!" *crie en se tenant la tête avec les deux mains* " PAS LE STRUDEEEEEL!" *se précipite sur l'assiette au ralenti et sauve les ruines de la pâtisserie* Réaction #2, un tantinet plus sensée:Mah Gawd, c'est vraiment bien écrit. J'essayais d'imaginer Landa parler, ça rendait plutôt bien et puis voilà quoi... C'est Landa J'aurais bien aimé voir Stiglitz se faire fouetter/fouetter quelqu'un (bah quoi, c'est dans mon top 5 de mes scènes préférées) mais à part ça pas grand chose à dire. Ou alors un petit extrait de sa soirée avec Roddy... And voila keep up the (very) good work! |
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| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 17:18 | |
| Si j'ai l'inspiration alors je ferais une suite :) merci en tout cas |
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Elizaveta / Hongrie Királynője Serpenyő
| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 18:28 | |
| -j'ai eu juste le temps de lire avant de partir, maintenant j'ai le temps d'écrire un ti quelque chose xD-
Même si personnellement, j'ai pas apprécié des masses le film (il aura eu quand même le mérite de me faire connaître le truc XD), j'ai bien aimé ton OS. Très bien écrit et agréable à lire. ^^
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| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 19:21 | |
| Personnellement, je n'ai jamais vu le film et je pense que je ne le verrais jamais a défaut d'aimer les films et le cinéma, mais est-ce qu'il est en livre ? Si oui, c'est quoi le titre ? Merci d'avance =)
Pour en venir au One-shot, je ne sais vraiment pas quoi dire, c'est vraiment très bien écrit mais je n'ai pas réussis à me mettre dans ce qu'il se passait. Peut-être devrais-je voir le film (ou lire le livre ?) pour mieux comprendre ? Ou alors je devrais relire une nouvelle fois. Je ne sais pas, mais je vais le relire. |
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| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 19:24 | |
| C'est génial comme d'hab xD Mais en fait, j'en viens à même plus savoir quoi te dire maitre, tous vos écrits me sidèrent :3
Soit dit en passant, je vois pas comment on peut ne pas aimer Inglorious Basterds, mais c'est peut être parce que je suis un peu trop fan de Tarantino .. XD
(tu manques quelque chose Katerina) |
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| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 19:29 | |
| Inglourious Basterds c'pas un livre, ce serait même blasphématoire d'en faire un, c'est vrai quoi, un livre peut-il retranscrire la classe transcendentale de Landa, de Stiglitz et d'Aldo Raine en même temps? - Spoiler:
Réponse: NEIN NEIN NEIN NEIN NEIN !
J'attends la suite rate nao, Roddy (courage!) |
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| Sujet: Re: Mes Textes Mer 17 Fév - 19:48 | |
| ooooh yes yes yes yes yes ! *fout Gilbert à genoux et sort le fouet* moi je peux, ma petite vermine adorée Et oui, il y a un "livre" Inglorious Basterds, il s'agit en fait du scénario (donc avec cette forme là), un petit peu plus étoffé il me semble mais bon, ça vaut pas mes textes \o/je termine mon rp et je me mets à la suite, et merci à vous :) Katerina> la logique veut que ce texte soit adressé à ceux ayant vu le film, donc bon... de plus, je ne recommande pas du tout la lecture de ce texte à ceux n'ayant pas vu le film et ne comptant pas le voir du tout pour une bonne raison: Stiglitz et Landa (oui Gilbert, je fous Stiglits en premier parce qu'il est Autrichien). Ces deux personnages ont besoin d'être replacés dans le contexte et le ton du film étant donné leurs CV. J'ai fait dire des horreurs à Landa dans ma fic, il en dit dans le film et pour que cela passe justement, il faut pouvoir se représenter le film. Pareil pour Stiglitz qui est quand même un meurtrier barbare dont on ne sait rien de ses motivations. Je dis ça également par rapport à ton âge, tu es jeune et j'ai mis un avertissement à cette fic. Sachant que tu ne connais rien du matériel d'origine comme dit ci dessus, plus sachant ton âge, on peut vite arriver à des quiproquos. |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 18 Fév - 13:41 | |
| Comme Katérina je n'ai pas vu le film, mais j'aime beaucoup ta façon d'écrire.
J'arrive bien à me mettre dans l'ambiance, je "vois" vraiment la scène se passer et je peux dire que c'est très bien fait. En plus sur un thème quand même grave, t'arrives à mettre les mots pour qu'on soit dégoûté de Landa, pour qu'on comprenne la douleur et l'impuissance de Gilbert... Enfin que dire, c'est beau :') |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 18 Fév - 16:52 | |
| Dégoûté de Landa? Non mais attends t'as rien compris là XD
- Spoiler:
Nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein nein AUF KEINEN FALL!
C'est dans des moments comme ça que j'en viens à aduler ce cher Colonel.
Dernière édition par Gilbert / Preußen le Ven 19 Fév - 9:26, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 18 Fév - 17:24 | |
| But n°5523 dans ma vie: Epouser Gilbert /o\ |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 18 Fév - 17:26 | |
| Quoi? Seulement 5523? TT_TT
- Spoiler:
Mais j'te prends quand tu veux, Schatz 8D
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 18 Fév - 17:33 | |
| Je te passe premier si tu m'offre un apfelstrudel : ) |
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| Sujet: Re: Mes Textes Dim 21 Fév - 23:56 | |
| Crrrrrrrrriorshdrrrrr. (c) cri d'agonie. Désolée >>Landa J'sais pas quoi dire d'autre. J'abandonne le putsh que je préparais contre toi. |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 18:32 | |
| C'est trop d'honneur, Suède 8D Attention, ceci est une fic Resident Evil faite à la demande d’Arthur. Beaucoup de brouillons avant l’ébauche finale, tu m’as demandé une Chris/Wesker, ça a muté (comme la raclette) en Chris/Wesker/Jill j’espère que tu ne m’en voudras pas. Spoiler sur une scène spéciale de Resident Evil 5 Etant donné que je ne peux que regarder les jeux et non y jouer, je ne sais pas si ma vision de l’univers est correcte Enjoy quand même ? - Spoiler:
La pluie battante frappait son visage, frappait le verre brisé. Il avait tendu la main bien sûr. Bien sûr, oui, qu’il l’avait tendu prêt à l’attraper, prêt à basculer avec dans le vide. Quitte à ce que les choses se passent ainsi, autant que rien ne se fasse à moitié. Mais c’était trop tard… Trop tard pour qui, pour Elle, pour Lui ? Il pouvait encore sentir des doigts gantés de noir en train de tordre son cou, le saisir, le soulever comme un vulgaire chiot, le projeter… Ses doigts à elle, il les sentait nus, prêts à se perdre dans ses cheveux, prêts à se piquer à sa barbe naissante comme à un rouet empoisonné. Quelle était la différence entre les doigts d’un homme et les doigts d’une femme, entre ceux d’un monstre et ceux d’une sainte ? Quelle main aurait-il voulu attraper ? Il y avait un être, un être qu’il ne pouvait voir que chuter et s’enfoncer plus, bien plus dans les Ténèbres. Lui, il n’y comprenait rien, on le payait pour tenir un fusil et sauver le monde, pas de place pour les états d’âme ? Wesker non plus n’avait pas de place pour ça, occupé à tout détruire lorsque lui voulait réparer, reconstruire, préserver… Quelque chose explosa, ça devait être son cœur. Alors, il ne suffit que de cela pour qu’un cri enfle dans sa gorge et lui déchire la poitrine. Wesker, qu’importe, il l’aurait laissé tombé pour encore continuer à chuter avec, mais Elle… Elle il aurait voulu se saisir de son poignet, le serrer tellement fort que le lendemain, un hématome marbrerait la peau pâle, l’entendre gémir, douloureusement vivante, la remonter, la serrer dans ses bras… Elle lui avait sauvé la vie, merde ! Merde, qu’est-ce qu’il avait mal fait ? Ses pas pour se précipiter jusqu’à la fenêtre ? Peut être qu’avec un peu plus d’élan, il l’aurait rattrapé… Non… Non, elle serait morte quand même, malgré tous les « si », malgré les « peut-être ». Parce que que faisait-elle, fonçant droit vers la mort ? Elle enserrait le corps de Wesker contre le sien. Il ouvrit enfin la bouche, alors le cri jailli, se heurtant au mur de pluie et de vent. Rage jalousie, amour ou désespoir ? Non, juste un nom hurlé pour la dernière fois. Le prononcer à nouveau, comment pourrait-il en trouver la force ? « - JIIIIIIILL ! » *** Pourquoi avait-elle fait ça ? Et surtout pourquoi avait-elle encore le temps de penser à tout ça alors que dans quelques secondes, elle serait morte ? Cerveau dopé à l’adrénaline, pas d’autres explications. En plus elle avait froid, elle grelottait, ses bras presque nus ne récoltaient aucune chaleur du manteau détrempé de pluie de l’homme avec elle. Jill aurait préféré mourir dans un bain chaud… Merde, elle allait pas se mettre à pleurer ? Un cri comme un écho parvint à son oreille : c’était son nom que quelqu’un rugissait. Idiot… si Wesker était tué, tout s’arrangeait, non ? Pas la peine de hurler, Chris, ça allait lui donner des remords. Parce que elle, elle aurait voulu vivre, c’est tout. Ca n’allait pas se faire, évidemment, alors elle tremblait de peur et de froid, les yeux fermés pour ne pas pleurer. La tristesse, la terreur et le vent, ça fait vite monter les larmes... Elle était qu’une garce, elle avait volé quelque chose à Chris. Pas quelqu’un, Wesker n’était plus une personne depuis longtemps, mais quelque chose. Quelque chose qu’il avait décidé de porter comme un fardeau tout près du cœur, près de son affection pour elle. Quelque chose qu’elle lui enviait, avoir ce miroir réfléchissant et grotesque pour lui renvoyer les plus pires bassesses du monde. Elle, elle n’avait rien à quoi se confronter, est-ce qu’elle existait alors ? Trop tard, son futur s’éteignait… Et le froid disparut alors que Wesker se saisissait d’elle. Même lui pouvait donner de la chaleur humaine… *** On ne peut jamais tout prévoir, c’est une vérité à accepter si l’on veut continuer à avancer. Ses défaites il les prévoyait dès qu’il entendait l’écho des pas de Chris. Les redoutait-il ? Non, au contraire cette résistance avait tout à fait sa place dans le monde que Wesker voulait se créer. Que serait un Dieu sans Diable ? Lucifer refusant de s’agenouiller devant les hommes créés par Dieu, tel était Chris s’acharnant à combattre Wesker et les créations d’Umbrella ? Ironique de donner ce rôle méphistophélique à cet homme dont le nom signifiait « celui qui porte le Christ ». Jésus Chris, figure on ne peut plus idiote de la religion humaine, et une tignasse de cheveux blonds avait décidé de jouer ce rôle de sauveur quitte à en mourir. Amusant… Mais tout ceci n’était qu’un prélude, la mort n’avait rien à faire dans cette partie-ci de la pièce. Et ce pauvre corps pâle qu’il ramenait contre lui dans sa chute, si pâle qu’on aurait pu le croire d’ivoire. Comme un pion d’échec. Très bien, la partie allait commencer… Jusqu’à la rage finale, car pour atteindre l’ataraxie dont il avait besoin, il devra d’abord se débarrasser de tout ce venin. Une chance sur deux que cela le tue, une chance sur deux que cela tue Chris, quelle était la meilleure solution ? Qu’importe, adieu la Mort ! La Rage rappelait à son coeur de battre, aucune raison de ne pas s'y abandonner. Si la puissance avait la forme de ses yeux mutés, ses derniers sentiments avaient la couleur de ceux de Chris. Parce que sans Nemesis, on ne peut vivre...
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 18:40 | |
| T'abuuuuuuuuuuuses Oo J'ai pas eu le temps de terminer moi 8D BREF. PARLONS de ça. Que dire ? J'aime *v* (tu t'en doutais trop xD) C'est beau, c'est bien, j'en redemandeET PUIS MERDE LE THREESOME QUOI. T'as réussi à bien l'écrire. Et c'est rare. T'as fait un bon Chris/Jill. C'est extrêmement rare. Alors pour ça je te remercie Ah et t'as fait du WeskChris aussi mais ça, j'avais pas besoin de le préciser non ? : D (Et n'empêche que cette scène, elle est doublement tragique pour Chris quand on y pense) - Citation :
Ironique de donner ce rôle méphistophélique à cet homme dont le nom signifiait « celui qui porte le Christ » ...Transmission de pensée: on. Je l'ai foutu dans ma fic aussi xD CONCLUSION: J'en veux d'autres. Et c'est génial comme d'habitude. <3 Les bons mots aux bons endroits, t'as compris le concept de la littérature |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 18:43 | |
| Merciiiii <3
threesome un jour, threesome toujours... en plus j'étais pas spécialement fan avant, mais je sais pas, c'est depuis que j'ai fait ces rêves XD
la transmission de pensées.... ce détail je l'avais signalé à Arthur pour son dossier, concernant l'étymologie du nom ;) donc j'ai droit à des droits d'auteur \o/ |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 18:48 | |
| Certes oui mon cher, mais étant donné que je passe ma vie sur des sites bizarres comme Asiaflash et compagnie, les significations de nom je passe mon temps à en bouffer 8D Je peux pas m'empêcher de les recaser : D N'empêche que je vous laisse les droits d'auteur :3 |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 18:49 | |
| j'attends à présent l'avis de Chris Kirkland XD |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 18:53 | |
| OH. MY. GOWD. ......... comme d'habitude, rien de constructif, mais je pleure. Réellement. |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 18:57 | |
| Bah alors Mieg .... c'est pas plus triste que ça pourtant *donne un mouchoir* me fait pas culpabiliser XD |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 19:13 | |
| Chris Kirkland au rapport! Tout d'abord merci. Merci énormément du temps que tu as pris pour me fournir ce chef-d'œuvre qui allie avec génie complexité et fluidité du récit. J'ai dû le relire deux fois pour assimiler chaque information que tu as voulu transmettre à ton lecteur, et c'est un grand compliment. J'avoue avoir tiqué en voyant "threesome" au début. Car oui, je ne suis habituellement pas une grande fane des threesome. Au contraire, je préfère lire des choses ""romantiques"" (au sens TRÈS large, disons plutôt sur la thématique de l'attirance) qui se basent sur le concept du duo, qu'il soit très complice, ennemi, froid.... Sans compter que Chris/Jill, pour une tonne de raison exposées dans mon ship manifesto, je n'y crois pas. Ils sont pour moi des "partenaires". Plus proches des "amis" que du "couple". - Spoiler:
Note amusante mais hors sujet. Dans RE, pas le remake, lorsque Chris retrouve Wesker il lui demande au bout d'un certain temps (Holy Captain Wesker is alive ) ce qu'il est advenu de Jill. Wesker lui répond, sur un ton de mauvais comédien, qu'ils ont été attaqués par "a strange monster" et donc séparés. ... Non seulement Chris y croit mais il s'empresse d'ajouter, pensant sans doute que Wesker culpabilise " It's not your fault!". .... Oooookay Chris.... Ca craint vraiment pour le Chris/Jill fufufu...
Et pourtant, une fois de plus je devrais dire, tu as réussi à me convaincre, le temps d'un récit incroyablement bien mené que cela pourrait être possible. J'ai même été émue. Je fais bien de te faire confiance! Sinon, le personnage qui m'a le plus frappé est Wesker. Non, ce n'était absolument pas prévisible. Ayant beaucoup d'affinités avec Chris, je pensais que ce serait lui qui me marquerait le plus. Mais, diable, tu as saisi Wesker en son essence o_o.... Je l'ai trouvé tout simplement parfait. - Citation :
On ne peut jamais tout prévoir, c’est une vérité à accepter si l’on veut continuer à avancer. Tiens, entre parenthèses, c'est une belle leçon que j'ai moi-même du mal à retenir. Et c'est d'autant plus intéressant pour Wesker qu'il - Spoiler:
n'avait pas prévu que Spencer le manipulait de bout en bout.... Et il n'a pas non plus prévu ses propres faiblesses. Enfin bon, du bist genial.
BREF. Pour synthétiser mon propos : GENIAL. Tu dois commencer à t'y habituer, tu sièges au Panthéon des auteurs de fiction... Maintenant, je suppose que tu vas en écrire d'autres et bon, autant se concentrer sur le personnage le plus intéressant si tu vois ce que je veux dire! - Spoiler:
Avec Chris? ( ) Serguei (alors là si tu arrives à me convaincre que ces deux ennemis [Serguei compare tout de même Wesker à un cafard XD] et à saisir pleinement le trop complexe personnage qu'est Serguei... chapeau) ou Birkin (pas facile non plus _ )
Non sans te harceler, merci encore, c'est merveilleux. |
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| Sujet: Re: Mes Textes Jeu 4 Mar - 20:08 | |
| - Arthur Kirkland / UK a écrit:
- Citation :
On ne peut jamais tout prévoir, c’est une vérité à accepter si l’on veut continuer à avancer. Tiens, entre parenthèses, c'est une belle leçon que j'ai moi-même du mal à retenir. J'avoue que ceci était un clin d'oeil amical de ma part ;) Merci pour ton commentaire constructif, je comprends tout à fait ce que tu veux dire en parlant des duos, tu exploites exactement la thématique du miroir avec un lien presque ombilical avec l'autre puisque chacun de nos gestes ont une répercussions dessus. C'est exactement la même politique que je veux appliquer lorsque je m'essaye au thressome. Il y a deux duos qui gravitent autour d'un troisième personnage, pris au piège là dedans. En fait, pour ce cas précis, l'illustration du miroir convient tout à fait: nous avons un duo de reflets * Chris et Wesker et nous avons un troisième personnage, Jill. Humainement parlant, c'est celle qui s'en sort le plus mal, voilà ce que j'ai voulu exprimer par ce texte. Pourquoi? Parce qu'elle est le support du Chris Wesker: * Jill personnalise le MIROIR ==> Le Miroir ramène l'humain à la réalité et lui rappelle que oui, il est réel ==> le Miroir est le support du reflet, mais il ne peut y avoir de "grandes" interactions entre eux, au contraire le miroir est le faire-valoir de l'homme et du reflet ==> l'homme ne peut se débarrasser de son reflet qu'avec une seule action : casser le miroir (d'où ma vision de la chute de Jill et Wesker, avec cette sensation de quelque chose d'humain sans être humain, que Jill a conscience de faire perdre à Chris) Enfin bref, merci à tous de vos commentaires, contente Arthur, de voir que même si tu n'aimes pas les threesomes, j'ai pu te satisfaire (sinon je te l'aurai refait, évidemment ^^) Pour réécrire d'autres fics Resident Evil oui, sûrement mais pour cela il faudrait que je revois les jeux donc après notre soirée jeux vidéos qu'on réussira un jour à faire?Et le Serguei/Wesker, daaa j'y ai déjà pensé *sort* Au fait, j'ai perdu Francis Valentine, on s'est fait attaquer par un gros monstre |
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| Sujet: Re: Mes Textes | |
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